Commentaires de livres faits par Val88
Extraits de livres par Val88
Commentaires de livres appréciés par Val88
Extraits de livres appréciés par Val88
Une petite histoire agréable à lire qui m'a rappelé quelques nouvelles de Maupassant, un auteur qui a beaucoup inspiré Irène Némirosky, cela va sans dire...
Je termine ce roman un peu nostalgique mais surtout très contente de découvrir l'univers de Barbara Constantine. Une blogueuse avait qualifié l'un de ses livres de "lecture doudou". Je ne peux que me rallier à elle sur ce terme si bien choisi. En effet, les personnages de "Tom, petit Tom, tout petit homme, Tom" sont attendrissant et bien souvent l'envie m'est venue de rentrer dans le livre pour aller partager leurs vies toutes simples, mais pleines de richesse d'un point vu émotionnel. Tom, le personnage principale, n'a que onze ans. C'est hallucinant de voir tout ce qu'il est capable de faire pour améliorer le quotidien de sa famille, alors qu'à son âge tant d'enfants s'imaginent que tout leur est dû. Bon d'accord, il vole de la nourriture dans les jardins voisins. Mais, en même temps, a-t-il le choix de faire autrement? Ce n'est pas lui qui est vraiment à blâmer dans l'histoire mais plutôt la série d'événements qui a fait que Joss, sa maman, s'est retrouvée mère si jeune et totalement démunie devant ses nouvelles responsabilités, sans aucunes aides des siens. Heureusement, ils s'en sorte, mais leur quotidien tient du système D. Ces conditions précaires pourraient rendre Tom aigri. Et bien, pas du tout. C'est un enfant joyeux, dynamique et toujours prêt à rendre service. Et cette bonne humeur est un véritable atout. Il va se lier d'amitié avec Madeleine, une vieille dame qu'il sauve un soir de cambriolage potager, et Samy, un ancien taulard devenu conducteur de corbillards. Archibald et Odette, quant à eux s'amusent de ses razzias quotidienne dans leurs potagers. Ça pimente un peu leurs retraites campagnardes. C'est donc, un vrai bonheur de suivre ce petit bonhomme, haut comme trois pommes, dans ses pérégrinations. Dommage que je n'ai pas de jardin chez moi!!! Je l'aurai laissé faire sans aucune hésitation. J'aurai peut-être eu la chance de gouter sa fameuse sauce Tomtomato. Une lecture "bonne mine" qui a illuminée ma journée du premier mai.
Voilà un moment que j'avais lu le premier épisode de la Saison 1 de "Serum". Allais-je me souvenir de tout ce qui c'était passé? Finalement, même si le résumé des deux auteurs en début de livre est très pratique pour se remettre dans le bain, une grande partie du premier épisode m'est assez vite revenu à l'esprit. Dans le premier épisode, nous quittions Emily (cette femme amnésique qui a failli se faire tuer) lors de sa première scéance d'hypnose avec le docteur Draken qui va utiliser son fameux sérum. Durant sept minutes, Emily raconte ce qu'elle voit. Ce qu'elle dit peut paraître assez étrange, un peu comme si elle nous racontait un rêve, mais son hypnose va avoir beaucoup d'importance sur la suite des événements. De nouveaux personnages viennent se greffer à l'histoire. Certains sont assez facile à situer dans le récit comme le père ronchon de Draken (un ancien psychiatre), mais je dois bien reconnaitre que d'autres, par contre, m'ont assez déstabiliser parce que je n'arrivais pas à comprendre leur rôle et leur lien avec Emily, comme le couple Singer, par exemple. La méthode de Draken est peu déontologique certe, mais Lola Gallagher reste persuadée que c'est la seule façon de savoir de quoi Emily a si peur. Malgré les barages que lui impose sa hiérarchie, elle va tout faire pour que les scéances d'hypnose se multiplie. Son obtination va d'ailleurs payer puisqu'en décodant les visions d'Emily, que Draken note consciencieusement dans un petit carnet, le pulzze se met petit à petit en place. Les cinquante dernières pages sont un vrai bonheur d'autant plus que certains événements et certains lieux existent vraiment. Je faisais mes petites recherches perso en parallèle de ma lecture, c'est dire!!! Une avancée dans l'histoire qui biensûr me donne envie d'en savoir plus. Comme la dernière fois, les auteurs nous laisse sur notre faim, et ce n'est pas les quelques miettes du prochain épisode, en fin de livre, qui vont appaiser cette envie de savoir.