Commentaires

Je ne sais pas quoi penser de ce bouquin. Il y a certains points qui me plaisent énormément et dès le départ je savais que ça me plairait mais pourtant certaines choses me dérangent. À mon sens certaines choses ne collent pas avec l'univers qui a été mis en place et cela détonne complètement l'histoire. Pourtant j'ai passé un excellent moment la plupart du temps. À voir si pour le deuxième ça s'améliore ou non.

Je tiens à dire que si j'ai mis ce premier tome en argent c'est grâce à la fin qui a sauvé le tout.

Dès le début, j'ai eu du mal avec le vocabulaire. Pas le style d'écriture de l'auteur mais le vocabulaire concernant la mode qui est celle de l'époque de Louis XIV. Une fois que je me suis habituée j'ai commencé à bien apprécier l'histoire. Et puis, les actions de l'héroïne ont commencé à vraiment m'agacer. D'accord elle veut se venger. D'accord elle est presque prête à tout pour y parvenir. Mais ça ne matche pas avec sa personnalité. Par exemple Spoiler(cliquez pour révéler)pour Mme Thérèse, elle va dire qu'elle n'avait pas le choix etc etc. Mais elle ne va assumer pas qu'elle vient de commettre meurtre. Parce que c'est le cas, elle n'a pas aider cette femme ce qui a engendrée sa mort. Jeanne l'a tué mais elle refuse de voir l'évidence même. Et ça c'était vraiment agaçant parce qu'en plus c'est ça à chaque incident/accident. Elle ne va jamais assumer la responsabilité de ses actions et à la fin ça m'a juste énervé. Ce qui m'a aussi agacé c'est que tout me semblait facile. Alors certes il y avait des obstacles mais je savais qu'il y aurait quelque chose qui ferait que Jeanne réussirait du coup les obstacles n'en sont pas vraiment. Pas vraiment de suspense du coup mais la fin a vraiment sauvé ce premier tome. J'espère vraiment que dans le tome 2 Jeanne sera plus mûre parce que ces actions dans le 1 sont vraiment limite. Spoiler(cliquez pour révéler)Encore elle serait une conn*sse et l'assumerait fièrement d'accord mais ce n'est absolument pas le cas. Par exemple, Orféo a toujours été gentil c'est juste elle qui l'a catégorisé comme un monstre. Et elle a failli tuer son protecteur. Son "excuse" ? Elle a dit qu'il était tombé... Serieusement quoi.... Bref, l'histoire m'intéresse vraiment mais j'espère que l'héroïne va assumer ses actions et que le récit sera moins prévisible. Que les obstacles le sont vraiment et pas juste quelque chose pour pimenter le récit.

J'ai adoré ce roman qui est si bien pensé ! Tous les parallèles avec notre univers, les petits clins d'oeil et même la géographie sont parfaitement dosés. Les personnages sont surprenants et pour certains tellement attachants Spoiler(cliquez pour révéler)(coucou Orphéo). J'ai hâte de lire le tome 2!

Je n’aurais jamais imaginé relier un jour un roman de Victor Dixen après Phobos. Je n’aurais jamais imaginé qu’il existait sur terre un roman encore plus mauvais que les volumes 3 et 4 de Phobos. Et pourtant, je viens bel et bien de terminer La cour des Ténèbres.

Contrairement aux débuts de l’auteur qui n’auguraient que des perspectives positives, j’ai très rapidement retrouvé le Victor Dixen calculateur et businessman. Ce premier volume de la série Vampyria n’a, en effet, qu’un seul objectif : être vendu. L’intrigue principale tient sur à peine une vingtaine de pages, le reste étant du remplissage sans le moindre intérêt.

Dès les premières pages nous comprenons quel sera le destin de Jeanne, l’héroïne. Pas un seul instant je n’ai douté qu’elle parviendrait à devenir l’une des plus proches « collaboratrice » du Roy. Aucun rebondissement surprenant, pas même un seul instant où le lecteur doute de ce qui arrivera à cette jeune roturière. Ayant peur de me spoiler moi-même, je ne prendrai pas le risque de prédire de ce qu’il se passer dans les deux prochains volumes.

