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Description ajoutée par Selenna 2010-11-02T16:31:55+01:00

Le coeur brisé suite à la transformation de Dimitri en Strigoi, Rose décide de se lancer à sa poursuite pour le tuer, comme il l'aurait souhaité.

Arrivée à Saint Pétersbourg, Rose écume les lieux fréquentés par les Strigois dans le but d'en tuer le plus possible, recherchant inlassablement son bien-aimé perdu. Là-bas elle rencontre Sydney, une Alchimiste. chargée de veiller à ce qu'aucun mortel n'ait connaissance de l'existence des Morois, Dhampirs ou Strigois, la jeune fille emmène Rose à Omsk, la ville natale de Dimitri.

Parallèlement, à l'académie, Lissa, blessée par le départ de Rose, fait la connaissance d'Avery avec qui elle se lie d'amitié. Cependant la jeune fille déteind sur Lissa à tel point que celle-ci devienne méconnaissable... Isolée de ses amis, Adrian et Christian, la jeune fille devient rapidement une proie facile...

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Description ajoutée par hinnette 2011-03-05T20:27:27+01:00

Le monde de Rose a basculé lors de la dernière attaque meurtrière contre la Vampire Academy : Dimitri s’est fait enlever par l’ennemi Strigoï. Et Rose lui a juré qu’elle le tuerait plutôt que de le laisser devenir l’un de ces êtres cruels et sanguinaires. Elle va devoir abandonner sa meilleure amie Lissa et partir à la recherche de Dimitri pour honorer sa promesse.

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Description ajoutée par Passion_Lecture 2013-01-03T04:10:48+01:00

Comment trouver le courage de tuer celui qu’on aime ? Le monde de Rose a basculé lors de la dernière attaque meurtrière contre l’académie : Dimitri s’est fait enlever par les Strigoï. Or Rose lui a juré qu’elle le tuerait plutôt que de le laisser devenir l’un de ces êtres cruels et sanguinaires.

Elle va devoir abandonner sa meilleure amie Lissa et partir à la recherche de Dimitri pour honorer sa promesse. Vampire Academy est un phénomène international : plus de 4 millions d’exemplaires vendus aux Etats-Unis, traduit dans trente langues, et bientôt adapté au cinéma!

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Description ajoutée par laccroo 2011-05-11T13:32:36+02:00

CHAPITRE PREMIER

J’étais suivie. C’était assez ironique, puisque j’avais moi-même passé les dernières semaines à suivre des gens. Au moins, il ne s’agissait pas d’un Strigoï. Je l’aurais détecté. Le baiser de l’ombre me donnait également la faculté de percevoir la présence des non-morts, même si cela se traduisait malheureusement par une sensation de nausée. Je me réjouissais néanmoins de posséder ce système d’alarme corporel et fus soulagée de ne pas être suivie par un vampire incroyablement vicieux et rapide. J’en avais affronté beaucoup ces derniers temps et appréciai l’idée d’avoir une soirée tranquille.

Il s’agissait probablement de l’un des dhampirs du club, même si cette personne se déplaçait moins discrètement que ceux de mon espèce en ont l’habitude. J’entendais distinctement des bruits de pas sur la chaussée et j’aperçus même une silhouette du coin de l’œil à un moment. Malgré cela, la témérité dont j’avais fait preuve pendant cette soirée m’incitait à privilégier l’hypothèse qu’il s’agissait d’un dhampir.

Tout avait commencé au Rossignol un peu plus tôt. Ce n’était pas le véritable nom de ce club, mais seulement la traduction d’un mot russe qu’il m’était impossible de prononcer. Aux États-Unis, le Rossignol était bien connu des riches Moroï qui voyageaient de par le monde, et je comprenais désormais pourquoi. Les clients y étaient en tenue de bal quelle que soit l’heure du jour ou de la nuit et l’endroit ressemblait à une émanation de la Russie impériale avec ses murs couleur ivoire, ornés de moulages et de volutes dorées. Ce club me rappelait beaucoup le palais d’Hiver, la résidence des tsars lorsqu’ils gouvernaient encore la Russie, que j’avais visité en arrivant à Saint-Pétersbourg.

