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Extrait ajouté par Riverie 2018-09-26T13:23:30+02:00

Alissa, je t’ai aimée quand tu étais une fille des contreforts qui défiait les montagnes et l’hiver précoce. Je t’ai aimée quand tu étais un Gardien déterminé à ne pas laisser Bailic décider de ton avenir. Je t’ai aimée quand tu es devenue un Maître, plus sauvage que les montagnes elles-mêmes. Rien n’a changé. (Ses yeux brillaient de larmes non dissimulées.) Rien ne changera jamais.

Il cilla comme sous l’effet d’une souffrance ancienne et Alissa sentit son cœur battre plus fort.

— Je me suis fait une place dans la Forteresse, mais malgré tout, Lodesh te mérite plus que moi, dit-il sans une once d’amertume. Je m’en moque. Je me moque que les miens me lapident, ou que la Forteresse refuse que ce mariage se fasse. Ils ne peuvent pas te protéger. Moi, si. (Ses mots s’enchaînèrent de plus en plus vite.) Je t’aime, dit-il, et elle en eut le souffle coupé. Je crois que c’est le cas depuis que je t’ai trouvée dans le ravin, furieuse et apeurée. J’essaie encore et encore de te protéger. Mais chaque fois que je te crois sortie d’un péril, tu trouves une nouvelle manière de mettre ma vie sens dessus dessous. Je n’en peux plus. La seule manière de sauver ma peau qui me vienne à l’esprit, c’est de t’épouser.

Alissa ne parvenait pas à répondre. Ses mains tremblaient dans celles de Strell.

— J’ai besoin que tu choisisses entre nous deux, reprit-il. Ne serait-ce que pour ne pas devenir fou. Je dois savoir avant de me tuer à poursuivre un raku qui n’a pas besoin de moi.

Qui n’a pas besoin de lui ? songea-t-elle en s’essuyant un œil du dos de la main. Ne savait-il pas à quel point elle se reposait sur lui ? Quant à choisir… Connen-Neute avait raison. Elle avait choisi depuis longtemps mais elle avait trop peur de l’admettre. Son cœur désignait Strell. Non pour ce qu’il avait fait, mais pour la façon dont il la voyait, telle qu’elle était vraiment : une gamine des contreforts qui sautait trop vite aux conclusions et affichait un caractère épouvantable. Il était aussi simple et égal, aussi familier et immuable, aussi honnête et vrai que le sable sur lequel il avait grandi. Et elle l’aimait

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Extrait ajouté par SherCam 2018-09-23T08:43:14+02:00

La lumière verte se transforma en flot doré lorsque Bestiale les dégagea de la cascade pour retrouver le ciel ouvert. Alourdies par l’eau, elles décrochèrent un instant. Puis leurs ailes se déplièrent brusquement et elles reprirent de l’altitude en empruntant les violents courants ascendants glacés issus de la brume. Alissa hurla, tout haut, et elle entendit son triomphe quitter sa gorge en un grondement sauvage.

— Tu as réussi ! s’exclama-t-elle.

— Sois réduite en cendres, Alissa ! lança Connen-Neute par la pensée, loin derrière elle, dans les hauteurs.

Alissa se tordit le cou pour le voir se dégager maladroitement des branches.

— Bestiale finira par te tuer un jour ! lui cria-t-il.

— On se retrouve à la maison ! lui répliqua Alissa, qui s’aperçut qu’elle exécutait une roulade.

Bestiale s’ébroua et elles traversèrent un arc-en-ciel.

— Et on a toujours ton petit déjeuner, releva Bestiale d’un ton suffisant.

Alissa baissa les yeux sur les quelques œufs qu’elle tenait encore fermement entre ses griffes. Elles avaient toujours les œufs. Alissa poussa un soupir incrédule, et elle laissa Bestiale choisir le courant ascendant qu’elle voulait pour regagner la Forteresse. Peu à peu, les battements de son cœur s’apaisèrent tandis que l’excitation du vol se calmait. Alissa ne pensait pas apprendre un jour à voler. S’abandonner et faire confiance au vent était trop lui demander. Peut-être était-ce aussi impossible que de demander à Bestiale de comprendre l’amour.