Victor Dixen nous propose, malheureusement pour nous, un personnage principal inabouti auquel il est impossible de s’identifier. Jeanne, ladite « héroïne », ne peut qu’être détestée tant pour ses actions que pour sa personnalité qui représentent tout ce qu’elle déteste elle-même.

L’auteur a bien tenté, à plusieurs reprises, d’installer une sorte de « suspense » grâce aux bourdes de « sa pucelle ». Certains lecteurs se laisseront prendre, craindront peut-être même pour sa vie, sans même forcément comprendre que tout est écrit d’avance. Le méchant professeur est un allié. Le garçon qu’elle aime est un traitre. Le Roy qu’elle aura l’occasion de tuer ne mourra pas… Bref, beaucoup de « faux rebondissements » qui ne surprendront que les lecteurs les plus naïfs.

Ce qui accentue ce sentiment d’être un simple « acheteur » avant d’être un lecteur, c’est la piètre qualité du texte d’un point de vue syntaxique et orthographique. Ce roman est rempli d’erreurs. Une bonne cinquantaine. Minimum. « […] la plus grandes des chasseresses […] »; « […] il comprend celui choses mortes. » Sur les 80 annotations réalisées sur ma liseuse, 57 mettent en avant de telles erreurs.

Ce roman a-t-il seulement été relu par Victor Dixen ou par la maison d’édition ? Ou bien, avons-nous droit à une méthode moins conventionnelle comme dans Phobos, tomes 3 ou 4 où l’auteur nous avait pondu à deux reprises 650 pages d’e détails inutiles d’un premier jet précipité dans le seul objectif de vendre en masse ?

Dans ce roman, Victor nous emmène dans un univers uchronique où le Roy Louis XIV s’est transmuté en Vampyre au soir de sa mort. L’ère industrielle n’ayant pas eu lieu, l’héroïne, Jeanne Froidelac, évolue dans une France moyenâgeuse où règne une dictature vampyrique.

• Le world building est très bien développé et permet une immersion totale dans l’univers de l’auteur. C’était une lecture agréable même si je ne suis plus habituée au style jeunesse. La plume de l’auteur est poétique et immersive et nous emmène dans une ambiance baroque vampyrique qui fait froid dans le dos. J’ai été absorbée par les aventures de Jeanne et les rebondissements m’ont tenu en haleine. J’ai même eu la sensation de vivre les émotions de l’héroïne en même temps qu’elle. Cette lecture m’a réconcilié avec les créatures vampiriques.

Le point de départ me paraissait carrément intéressant. Je suis très friande des romans de vampire et je me disais : « Chouette ! Une nouvelle saga vampirique, la couverture et le roman sont super beaux, ça doit être top ! ».

Encore une fois, j’ai vite déchanté. L’héroïne m’est apparue d’entrée de jeu antipathique, beaucoup de violence et surtout, surtout, de cruauté. J’ai persisté un peu, en me disant que ce serait peut-être différent ensuite, mais non. Toujours pareil, violence et cruauté. J’ai abandonné ma lecture, ce que je fais rarement, mais là, vraiment, c’était impossible. Sans faire de fixation, cela me permet encore une fois de constater que le fantastique est un genre, comme la romance, qui ne réussit pas beaucoup aux Français à quelques rares exceptions près. Je ne recommande donc absolument pas ce roman.

