Commentaires de livres faits par Valfe
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Ceci est une version légèrement revue, plus pro.
Homme généreux cherche jeune femme libre pour résider à domicile. Belle, intéressante, cultivée, entre 24 et 28 ans, ouverte aux jeux coquins. Contrat d’une durée de 3 mois, renouvelable si affinités. Rémunération de 10 000 dollars par mois. Envoyez C.V., mensurations et photographie récente. Personne sérieuse seulement.
avec Le Docteur
Demain, 18 heures.
Aucun autre rendez vous ne pourra vous être donné.
C'est très étrange. Aucune idée d'où il vient, ni pourquoi, ni qui est Le Docteur....
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...C’est pour vous dire que je n’étais pas du tout préparée à ce qui va se passer…
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Et puis vient la jeune fille.
Elle est presque nue, recouverte seulement d’un fin bikini noir, un collier de cuir autour du cou. Sa peau pâle brille dans la lumière douce. Ses mains sont liées derrière son dos avec une lanière de cuir plus noire, et elle tient soigneusement un petit balai à poussière dans sa bouche. Elle agrippe la poignée avec ses dents, ses lèvres rouges largement tendues....
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«Les gens trouvent la liberté de différentes manières. Elles se livrent à des choses différentes. Je soupçonne que ton chemin, Claire, est de te livrer à moi. Ce sera ton traitement, si tu choisis de le poursuivre. "
"Oui." Dis-je.
«Tu vas te soumettre totalement à moi au cours de ton traitement, Claire. Je vais te donner un mot de code. Si tu choisis de l'utiliser, le traitement cessera immédiatement et de façon permanente. Comprends-tu? "
"Oui."
«Tu vas te soumettre totalement à moi."
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...La jouissance grossit en moi, en une petite boule dure autour de ma chatte, d'une façon que je n'ai jamais ressenti auparavant. J'ai presque peur de ce qui va se passer quand elle explosera, mais je pense que je vais mourir si elle n’arrive pas. Je peux sentir les parois de mon passage se fermer sur sa main et puis à nouveau s’ouvrir. Je suis si proche, si proche, je tends la main et attrape son bras, mes doigts s'enfonçant dans sa chair ...
«S'il vous plaît!" Je crie....
«Maintenant, il semblerait que la patience soit certainement une qualité que vous devriez apprendre, mais j’ai déjà pris une décision à votre sujet. Je vais vous donner un choix.» Son visage était à quelques centimètres du sien. Elle pouvait sentir la chaleur de son souffle sur sa bouche. «Je peux vous baiser maintenant, comme personne ne le l’a jamais fait avant. Vous faire hurler pour moi dans ce bureau, afin que tout le monde dans cet immeuble vous entende, sache quelle salope vous êtes. Vous ne pourrez certainement pas l’oublier pendant un moment, mais vous pourrez toujours continuer à baiser les hommes dont vous aimez le l’aspect, dans l’espoir que l’un d’entre eux puisse vous donner enfin ce dont vous avez besoin.» Pendant qu’il parlait, ses mains étaient sur elle. Il la hissa sur son bureau, écarta ses cuisses et elle put sentir son sexe dur se presser contre elle.
«Ou votre autre option est de vous donner complètement à moi. Vous jurez immédiatement que vous obéirez à chacun des ordres que je vous donnerai. Vous devrez me faire totalement confiance, et savoir que je vous garderai en sécurité. Vous ne serez pas toujours heureuse. Vous n’aurez définitivement plus le contrôle. Mais je vous ferai vous sentir comme vous ne l’avez jamais été auparavant.»
- J'ai pas besoin de tuer un éléphant d'un coup.
- Et si un éléphant t'attaque?
- Ca existe pas.
- Si un éléphant s'évade d'un cirque, c'est possible!"
L’homme aux yeux d’acier s’approcha d’elle d’un air menaçant, comme s’il se jetait sur une proie. Emma recula fiévreusement à nouveau, comme un animal terrifié. Sont battait à tout rompre et son corps frémissait d’excitation. Acculée contre le mur, elle leva la tête pour regarder l’homme dans les yeux. Ses genoux tremblaient, menaçant de céder. Il lui enserrait la taille à l’aide d’une de ses puissantes mains, elle avait l’air d’une poupée de chiffon qu’il tenait d’une main ferme.
L’homme attira son corps à lui. Comme en transe, elle examina son corps pour comprendre ce qu’il se passait. La pression qu’elle sentait sur son ventre provenait certainement de son m****e durci. Il semblait plus gros qu’aucun pénis ne puisse être. A cette pensée elle sentit des saccades dans sa respiration et le sang afflua dans son visage. Sa tête tournait mais malgré tout elle mourait d’envie d’explorer plus en profondeur ses splendeurs.
A sa grande surprise, Emma s’étira pour rejoindre la bouche de l’inconnu. Elle voulait être dévorée par lui et la seule chose que son innocence pouvait imaginer était un baiser. Tout en elle la poussait à embrasser l’inconnu, aussi s’étirant contre con corps, elle ferma les yeux, espérant qu’il s’inclinerait vers elle.
« Non » dit l’homme d’une voix qui lui rappelant celle qu’elle avait imaginé dans son rêve.
Emma ouvrit les yeux, choquée par cette réponse. Elle scrutait son visage en quête d’une réponse. Elle inspira profondément au moment où la main libre de l’inconnu releva sa jupe et agrippa sa c****e. Déconcertée par ce geste, elle sentit un frisson lui parcourir le corps et exploser dans son cerveau. Jamais elle n’avait été touchée à cet endroit auparavant. Elle sentit ses émotions déborder. Immédiatement, elle en voulut plus.
«Et on peut savoir à quoi ça vous sert exactement ?» demanda Mélissa avec une certaine suspicion.
«C’est pour toi, espèce d’idiote.» dit-il sur un ton feignant la moquerie. «Glisse-le dans ta culotte, contre ton clitoris» lui ordonna-t-il sur un ton qui ne souffrait pas de réponse en lui tendant le vibromasseur.
«Vous voulez dire, là maintenant» demanda-t-elle visiblement en état de choc. «Je veux dire, dans la voiture, comme ça, tout de suite ? »
«Oui,» répondit-il sur un ton des plus sérieux. «Je veux que tu le portes.»
‘‘Putain,’’ me dis-je, avec une petite voix tremblante. Je n’aurai pas dû être autant excitée, mais, Dieu me vienne en aide, j’étais déjà en train de mouiller mon string. Je me forçai à fermer les yeux, essayant de penser à tout sauf Elaine et ses mains agiles, et je finis par l’imaginer elle et Matt le faisant comme des lapins, ce qui était encore pire. Beaucoup plus chaud. Je titubais hors du lit, défaisant la mise-en-pli que je m’étais faite ce soir là. ‘‘Merde,’’ jurai-je, brossant ma chevelure pour en faire disparaître les nœuds. Mes mains tremblaient. J’allais le faire. J’allais vraiment le faire.