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Lyrisme et perversion dans ces nouvelles plus pornographiques qu’érotiques. En 1940, traversant de graves problèmes financiers, Anaïs Nin se lance dans l’écriture de nouvelles érotiques à l’instigation d’un collectionneur mystérieux. Un dollar la page. « Vénus Erotica » sera suivi des « Petits oiseaux ». Débordements de plaisir et d’érotisme extrême font de la sexualité un art à la fois tendre et décomplexant.
Vénus erotica est un recueil de nouvelles écrites pour un collectionneur. C’est le premier ouvrage érotique que je lis, car le genre ne m’attire pas du tout à la base, mais il faut bien un début à tout, et pour ça quoi de mieux qu’un classique ?
J’ai lu récemment la biographie en BD d’Anaïs Nin par Léonie Bischoff (magnifiques dessins !) et j’étais ressortie très troublée de ma lecture : il y a tellement de choses à en dire, parfois contradictoires que je n'ai pas su en faire la critique, ni même savoir si j'avais aimé ou non. L’écrivaine semblait avoir une personnalité et une vie très complexes, et j’ai eu envie de la découvrir sous un autre angle : le sien.
Anaïs Nin a une jolie écriture, plaisante à lire, qui oscille entre douceur et intensité. Vu ses envolées lyriques, elle se battait clairement le clito des exigences de son commanditaires (« plus de sexe, moins de poésie ! »).
Elle sait bien décrire le plaisir féminin et c’est presque toujours le centre de ses histoires. Le plaisir des hommes, même s’ils dominent souvent la femme, est moins décrit. Les rapports homosexuels et bisexuels sont également représentés. Dans sa biographie, j’avais parfois l’impression que Nin elle-même se construisait et désirait en fonction du regard des hommes, non pour elle-même, et d’autres fois qu’elle avait une vision très émancipatrice de la sexualité féminine. J’ai ressenti la même impression ici, mais c’est peut-être biaisé par le fait que ce sont des écrits commandés.
L’autrice se joue des tabous et à la sensualité voluptueuse se mêlent parfois le viol, l’inceste, la pédophilie, la nécrophilie et la zoophilie. Dans son univers et ses fantasmes, plaisir et dégoût sont intimement mêlés, la morale n’existe pas, et il m’a fallu un moment pour m’y habituer. Malgré quelques redites de thèmes et un côté un peu daté pour certaines choses, j’ai trouvé beaucoup d’imagination dans ces textes.
Dans l’ensemble, j’ai préféré les nouvelles plus courtes, qui m’évoquent davantage des tableaux ou des concepts érotiques plutôt que des récits. On sent vraiment que l’autrice était payée un dollar la page et certaines nouvelles les plus longues traînent jusqu’à n’avoir plus aucun intérêt ni cohérence.
Une découverte intéressante, mais une fois ma curiosité assouvie, je n’ai pas forcément envie d’explorer le genre davantage.
Très déçue ...je voulais découvrir une auteure classique de l'érotisme...
Inceste violence un univers vraiment "particulier"....rien d'attrayant !!!!
On m'avait dit que c'était un classique. Après le grand succès de 50 nuances de grey et l'engouement pour une littérature dite erotique je voulais approfondir ce style de littérature en commençant par des "classiques" et... j'ai vraiment été désagréablement surprise par cet ouvrage qui m'a coupé l'appétit. Heureusement que l'autres ivres relèvent le niveau
J'ai acheté ce livre après qu'une amie me l'ait conseillé ... et j'en suis déçue !
Comment peut on parler d'érotisme ? C'est très daté et complétement dépassé ! Les petites nouvelles sont décevantes car elles ne démarrent jamais vraiment et finissent par une situation glauque voire même perverse... Rien de bien enthousiasment ! J'attendait mieux d'une auteure de qualité dit-on...Ambiance malsaine selon certains textes et beaucoup d'amours lesbiennes.... ça ne me gène pas mais elle semblent superficielles et artificielles sans Amour proprement dit ... On a du mal à entrer dans le récit et à conserver un niveau d'excitation...
Un livre auquel je reviens souvent pour sa compréhension féminine et des désirs féminins. Le fait qu'il propose un recueuil de nouvelles permet aussi de le lire en plusieurs fois ou de temps en temps.
Je reste admirative d'Anaïs Nin et de son audace, pour l'époque.
Rassemblant plusieurs nouvelles érotiques, Anaïs Nin évoque avec une grand liberté, pour l'époque, le plaisir et les désirs féminins. Certaines des nouvelles peuvent paraitre choquantes (inceste...) mais je n'ai pas pu m'empêcher tout au long de ma lecture d'admirer l'écriture et l'insolence de cette auteure, une des premières femmes à écrire un roman érotique.
Une série de nouvelles dans lesquelles se croisent divers personnages. Ceci dit le contexte dans lequel furent écrites ces histoires dénaturent je l'espère l'écriture et le talent d'Anaïs Nin. N'ayant rien lu d'elle auparavant j'étais loin de me douter que j'allais lire des textes érotiques aussi dérangeants, choquants voire même parfois carrément nauséabonds. A croire que toute les pratiques sexuelles ont été présentées ici en espérant que l'une d'elle tapera dans le mille et plaira aux goûts étranges du collectionneur à qui elles sont destinées. Mais était-ce nécessaire de mêler à de l'érotisme qui pourrait être magnifique naturellement, de l'inceste, de la zoophilie et d'autres ignominies? Certes la libération sexuelle est totale, l'homosexualité très bien abordée la femme est entière et maîtresse de son corps mais pour moi, certains textes vont beaucoup trop loin, et s'éloignent de ce que l'on peut trouver d'artistique dans ce genre de littérature. Je pense qu'un jour je lirai autre chose de cette auteure en espérant y découvrir la beauté d'écriture dont j'ai entendu parlé et qui m'a poussé à lire ce volume.
Une des premières femmes réalisant des ouvrages érotiques, choquants à l'époque, parce qu'elle parle aussi de bisexualité. C'était une femme très intelligente et curieuse, cela se sent dans ses écrits...
Résumé
Lyrisme et perversion dans ces nouvelles plus pornographiques qu’érotiques. En 1940, traversant de graves problèmes financiers, Anaïs Nin se lance dans l’écriture de nouvelles érotiques à l’instigation d’un collectionneur mystérieux. Un dollar la page. « Vénus Erotica » sera suivi des « Petits oiseaux ». Débordements de plaisir et d’érotisme extrême font de la sexualité un art à la fois tendre et décomplexant.
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