Lecture un peu mitigée pour moi. Il faut bien avouer que le contexte de l'histoire est vraiment fantastique : le roy soleil, vampire régnant depuis 3 siècles sur la magna vampyra ! Ça pose les bases d'une bonne histoire. Mais j'ai trouvé le reste de l'histoire un peu décevant, de même que le perso principal. Elle a fait des choses ultra agaçants, je trouve ! Et son amourette avec Tristan a été trop rapide pour me paraître réaliste. Heureusement, l'auteur a su, grâce à son style d'écriture, me faire passer au dessus de ça pour aller jusqu'à la fin, et nous amener à un très bon dénouement pour ce 1er Tome. J'ai adoré le dernier effet de surprise concernant Spoiler(cliquez pour révéler)la réelle motivation de Tristan. Je lirai le tome 2 et 3, car j'aime l'originalité de l'univers. En espérant que je trouve Jeanne moins agaçante 😅

Je pensais aimé ce livre, je voulais tant l'aimer. J'en ai entendu que du bien. Mais voilà, l'écriture m'a déçue, personnages trop stéréotypés et l'héroïne est détestable à souhait, à radoter tout le long du livre "lui je l'aime pas, je vais me venger " "lui je vais l'utiliser à mes fins de vengeances" "je vais me venger"... A vouloir miser sur le pathos, on en oublie de creuser l'univers qui est certes original, mais trop survolé.

et puis Spoiler(cliquez pour révéler)la mort de sa famille arrive bien trop tôt, je n'ai pas eu le temps de m'attacher a ses parents pour avoir été dégoûtée de leur mort et me délecter d'une vengeance

Le roman se lit vite car l'écriture est très facile.

J'ai commencé ce livre avec une certaine crainte car j'en ai entendu beaucoup de bien, mais le fait que Louis XIV soit l'un des personnages a souvent refroidi ma volonté de le lire. Puis j'ai décidé de me lancer en audiobook, après d'innombrables louanges entendues vis-à-vis de ce format. Si la première moitié du livre m'a fortement plue, j'ai rapidement déchanté face à la seconde. Je ressors de cette lecture plutôt mitigée, je suis même incertaine quant à mon envie de continuer la lecture de cette saga.

La première moitié était très intéressante. On suivait Jeanne Froidelac, une roturière, dont la famille fut assassinée par les soldats du roi et qui, par un concours de circonstances, est amenée à prendre l'identité de Diane de Gastefriche, une fille de baron. Elle intégrera alors une école réservée aux jeunes nobles du royaume, dans laquelle est organisée annuellement un concours pour devenir l'écuyer et l'écuyère du roi.

Cette idée d'école pour la jeune noblesse est très intéressante en ce qu'elle m'a rappelée l'école de St Cyr à sa création qui était un établissement pour jeunes filles nobles désargentées, fondé par Madame de Maintenon, maîtresse puis épouse de Louis XIV. Je ne sais si Victor Dixen, l'auteur, s'est inspiré de cette école mais j'ai tout de même apprécié l'existence de cette école. Néanmoins, j'ai rapidement remarqué ce qui me semble être des incohérences avec les moeurs de l'époque classique (certes, en 300 ans les moeurs auraient pu changer, mais vu les idées rétrogrades qui continuent de véhiculer dans le monde dépeint par l'auteur, j'ai du mal à croire que le patriarcat n'a pas perduré ; par ailleurs, dire qu'il s'agit d'une oeuvre de fiction est un argument intéressant, mais si l'auteur s'inspire largement d'une société historique avec des personnages historiques réels, il faudrait au moins que son histoire les dépeint de manière réaliste). J'ai eu le sentiment que le patriarcat au sein de cette société était largement effacé, or je trouve cela irréaliste en sachant notamment les idées véhiculées à l'époque.

En outre, concernant les autres clins d'oeil à l'histoire (ou les liens que j'ai pu faire), je pense notamment au Code Mortel (un clin d'oeil au Code Noir qui régissait les règles relatives à l'esclavage ?), aux dragons (même si j'aurais aimé que ces unités portent des armes à feu, tels des fusils, cela aurait rappelé les gravures de l'époque les représentant mettant en joug des protestants durant les dragonnades après 1685), les masques d'Apollon (une référence à l'image du soleil fréquemment utilisée par Louis XIV au point de se costumer en Apollon flamboyant lors d'un ballet), le bassin de Latone (tout du moins c'est ce que j'en ai déduit au regard d'une description d'une fontaine des jardins. Je regrette cependant que la plupart des fontaines aient été remplacées par de nouvelles, alors que certaines d'entre elles avaient une signification toute particulière pour le roi), l'architecture du chateau, le coucher et le lever du roi, etc. Si vous ne l'avez pas déjà compris, je suis passionnée par Louis XIV, ce qui m'a amenée de prime abord à rechigner la lecture de ce livre car justement j'avais peur de pointer du doigt de trop nombreuses incohérences historiques. Il y en a, certes, mais au final j'ai aussi pu remarquer certains clins d'oeil à l'histoire et c'est une très bonne chose.

