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Extrait ajouté par Blandine1 2022-07-10T22:05:40+02:00

Ils ont sous le bras cette histoire de peuple endetté, et s'appuyant dessus, ils te disent "l'heure est venue de rembourser. Et de fermer ta gueule comme font les putes à qui on fait rembourser une vie entière ce qu'elles ont coûté à leur maquereau." Est-ce qu'ils remboursent, au Palais, quand ils se font prendre la main dans le sac ? Est-ce qu'ils payent leurs impôts ? Eux, ils se servent. Toi, tu trimes. Et tu fais des gosses endettés. Au berceau, ils doivent déjà des thunes à leurs bourreaux. C'est bien joué. Tu leur donnes de petits citoyens français qui leur appartiennent, corps et âme, avant même qu'ils aient le temps de savoir marcher.

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Extrait ajouté par rabanne73 2021-11-21T19:07:58+01:00

Deux petites filles riches d'une rare sottise, imbues d'elles-mêmes et ne doutant de rien. Il y en a une qui dit "je crois que je fais une OD de sucre, je suis complètement déprimée là". Elle a dû manger la moitié d'un croissant. Elles sont obsédées par leur poids. Elles ne parlent que de nourriture. (...) Quand elles voient Pamela manger un morceau de pain, elles font exactement la même gueule que si elle se branlait à table. Comment ça se fabrique, deux connasses pareilles ? Ça s'inculque comment, ce complexe de classe supérieure ?

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Extrait ajouté par rabanne73 2021-11-21T19:07:33+01:00

Vernon la soupçonnait d'être un peu jalouse. Lui et Charles s'adoraient. La grande amitié a toujours quelque chose d'amoureux, d'exclusif, d'immédiat, une alchimie aussi implacable que le désir charnel.

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Extrait ajouté par LN-12 2021-07-05T01:38:53+02:00

C’est le monde qui l’entoure qui débloque à plein tube. Qu’est-ce que c’est que cette manie de tout foutre à la poubelle ? Ce n’est pas parce que tout le monde le fait que c’est raisonnable.

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Extrait ajouté par LN-12 2021-07-05T00:37:15+02:00

Il ne peut mettre cette confusion sur le compte des drogues : il n’en prend plus depuis des mois. Ça s’est fait tout seul. Il a commencé à s’ennuyer, dès qu’il était défoncé, à attendre que ça passe, à se demander ce qu’il avait pu trouver de ludique à ce dérèglement débilitant. Les drogues servent à protéger de l’ennui, elles rendent tout intéressant, comme un trait de Tabasco sur un plat trop fade. Mais Vernon ne craint plus l’ennui, ni la solitude, ni le silence, ni l’obscurité. Il a beaucoup changé. Les drogues ne lui sont plus d’aucune utilité.

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Extrait ajouté par SMichel 2020-01-01T14:13:50+01:00

Vernon a d’abord cru que le camp attirait énormément de gens bizarres. Progressivement il a compris que le monde était rempli de personnes aux croyances abracadabrantes, dont on pourrait croire en les rencontrant qu’elles sont sensées. L’énigme de Vernon leur permet d’exprimer leur cocasserie. Voilà comment, entre la salade et le fromage, il arrive fréquemment qu’on lui parle de sa connexion vibratoire privilégiée avec le quartz macrocristallin. Le pays est peuplé d’exaltés convaincus que les morts sont parmi nous, que dans la forêt gambadent des créatures invisibles ou qu’en s’exposant aux ondes sonores adéquates on peut rétablir son champ magnétique… Il suffit de leur donner l’occasion de déballer leurs théories, et on part sur de drôles de routes…

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Extrait ajouté par Gargali 2018-10-15T21:50:31+02:00

T'en prends pour vingt ans ferme. Elle est là, la vraie différence entre les hommes et les femmes.

C'est Max qui voulait un enfant.C'était son idée. Elle l'a eu. Mais lui, il est père quand il a le temps. Un peu moins d'un week-end sur deux, en définitive. Pareil pour la pension alimentaire : il la paye quand il peut. Et tout son entourage le félicite "putain qu'est-ce que tu t'occupes bien de ton fils". Il l'emmène voir un match de boxe, une fois par mois, un concert, ou à Disneyland quand il a un ami qui y travaille pour avoir ses heures d'intermittence et peut les faire entrer... et si tu demandes à Max où il en est de la paternité, il te répondra "j'assure". Mais si une femme se comportait avec ses enfants comme Max avec son fils, elle aurait la police de la bonne conduite maternelle au cul, non-stop. Et putain cette police a des miliciens partout.

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Extrait ajouté par Gargali 2018-10-15T21:45:28+02:00

(...) on considérait qu'à partir d'une certaine heure, tu n'étais plus de service, ta vie t'appartenait. Les mails avaient été la première modification de la règle : les chefs avaient tout de suite pensé qu'on pouvait te les envoyer à n'importe quelle heure.

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Extrait ajouté par Alias-Rosiel 2017-06-01T22:40:59+02:00

C'était une véritable religion, le silence, chez cet homme. On appelle ça de la pudeur mais ça relève plutôt de la constipation verbale.

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Extrait ajouté par rabanne73 2021-11-21T19:07:45+01:00

Aïcha, elle, se perdait entièrement. Elle levait les yeux sur un homme interdit. Elle se livrait à la fornication et y prenait plaisir. (...) Elle était folle de cet homme. Elle perdait tout dans cette étreinte. Si elle avait été tout à fait sincère, elle aurait compris qu'elle blasphémait : une part d'elle-même persistait à se raconter que cet amour était trop pur pour qu'Allah n'en soit pas témoin.

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