Les chandeliers torsadés du Rossignol supportaient de véritables bougies et les reflets mouvants de leurs flammes sur l’or du décor donnaient l’impression que tout l’endroit scintillait, alors même qu’il était plongé dans la pénombre. Il y avait une vaste salle de restaurant dont les tables et les panneaux des box étaient recouverts de velours, ainsi qu’un salon et un bar où les gens pouvaient bavarder. en deuxième partie de soirée, un orchestre se mettait à jouer et des couples dansaient sur la piste.

Je n’avais pas pris la peine d’aller au Rossignol dès mon arrivée en ville, quelques semaines plus tôt. Dans mon arrogance, j’avais cru qu’il me serait facile de trouver des Moroï qui pourraient me renseigner sur la ville natale de Dimitri en Sibérie. Puisque je ne savais pas où il était, me rapprocher de l’endroit où il avait grandi me paraissait la meilleure chose à faire. Sauf que j’ignorais où se trouvait cette ville et me voyais donc contrainte de soutirer cette information à des Moroï. Il existait de nombreuses communautés de dhampirs en Russie, mais assez peu en Sibérie, ce qui me laissait espérer qu’on me mettrait vite sur la bonne voie. Malheureusement pour moi, les Moroï qui vivaient dans les grandes villes des humains avaient le don de passer inaperçus. J’avais commencé par inspecter les endroits susceptibles de plaire aux Moroï sans en rencontrer un seul. Mon enquête se trouvait donc dans une impasse.

Je m’étais finalement décidée à fréquenter le Rossignol, ce qui n’avait rien d’évident. Comment une fille de dix-huit ans pouvait-elle discrètement se mêler aux clients de l’un des clubs les plus huppés de la ville ? J’avais rapidement découvert que les robes hors de prix et les pourboires princiers étaient d’un grand secours. Le personnel s’était vite habitué à moi. Même si ma présence semblait étrange, personne ne faisait de remarque et on me conduisait avec les plus grands égards à la table du coin de la salle que je m’étais appropriée. On devait me prendre pour la fille d’un magnat ou d’un politicien. À vrai dire, mon identité importait peu. Je disposais d’assez d’argent pour me trouver là et c’était tout ce qui comptait.

Malgré cela, mes premières soirées s’étaient avérées décevantes. Le Rossignol était peut-être un repaire de Moroï, mais il était aussi fréquenté par des humains, au point que je crus d’abord qu’ils en étaient les seuls clients. Chaque soir, j’avais scruté la foule de plus en plus nombreuse à mesure que les heures s’écoulaient sans découvrir le moindre Moroï. Mon attention n’avait été attirée que par une femme aux longs cheveux blond platine qui avait traversé le salon avec des amis. Mon cœur avait manqué un battement. De dos, elle ressemblait tant à Lissa que j’avais cru un instant que celle-ci m’avait suivie jusqu’en Russie. Le plus étrange était que j’avais hésité entre la joie et la consternation. Lissa me manquait terriblement, mais je ne voulais surtout pas la voir impliquée dans ma dangereuse escapade. Alors la femme s’était retournée. Ce n’était pas Lissa. Ce n’était même pas une Moroï, rien qu’une humaine. Ma respiration s’était calmée peu à peu.

Je n’avais fini par repérer mes premières cibles que quelques jours plus tôt. Un groupe de femmes moroï s’était présenté pour un déjeuner tardif. Elles étaient accompagnées de deux gardiens, un homme et une femme qui s’assirent avec elles et restèrent silencieux tandis qu’elles devisaient gaiement autour d’une bouteille de champagne. Le plus dur avait été d’échapper à l’attention de ces deux-là. Pour un œil exercé, les Moroï étaient assez faciles à repérer. Ils étaient plus grands que la plupart des humains, très pâles et extrêmement minces. Ils avaient aussi une curieuse manière de sourire sans écarter les lèvres afin de dissimuler leurs canines. Avec leur ascendance, les dhampirs quant à eux ressemblaient à des humains.

Du moins, c’était ainsi que je devais apparaître aux yeux d’une personne ordinaire. Je mesurais un peu plus d’un mètre soixante-dix. Mon corps était musclé, contrairement à celui des Moroï qui avaient une minceur de mannequin peu naturelle, et ma poitrine généreuse. Je tenais ma peau mate, mes longs cheveux noirs et mes yeux sombres de mon père turc que je ne connaissais pas, et mon teint avait encore bruni du fait d’une longue exposition au soleil. Mais ceux qui avaient été élevés dans le monde des Moroï n’avaient qu’à m’examiner d’un peu plus près pour identifier la dhampir en moi. Je n’étais pas certaine de savoir pourquoi. C’était peut-être une sorte d’instinct qui nous permettait de reconnaître nos congénères ou le sang moroï qui coulait dans nos veines.