Je regrette cependant que certains points aient été abordés maladroitement, voire pas du tout. Je pense à Madame de Maintenon précitée, est-elle toujours une épouse secrète ou est-elle reconnu publiquement comme étant la reine ? Ensuite, j'ai du mal à comprendre le choix de la date du 31 octobre pour la transformation de Louis XIV en vampyre alors même qu'il est censé être mort depuis le 1er septembre d'une gangrène. J'aurais aimé plus d'explications pour comprendre ce miracle car pour moi c'est une incohérence historique.

Concernant l'histoire, je l'ai trouvée passionnante, surtout durant la première moitié de l'oeuvre. Les retournements de situation s'enchainent. L'intrigue est exaltante, haletante et passionnante. Cependant, durant la seconde partie de l'histoire, j'ai été plus mitigée. Je pense que cette perte d'intérêt pour l'oeuvre est due aux personnages de Jeanne et de Tristan. Jeanne est beaucoup trop obsédée par sa vengeance, au point où elle perd toute empathie. Or, j'ai le plus grand mal à supporter les personnages insensibles, qui sont incapables de s'intéresser aux sentiments d'autrui dès lors qu'ils sont aveuglés par leur objectif. Elle est devenue antipathique pour moi, et donc je me désintéressais de son histoire, je soufflais à chaque fois qu'elle se comportait injustement avec autrui pour arriver à ses fins. Ce personnage ne me donne vraiment pas envie de lire le tome 2. Spoiler(cliquez pour révéler)Concernant Tristan, il faudrait que je relise les passages où il intervient, car j'ai eu le sentiment que son personnage est incohérent au regard de sa fin. L'image qu'il renvoie durant toute l'oeuvre ne ressemble en rien à ce que l'on voit de lui à la fin, aucun indice laissant supposer son caractère effroyable. C'est maladroit je trouve.

Par ailleurs, cette seconde partie montre, selon moi, la plus grande incohérence de toute l'oeuvre : comment Jeanne, une roturière, est-elle capable de rivaliser avec des jeunes nobles qui ont pratiqué l'art de la conversation, l'art courtois, l'art de l'équitation et l'escrime depuis leur plus tendre enfance ? En 2 mois, Jeanne est capable de rivaliser avec des courtisans pure souche qui eux ont mis des années à acquérir ces savoirs. Pour peu que dans le tome 2 on nous présente une Jeanne capable de rivaliser avec les pires démons, qui se bat comme une diablesse comme si elle avait fait cela toute sa vie, alors là ce serait vraiment risible.

La fin de l'oeuvre ne me donne pas envie de continuer, je suis trop décue. Durant toute la première moitié, j'étais excitée, je sentais que l'oeuvre pouvait être une très bonne lecture. Puis la fin m'a fait déchanter, quelle déception !

Je ne sais pas si je lirai le tome 2, je suis trop déçue par cette lecture. Peut-être qu'un jour j'aurais envie de continuer de lire l'histoire de Jeanne Froidelac, mais pour l'heure je pense que je vais passer mon tour.

Livre vraiment surprenant, je doit dire que le fait de reprendre l'histoire est vraiment très inventif. Le fait que Louis 14 soit devenu un vampire est totalement fou. Toutefois j'adore le concept. J'adore le fait que Jeanne soit amener a entré dans une école afin de devenir la meilleure écuyère du roi, et dame de la cour de Louis 14. Toute les intrigue sont entremêlé et ingénieuse ! J'adore !