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- Je vais prendre ta virginité maintenant, Mia. Prépare-toi, crie-t-il alors qu'il s'enfonce d'une seule poussée.
Sous le coup de la douleur, je pousse un cri, Alejandro s'arrête quelques instants avant de s'enfoncer de plus belle, se retirant et s'enfonçant encore et encore. Ses assauts sont brutaux, chargés de désirs frustrés. Passé le moment de douleur, le désir refait surface, se propageant dans toutes les cellules de mon corps. Ses va-et-vient me percutent, sa main remonte le long de mon flan pour m'emprisonner un sein qu'il titille. Je gémis sous ses assauts quand un deuxième orgasme me surprend.
Afficher en entierDeux jours que nous roulons, le seul repère que nous ayons, est le moment où nos kidnappeurs ouvrent les portes la nuit pour nous donner notre maigre pitance et nous permettre de faire nos besoins. Les quatre hommes nous surveillent de près, impossible de leur fausser compagnie. Je commence à désespérer. Repliée sur moi-même dans un coin du camion, avec pour seul sons les gémissements de mes compagnes et le roulement du moteur, les larmes commencent à glisser lentement sur mes joues. Pour avoir déjà lu des livres sur la traite des blanches, je sais bien que ce qui m’attend n’augure rien de bon. Mes parents me manquent, ils doivent être fous d’inquiétude, ils ont certainement appelé les autorités locales, ratissé la ville entière. Mais si comme dit Maria, le système est corrompu, alors je n’ai que de maigres chances que l’on me retrouve. Le camion s’arrête brutalement dans un crissement de pneus, quelques secondes plus tard, l’un des gardes vient ouvrir la porte en nous ordonnant de sortir d’une voix véhémente, nous nous exécutons. La chaleur est insupportable, avoisinant les quarante degrés, nous marchons en file indienne vers une maison abandonnée, toujours reliées les unes aux autres par une corde, le bitume me brûle la voute plantaire. Le site est désert, seulement entouré de quelques cactus, un croassement de corbeau me fait lever les yeux. Il nous nargue, semble rire de notre sort, ou alors, il attend que l’une de nous meure, pour festoyer. La maison est divisée en trois pièces : une petite cuisine, une salle de bains, et un semblant de chambre, seuls des matelas sales jonchent le sol.
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