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Extrait ajouté par feedesneige 2015-07-08T01:13:45+02:00

Chapitre premier

Les quelques œufs nichés entre ses doigts ridiculement longs et griffus menacèrent de lui échapper. Alissa les plaqua contre son corps, consciente que, s’ils tombaient, elle ne pourrait jamais les rattraper avant qu’ils heurtent le sol, même à cette altitude. Elle jeta un regard vers le bas. Les crêtes des plus hautes montagnes défilaient sans bruit sous elle, grises dans la lumière matinale. Le brouillard se dissipait peu à peu sous l’action du soleil, révélant un patchwork de zones dégagées qui s’ouvraient dans les nuages blancs au sommet plat, et de pics escarpés qui se détachaient nettement dans le ciel limpide.

Tandis qu’elle volait, le vent, froid et insistant, la fouettait sans cesse. Alissa sentit sa seconde paupière, une membrane nictitante, se fermer pour se préserver des bourrasques. C’était le printemps, et elle ne tenait pas en place. Ce vol était le meilleur de toute sa semaine : elle se dirigeait vers l’ouest, et le soleil levant déployait l’ombre de ses gigantesques ailes de chauve-souris sur le sol, où cette simple vue provoquait la fuite, à grands bonds paniqués, des cerfs et des chèvres.

Ce matin-là, avant que les étoiles s’éteignent complètement, elle avait traversé les montagnes et volé vers la ferme abandonnée de sa mère, dans les contreforts, sous le prétexte de ramasser les œufs des quelques poules qui s’y trouvaient encore. En réalité, elle voulait vérifier si la neige avait fondu et si les cols étaient désormais accessibles. C’était le cas et cela lui procurait un sentiment d’exaltation indicible. Peut-être pourrait-elle enfin convaincre Inutile de la laisser partir à la recherche de sa mère.

Dans sa grande sagesse calculatrice, son professeur, Inutile, ou Talo-Toecan ainsi que tous les autres l’appelaient plus respectueusement, avait décidé qu’Alissa devait se plier aux traditions de la région des contreforts, d’où elle était issue, pour se marier. Sa mère devait donc se prononcer en faveur de l’un de ses prétendants avant qu’elle puisse l’épouser. Mais sa mère était retournée dans les plaines où elle était née, en ne laissant dans la ferme qu’un petit mot maculé de larmes, posé sur la cuisinière à l’abandon.

Alissa savait qu’Inutile se moquait éperdument des traditions des contreforts. Il profitait simplement de la situation pour tenir Strell et Lodesh à l’écart de la jeune fille, dans l’espoir qu’elle se détournerait d’eux et s’intéresserait enfin à un prétendant qui conviendrait davantage à son nouveau statut de Maître. Ces manigances ne faisaient que renforcer la détermination d’Alissa à épouser l’un des deux jeunes hommes. Mais cela ne l’aidait pas à décider lequel.

Doucement, elle glissa sur les légers courants ascendants du matin et se dirigea vers la Forteresse. L’énergie qui poussait l’air vers le haut colorait le ciel pur de nuances bleues plus sombres, parfaitement visibles à ses yeux de raku. À sa droite, la morne paroi rocheuse de la montagne projetait un courant tourbillonnant, régulier, violet et chaud. Alissa sentit son estomac se nouer lorsqu’elle s’aperçut qu’elle obliquait dans cette direction.

— Tu veux essayer de remonter en rase-mottes ? songea-t-elle, même si cette pensée n’était pas vraiment la sienne.

C’était Bestiale. Alissa grimaça.

— Non, répliqua Alissa d’une pensée sèche, agacée que Bestiale ose même le lui demander. Fais-le.

— Tu dois apprendre à voler, lui rappela son alter ego sauvage.

— Et toi, tu devrais apprendre à biner ton propre rang de betteraves.

Avec suffisance, Bestiale abandonna le contrôle de leur vol plané. Alissa se sentit de nouveau responsable de ses mouvements et paniqua. Immédiatement, elles décrochèrent. L’espace d’un battement de cœur, elles restèrent immobiles dans l’air, puis, les ailes vibrant comme des drapeaux au vent, elles tombèrent en chute libre.

Avec un reniflement amusé, Bestiale reprit le contrôle et rattrapa leur chute en effectuant une boucle élégante.

La queue d’Alissa effleura la cime d’un sapin mouillée de rosée.

— Sois réduite en cendres ! lança-t-elle dans leurs pensées communes tandis qu’elle resserrait sa prise sur les œufs, près de son cœur qui s’apaisait doucement. Ne refais jamais cela !

Bestiale tordit ses pensées de façon à donner l’impression d’un petit sourire satisfait dans leur esprit.

Alissa jeta un coup d’œil vers le bas et frissonna, car elle savait d’expérience à quel point le sol était dur lorsqu’on fonçait dessus à une telle vitesse.