Dans tous les cas, il était vital que je paraisse humaine aux yeux de ces gardiens pour ne pas éveiller leurs soupçons. J’étais dans mon coin habituel où je feignais de lire un livre tout en picorant du caviar. Pour la petite histoire, je trouvais le caviar écœurant, mais il semblait y en avoir partout en Russie, et surtout dans les endroits les plus chics. C’était le plat le plus répandu avec une sorte de soupe de betteraves appelée « bortsch ». Je ne finissais presque jamais mon assiette au Rossignol et fonçais au McDonald’s dès que j’en sortais. Les hamburgers n’étaient pas tout à fait les mêmes que ceux auxquels j’étais habituée aux États-Unis, mais il faut bien se nourrir.

J’avais donc mis mes entraînements en pratique et m’étais efforcée d’observer les Moroï sans me faire remarquer de leurs gardiens. J’avais été aidée par le fait que ces derniers n’avaient pas grand-chose à craindre durant la journée puisque les Strigoï ne supportaient pas la lumière du soleil. Néanmoins, il était dans la nature des gardiens d’être attentifs à tout et leurs regards ne cessaient de balayer la salle. Comme j’avais eu le même entraînement qu’eux et connaissais leurs techniques, j’avais réussi à échapper à leur vigilance.

Les femmes revinrent régulièrement, souvent en fin d’après-midi. L’académie de Saint-Vladimir avait des horaires nocturnes, mais les Moroï et les dhampirs qui vivaient parmi les humains s’adaptaient à leur rythme ou optaient pour un entre-deux. Dans un premier temps, j’avais envisagé de les aborder directement, elles ou leurs gardiens. Quelque chose m’avait retenue. Pour savoir où vivait une communauté de dhampirs, il fallait des hommes moroï. Beaucoup d’entre eux fréquentaient ce genre de lieu dans l’espoir de débaucher des filles dhampirs faciles. J’avais donc décidé d’attendre une semaine de plus. Si je ne repérais pas d’hommes d’ici là, je tâcherais d’obtenir des informations auprès de ces femmes.

Finalement, deux hommes moroï étaient apparus à leur tour et venaient ce soir-là pour la troisième fois. Ils étaient arrivés plus tard dans la soirée, lorsque celle-ci battait son plein. Plus âgés que moi d’une dizaine d’années, ils étaient d’une beauté frappante, encore rehaussée par leurs costumes taillés sur mesure et leurs cravates en soie. Ils se comportaient comme des personnages importants et j’aurais parié qu’ils étaient de sang royal, d’autant plus qu’ils étaient accompagnés de deux gardiens. Ceux-ci ressemblaient à tous les gardiens : c’étaient de jeunes hommes, eux aussi vêtus d’un costume pour se fondre dans le décor, et qui surveillaient sans cesse la salle d’un œil attentif.

Le Rossignol comptait beaucoup de femmes parmi ses clients et les deux Moroï étaient de vrais séducteurs. Ils avaient passé leur temps à aborder toutes celles qu’ils croisaient, toutes espèces confondues. Mais aucun des deux soirs précédents ils n’étaient repartis avec des humaines. C’était un tabou puissamment ancré dans notre monde. Cela faisait des siècles que les Moroï se préservaient de cette espèce devenue si riche et si puissante.

Ils n’étaient pas repartis seuls pour autant. Des dhampirs, différentes chaque soir, avaient fini par les rejoindre. Leurs robes étaient scandaleusement courtes et leur maquillage était trop lourd. Elles buvaient beaucoup et riaient dès que l’un des hommes ouvrait la bouche, même quand ce n’était pas drôle. Elles portaient toutes les cheveux détachés, mais leurs mouvements de tête laissaient parfois entrevoir leur gorge, couverte de meurtrissures. C’étaient des catins rouges, des dhampirs qui laissaient les Moroï boire leur sang pendant l’acte sexuel. C’était aussi un tabou, un vice qui se pratiquait en secret.

