Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
710 548
Membres
993 015

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Bibounine 2018-05-14T17:32:29+02:00

- On ne peut pas aimer à volonté, répondait-elle.

Je ne veux pas d'érotisme sans amour. Et l'amour

profond ne se rencontre pas si souvent.

Afficher en entier
Extrait ajouté par DarkTales 2017-07-08T00:14:15+02:00

Maintenant la guerre est déclarée, et des tas de gens vont mourir, sans rien connaître parce qu’ils refusent de parler de sexe. C’est ridicule !

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lili-Prune 2016-02-26T22:50:55+01:00

Et tout doucement, très délicatement, les mains de Pierre se mirent à parcourir son corps, comme pour trouver l'endroit où se concentraient ses sensations, ignorant si c'était autour des seins ou bien sous les seins, ou encore sur les hanches ou la chute des reins. Il guettait les réactions de sa chair, attentif au plus léger frémissement. Ses robes, ses draps, sa chemise de nuit, l'eau de son bain, le vent, la chaleur, tout cela avait rendu sa peau sensible, et maintenant les caresses la comblaient ; elles ajoutaient une chaleur nouvelle et avaient le pouvoir de pénétrer dans les endroits les plus secrets.

(« Pierre »)

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lili-Prune 2016-02-26T22:50:41+01:00

En le quittant, elle se sentit heureuse. L'amour pouvait-il devenir un feu qui ne brûle pas, comme le feu des bonzes hindous ; était-elle en train d'apprendre à marcher magiquement sur les braises ?

(« Elena »)

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lili-Prune 2016-02-26T22:50:31+01:00

A dix ans, Pierre connaissait tous les secrets d'une coquette qui ne vivait que pour ses amants. Il regardait sa mère se préparer, se poudrer le visage et les aisselles et glisser la houppette dans son décolleté, entre les seins. Il la voyait à la sortie du bain, à peine cachée sous son kimono, les jambes nues, enfilant ses très longs bas. Elle aimait porter les jarretelles très haut de façon que ses bas montent presque jusqu'aux hanches. Tout en s’habillant, elle lui parlait de l'homme avec qui elle avait rendez-vous, exaltant les manières aristocratiques de l'un, le charme de l'autre, le naturel d'un troisième, le génie d'un quatrième - comme s'il fallait que Pierre devienne un jour tous ces hommes à la fois, rien, que pour elle.

(« Elena »)

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lili-Prune 2016-02-26T22:50:20+01:00

John dormait, le corps dans la même position que lorsque j'étais contre lui, un bras rejeté en avant pour accueillir ma tête. Je me glissai à ses côtés et m'endormis à moitié. J'avais de nouveau envie de toucher son sexe. Je le fis doucement, pour ne pas le réveiller. Je m'endormis enfin et fus réveillée par ses baisers. Nous nous enfoncions dans l'obscur univers de la chair, monde de vibrations, où chaque caresse est une joie. Il saisit mes hanches avec fermeté et les pressa contre lui. Il avait peur de me faire mal. J'écartai les jambes. Lorsqu'il me pénétra, le plaisir surpassa la douleur. J'avais un peu mal tout au bord, mais dans mon ventre, au fond de moi, j'aimais sentir son sexe me posséder, bouger en moi. Je poussai fort, pour mieux le sentir.

(« Artistes et modèles »)

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lili-Prune 2016-02-26T22:49:56+01:00

« Tu as été un bon amant, Marcel. J'ai aimé la façon dont tu as tenu mes fesses dans tes mains. Tu les serrais fort, comme si tu allais les manger. J'ai aimé la façon dont tu as pris mon sexe entre tes mains. D'une façon si décidée, si mâle. J'aime ce quelque chose de l'homme des cavernes.

- Pourquoi les femmes ne disent-elles jamais ça aux hommes ? Pourquoi les femmes en font-elles un tel mystère ? Elles pensent que cela détruirait leur propre mystère, mais c'est faux. Et toi, tu dis tout ce que tu penses. C'est merveilleux.

- Je crois qu'il vaut mieux le dire. Il y a déjà assez de mystères, et ces cachotteries n'augmentent en rien le plaisir. Maintenant la guerre est déclarée, et des tas de gens vont mourir, sans rien connaître parce qu'ils refusent de parler de sexe. C'est ridicule ! »

(« Marcel »)

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lili-Prune 2016-02-26T22:49:46+01:00

De son portefeuille, elle sortit quelque chose qui ressemblait à un fin mouchoir. Elle l'ouvrit. Dessus, on avait peint un derrière de femme, dans une position qui permettait de voir parfaitement le sexe et, à côté, un pénis de même proportion. Elle tira sur le mouchoir, qui était élastique, et on avait alors l'impression que le derrière remuait ainsi que le pénis. Puis elle retourna le mouchoir : le pénis continuait à se soulever, mais, cette fois, il semblait pénétrer le sexe. Elle donna vie à cette image, par un mouvement régulier de ses mains. Je ris, mais cette vue m'excita et nous ne sommes jamais allés au café Wepler ; la fille m'emmena chez elle.

(« Marcel »)

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode