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— Si vous étiez humain, je vous donnerais entre vingt-cinq et trente ans.

— J’en avais vingt-neuf quand j’ai été vampirisé il y a soixante ans.

— Waouh ! vous êtes un vieux schnock !

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Extrait ajouté par Gruvioler 2015-06-24T01:02:21+02:00

— Tu as vu Nicole ?

Riker hocha la tête.

— Pourquoi l’as-tu laissée conclure ce marché débile ?

— Tu crois vraiment que j’ai eu le choix ? lui rétorqua Hunter avec ironie. Elle allait le faire que je l’y autorise ou non. (Quelle tête de pioche ! N’empêche que cela fit sourire Riker.) Et ça me coûte de le reconnaître, mais c’était une bonne idée, comportant peu de risques. Si elle réussit, son entreprise aura réellement accompli quelque chose de bien. Accidentellement, OK, mais on ne va pas cracher dessus.

À cet instant, Riker se foutait pas mal de ce que Nicole faisait pour le bien de la population vampire. Tout ce qu’il voulait, c’était qu’elle revienne.

— Je ne peux pas l’abandonner, Hunter.

Fermant les yeux, le chef tourna le visage vers les étoiles.

— Je redoutais que tu dises ça. (Il baissa la tête et cloua Riker d’un regard aussi noir que le ciel.) Tu as toujours été d’une loyauté sans failles.

— C’est plus que ça.

Riker tira sur l’élastique du pyjama déchiré et exposa l’aile écarlate au niveau de sa hanche.

— Oh… merde ! (Une chouette ulula dans le lointain, distrayant Hunter l’espace d’une seconde.) C’est une bonne chose ?

Bonne ? Ça pouvait l’être, mais, vu leur dernière rencontre, cela pouvait également s’avérer un désastre.

— Je l’aime.

— Mais ? s’enquit Hunter.

Dans la bouche de Riker, « je l’aime » avait dû sonner comme « j’ai envie de me pendre ».

— Elle ne le sait pas. (Riker enfonça la main dans ses cheveux.) Putain ! je l’ignorais aussi jusqu’à aujourd’hui. Pendant tout ce temps, j’étais tellement obnubilé par Terese et tout ce qu’elle a subi. (Une douleur lui élança la poitrine, martelant son sternum.) Je croyais avoir réussi à dépasser tout ça, mais, quand Bastien est arrivé, l’enfer qu’il a vécu a fait remonter toute cette merde à la surface.

— Laisse-moi deviner…

Hunter marqua une pause pour faire signe à Jaggar et Baddon, et les deux guerriers se fondirent dans la forêt pour effectuer une patrouille de routine. Le gardien mystique, Sabre, frotta des herbes entre ses paumes et commença à renforcer les barrières de protection autour du campement.

— Tu désirais Nicole, mais ne pouvais pas t’engager parce que c’était une Martin, que sa famille avait torturé Terese et Bastien, et que c’était une humaine. J’ai bon jusque-là ?

En plein dans le mille.

— Aussi juste qu’une flèche entre les yeux, reconnut Riker.

— Tu as fini par te réveiller et décidé que tu pouvais t’engager, mais maintenant qu’elle est une vampire et que tu l’as imprégnée, si tu lui dis que tu l’aimes, elle pensera que tu la veux uniquement parce qu’elle n’est plus humaine et à cause de l’imprégnation.

De toute évidence, Hunter comprenait bien mieux la situation que Riker, qui se contenta d’acquiescer avec solennité.

— Vu la façon dont je l’ai traitée avant sa transformation, elle ne croira jamais que j’aurais voulu être avec elle si les choses étaient restées telles quelles.

Hunter considéra ses propos. Et finit par hausser les épaules.

— Vieux, tu es dans la merde.

— Merci, chef, répondit Riker d’une voix morne, d’enfoncer des putains de portes ouvertes.

Hunter haussa de nouveau les épaules.

— J’aurais dû faire conseiller conjugal ou thérapeute.

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— Ce vampire, déclara-t-elle avec fermeté, est un crétin fini.

Il explosa de rire.

— Ça alors ! lança-t-il en prenant la direction opposée. On est enfin d’accord sur quelque chose.

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Extrait ajouté par Poevai 2015-04-02T11:30:01+02:00

— Est-ce que tu as des regrets ?

— Oui.

— Est-ce que tu es fière de toi ?

— En vérité, oui. J’ai guéri le cancer. J’ai conçu des traitements qui ont sauvé des milliers de vies. Et à présent je compte mettre à profit ce que j’ai appris chez Daedalus pour aider les vampires. Et je t’emmerde.

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Extrait ajouté par AlexMaisse 2015-04-27T15:02:10+02:00

— Ma chérie, je sais que tu es un genre d’experte en physiologie vampirique, mais tu as dû rater les cours d’éducation sexuelle. Les bébés, ça pousse dans le ventre, pas dans les seins.

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Extrait ajouté par Gruvioler 2015-06-24T01:03:52+02:00

Il se dirigea vers le sud-est et avait marché huit cents mètres lorsque Myne apparut, vêtu de noir de la tête aux pieds et aussi silencieux qu’une chouette se laissant tomber d’un arbre.

— Comment tu fais ça, putain ? s’exclama Riker.

Myne resta dans sa position accroupie.

— Je suis génial de naissance.

— Tu es un crétin de naissance.

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Extrait ajouté par Gruvioler 2015-06-23T23:05:31+02:00

Des coups contre sa porte le firent sursauter. Nicole ! Comme un gamin le jour de Noël, il s’empressa d’ouvrir, et trouva Myne sur le seuil, vêtu de noir de la tête aux pieds, son corps massif couvert d’armes. C’était sans doute pour le mieux, mais Nicole était bien plus agréable à regarder.

— Est-ce que Riker peut sortir jouer ? demanda Myne.

— Ça dépend. (Riker l’observa, les yeux plissés. Myne avait souvent une vision déformée de l’amusement.) Jouer à quoi ?

— À « braconne les braconniers ».

Cool. Riker adorait ce jeu.

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— Attends… alors… il ne s’agit que de gratitude ? Tu veux me témoigner ta reconnaissance avec du sexe ?

Les joues de Riker devinrent cramoisies, et elle sut qu’elle avait tapé dans le mille.

— Non.

— Dommage, répondit-elle, se surprenant elle-même, mais bon sang !

Elle en avait assez de n’exercer aucun contrôle sur sa vie et d’avoir l’impression d’être ballottée au gré du vent. S’il voulait coucher avec elle pour la remercier, qui était-elle pour refuser ?

— Je veux un orgasme, ajouta-t-elle.

Riker en resta bouche bée. Se reprit. Quand Nicole laissa tomber la serviette et se dressa devant lui dans le plus simple appareil, il fut bouche bée une nouvelle fois.

— Allez, vas-y, remercie-moi.

— Nicole…

source: La chronique des Passions

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— Si j’étais vous, je veillerais à ne pas balancer des insultes à tout-va, dit-il. La plupart peuvent vous être renvoyées en pleine figure.

Démon suceur de sang. Monstre à crocs. Pire cauchemar d’un dentiste. En voilà au moins trois !

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— Me fais-tu confiance ?

Bastien se pencha au-dessus de la table, esquissant une moue à peine perceptible.

— Ce n’est pas pour autant que je fais confiance à ton jugement.

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