J’avais espéré réussir à me retrouver seule avec l’un des Moroï pour l’interroger en échappant à l’attention de son gardien, en vain. Les gardiens ne perdaient jamais leur Moroï de vue. Par deux fois, j’avais même tenté de les suivre, mais le groupe s’était engouffré dans une limousine dès sa sortie du club et il m’était impossible de les traquer à pied. C’était frustrant.

Ce soir-là, je m’étais finalement résignée à me présenter au groupe tout entier en courant le risque d’être repérée par les gardiens. J’igno- rais si quelqu’un avait lancé un avis de recherche après mon départ ou si ces gens allaient se soucier de savoir qui j’étais. Je me faisais peut-être une trop haute opinion de moi-même. Il était fort possible que tout le monde se moque du destin d’une marginale. D’un autre côté, si quelqu’un avait pris la peine de lancer des recherches, mon signalement avait forcément fait le tour du monde des gardiens. Même si j’étais désormais majeure, j’étais sûre que certaines personnes de ma connaissance n’hésiteraient pas à me ramener de force aux États-Unis et il n’était pas question que j’y retourne avant d’avoir trouvé Dimitri.

Alors que je m’apprêtais à m’approcher du groupe, l’une des dhampirs avait quitté la table pour se diriger vers le bar. Les gardiens l’avaient suivie des yeux, évidemment, mais sa sécurité n’avait guère semblé les inquiéter et ils avaient rapidement reporté leur attention sur les Moroï. Depuis le début, je croyais avoir plus de chances d’obtenir l’information que je cherchais d’un homme moroï, mais qui pouvait mieux connaître un village habité par des dhampirs et des catins rouges qu’une authentique catin rouge ?

Je m’étais levée et dirigée vers le bar d’une démarche nonchalante comme si j’avais voulu commander un verre, moi aussi. Je m’étais arrêtée près de la jeune femme qui attendait d’obtenir l’attention du barman et l’avais observée du coin de l’œil. Elle était blonde et portait une robe longue couverte de paillettes argentées. Je n’aurais su dire si mon fourreau de satin noir paraissait de bon goût ou tout à fait quelconque en comparaison. Tous ses mouvements, et même sa manière de rester immobile, avaient la grâce de ceux d’une danseuse. Le barman avait servi d’autres clients. C’était le moment ou jamais. Je m’étais penchée vers elle.

— Parlez-vous anglais ?

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Description ajoutée par moumouthe 2011-01-19T13:22:54+01:00

Liés par amour,mais jurés à tuer...

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Description ajoutée par pertadz 2010-07-07T14:28:48+02:00

Le choc passé suite à la disparition de l'amour de sa vie, Rose part à sa recherche en Russie. Déterminée à tenir sa promesse envers eux deux, elle a quitté tous ceux qui tenaient à elle à l'Académie, notamment Lissa, et est prête à tout pour le retrouver, y compris prendre d'énormes risques. Mais elle a le cœur plein de souvenirs et chaque détail, chaque visage, chaque parole peut lui remémorer un vestige du bonheur passé. Et on partage pleinement sa peine, jusqu'à parfois avoir soi-même le cœur et serré et les larmes au bord des yeux. A travers le voyage de Rose, on en apprend plus sur le passé de Dimitri et la relation entre la jeune fille et le gardien, à travers quelques flash backs savamment distillés, rares mais significatifs pour tous ceux qui aiment ce couple. Les surprises dans ce roman sont toujours de légion, et certaines scènes sont à la fois satisfaisantes et déchirantes à la fois pour Rose et pour le lecteur. Même si c'est volontaire de la part de l'auteur, des moments du livre décrivent une Rose assez passive, faible et vulnérable, ce qui n'est pas agréable puisqu'on sait qu'elle est au contraire très forte, brave, au point d'être parfois imprudente, mais toujours volontariste. Heureusement, cela s'estompe rapidement.

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Description ajoutée par lalad1996 2011-11-10T20:31:20+01:00

"Entre romance, suspense et découvertes extraordinaires, on ne peut lâcher le livre qu'une fois terminé!"

Super!

"Des personnages attachants que l'on n'a pas envie de quitter."

Like it!

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Description ajoutée par miracl 2010-06-25T00:22:10+02:00

Jusqu'où ira Rose pour tenir sa promesse ?

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