— J’ai été bloquée dans la Forteresse tout l’hiver, songea Alissa en transmettant un léger sentiment de tristesse à Bestiale. Maintenant que les cols sont accessibles, je veux partir à la recherche de ma mère.

— Tu veux partir, reprit soudain Bestiale. J’aime voler. Le ciel est clair. Allons-y.

Alissa serra convulsivement les œufs dans ses griffes. Elle ignorait que son alter ego, aussi réelle qu’agaçante, partageait ses envies.

— Je ne peux pas, répondit Alissa. Après le désastre dans les plaines l’été dernier, Inutile a décidé que je devais trouver sa signature psychique avant toute chose. Ma portée psychique ne couvre pas encore une telle distance.

— C’est un prétexte, répliqua sèchement Bestiale. Je suis sûre que même lui est incapable d’identifier une personne parmi des milliers d’autres. Pas à un demi-continent de distance.

Alissa hocha sa tête immense et Bestiale compensa le geste sans effort, pour conserver son équilibre.

— Et puis, je ne peux pas partir ainsi, reprit Alissa, soudain plus douce et heureuse. Strell et Lodesh ne s’en remettraient pas.

— Oh, dit Bestiale, dont les pensées se teintèrent de dégoût, auquel se mêlait un trouble larvé. Je comprends l’amour. Il te cloue au sol quand tu voudrais voler.

— Non, Bestiale, insista Alissa. Tu ne comprends pas du tout.

Elle soupira, et entendit son souffle s’exhaler en un son primitif et guttural. Malgré les nuits passées par Alissa à tenter de le lui expliquer, Bestiale semblait incapable de comprendre ce que ressentait celle-ci pour Strell et Lodesh. Et Alissa ne pouvait pas non plus demander à Inutile de l’aider. Deux personnes seulement savaient qu’Alissa avait violé la loi la plus ancienne de la Forteresse et conservé la conscience sauvage qui se développait chez un Maître lorsqu’il apprenait à se transformer. Si Inutile l’apprenait, il corrigerait la situation en une vengeance féroce qui détruirait Bestiale et laisserait sans doute Alissa blessée et gravement touchée, sans compter la perte de son alter ego sauvage.

Une raideur soudaine derrière son cou sinueux, à la jonction des épaules, déclencha une vague de tension dans tout son corps et mit fin à sa réflexion. Quelque chose n’allait pas.

— Nous sommes suivies, annonça Bestiale avec indifférence. Connen-Neute est derrière nous depuis que nous avons décollé. Tu ne le remarques que maintenant ?

Vexée, Alissa tourna le cou et aperçut une silhouette dorée, semblable à la sienne, à une vallée de distance derrière elle. Connen-Neute connaissait l’existence de Bestiale, et l’acceptait, même s’il reconnaissait en avoir un peu peur. Mais en tant qu’élève Maître, Connen-Neute était le seul semblable d’Alissa. Lorsqu’elle le vit, Alissa encouragea Bestiale à accélérer. Elle n’avait rien contre l’idée de partager le ciel avec lui, mais sa manière clandestine d’agir prouvait qu’Inutile l’avait envoyé pour la surveiller.

— Par les os et la cendre, marmonna-t-elle, Inutile ne me fait-il donc pas confiance ?

Puis son agacement s’évanouit et laissa place à une excitation grandissante.

— Bestiale, interrogea-t-elle, peut-on le distancer ?

Bestiale souffla comme si le fait de demander cela était une insulte.

— Monter sur les courants ascendants ?

Elle attendit encore. Bestiale bougeait par instinct ; c’était Alissa qui prenait les décisions.

L’excitation la fit frissonner et la vibration se répercuta jusqu’à la pointe de ses ailes. Alissa ajusta ses pensées pour que Connen-Neute, une vallée derrière elle, puisse l’entendre.

— Touché, lança-t-elle avec force, en modulant l’effet pour qu’il comprenne qu’elle n’était pas fâchée. C’est toi le chat.

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Extrait ajouté par retourpoke 2013-08-26T19:26:03+02:00

La peur et la haine qu'elle lut dans les yeux dorés de la femme la statufièrent. Le visage fier de Keribdis se tordit et elle pointa du doigt Alissa.

-Tu n'es qu'une ... une ...

- Sang-mêlé? proposa Alissa qui puisa sa force dans cette insulte. Dans tous les sens du terme. C'est pour cela que je peux accepter la vérité, contrairement à vous.

Elle soupira. Elle devrait leur raconter toute l'histoire. Elle savait que cela ne leur plairait pas.

-Votre nombre n'a cessé de décroître depuis que vous avez appris à adopter forme humaine, reprit Alissa d'une voix douce. C'est parce que vous étouffez votre part sauvage au lieu de l'intégrer de nouveau dans votre conscience, là d'où elle vient. J'admets que je ne maîtrise pas cela parfaitement, mais c'est mieux que ce que vous faites. C'est parce que vous l'étouffez si brutalement, que la moitié de vos enfants meurent en essayant d'apprendre à voler, tandis que l'autre moitié devient sauvage pour ne pas perdre la raison. (Elle regarda Keribdis et ressentit de la pitié pour la haine qui émanait de cette femme.) Je peux aider Silla à trouver l'équilibre qui vous fait défaut, dit Alissa à l'intention de son adversaire. Et vous le savez.

Alissa avait gagné. Elle tourna les talons.

p 407

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Extrait ajouté par Anybody 2012-09-01T19:29:00+02:00

Le visage buriné du capitaine s’assombrit. Il se laissa aller contre son dossier et jeta un regard aux trois hommes.

— Ah, souffla-t-il. Vous cherchez les Lambeaux Insulaires.

Elle reprit espoir. Il existait bien des îles. Il savait où elles étaient ! Mais cette vague d’excitation retomba lorsqu’elle vit le vieil homme secouer la tête.

— Désolé, Mai’ht. C’est seulement un archipel désolé de pierre et de sable, si les rumeurs disent vrai. Personne ne sait si elles existent vraiment. Si les vôtres se sont perdus en mer, vous feriez mieux de prier le Navigateur et sa Meute qu’ils aient péri dans les vagues. Une fois jetés sur les Lambeaux Insulaires, c’est une mort lente qui a dû les attendre.

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Extrait ajouté par lostangel 2012-04-27T15:53:43+02:00

Lentement, la colère la quitta et elle finit par sourire. Une idée lui vint et elle gratta le sol du bout du pied jusqu'à dégager une poignée de terre et de cailloux sous l'épais tapis d'herbes. Elle sourit et en tendit la moitié à Strell.

- Quoi ? demanda-t-il en levant les yeux vers elle avant de s'essuyer les mains pour accepter cet étrange cadeau.

Elle sourit encore.

- Une roche vers l'est te préserve des bêtes, répondit-elle en adoptant une gravité feinte et en jetant une motte de terre dans la bonne direction.

C'était un rituel de la côte qu'il avait utilisé une nuit pour protéger leur campement, tout en insistant bien sur le fait qu'il n'y croyait pas.

Strell retourna à Alissa un sourir amusé. Ses yeux brillèrent sous la lumière du globe. Sans détacher son regard du sien, il choisit un caillou dans la coupe de ses mains et le jeta à sa droite.

- La pierre au nord, toujours le spectre dort, dit-il de sa voix basse et musicale, adoucie par le voile des souvenirs.

Elle s'approcha encore d'un pas et lança une autre pierre.

- Au sud, de petits cailloux, pour sceller la gueule du raku.

La terre glissa des doigts de Strell. Il prit Alissa par les épaules et l'attira vers lui, sans qu'elle résiste. L'odeur piquante de la vase emplit ses narines. Les battements de son coeur lui envoyaient des frissons jusqu'au bout des pieds.

- A l'ouest, du sable lancé, pour mieux te protéger, chuchota-t-il.

Elle sentait la chaleur de ses mains sur elle, et une vague d'émotions lui fit battre le coeur plus fort à l'idée de ce qui allait peut-être se passer. Le reste de terre lui tomba des mains.

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Extrait ajouté par assassin-royal 2011-06-03T15:04:57+02:00

Une bourrasque de vent les secoua lorsque le jeune Maître se posa sur l'un des arbres étranges et fit ployer son perchoir pour se libérer un espace suffisant. Il se brisa de manière inattendu et Alissa retint une exclamation en entendant le craquement puissant.

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Extrait ajouté par assassin-royal 2011-06-03T15:04:57+02:00

L'excitation faisait battre son cœur plus vite. Elle s’accrocha au rebord lorsque le canot tangua. Strell et le capitaine bondirent à terre et tirèrent l'embarcation sur le rivage. Strell tendit les bras vers Alissa en un geste d'invitation. Elle rassembla ses jupes et tomba presque dans ses bras.

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