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Il ne faut pas être plus royaliste que le roi."

François-René de Chateaubriand

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Je refoulai au plus profond de moi un sombre pressentiment.

— La boîte de pouvoir est une magie plus ancienne que toutes les autres magies. Elle précède la naissance du monde des hommes, l’apparition des dieux. Elle était là à l’aube des univers. Elle dispose d’un pouvoir de création tout aussi formidable qu’un pouvoir de destruction infini. Te crois-tu capable de lutter contre cette magie ancestrale ?

La question de Pangu me trottait encore

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— Et après ce pont, il y a quoi ? interrogeai-je Liam.

— Une forteresse, dit-on. La forteresse d’Asgard.

Plus nous avancions sur le pont, plus notre champ de vision rétrécissait comme si un brouillard enneigé nous emprisonnait peu à peu. J’étais encore plus angoissée. Puis, d’un coup, tout s’éclaircit. Il y avait bel et bien une forteresse. Et il y avait bien plus encore.

Il y avait Asgard. Dans toute sa magnificence, dans toute sa splendeur. La forteresse qui entourait la cité d’Asgard avait beau être impressionnante, elle n’en demeurait pas moins décorative face aux tours et aux dômes de glace qui fendaient le ciel d’un bleu pur et féérique. L’architecture, que je croyais au départ constituée de glace était en fait le travail inespéré et épuré d’un artiste accompli avec du diamant et du saphir. L’harmonie de ces deux minéraux révélait à mes sens un miracle de beauté. Qui avait pu construire pareille cité au cœur des glaces ? Comment les déshérités pouvaient-ils passer à côté de tant de beauté ? Selon moi, personne ne devait être privé de la vision de la cité d’Asgard. Une cité aussi incroyable que divine.

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Extrait ajouté par Panda21 2020-04-06T00:29:45+02:00

La sonnerie de mon portable retentit. Je tâtonnai sur le siège passager à mes côtés tout en filant sur l’autoroute dans ma Porsche Carrera bleu roi. Je doublai allègrement les voitures de marque moyenne quand je mis enfin la main sur mon iPhone dernière génération. Je le branchai au socle de mon tableau de bord en regardant la photo de l’appelant s’afficher. Je pris l’appel en haut-parleur. Contrairement à ce que les gens pensaient de moi généralement, je n’enfreignais pas la loi sans raison valable. — Allô ? criai-je. — Salut Gabriel. Tu peux baisser ta musique ? Effectivement, ma chanson résonnait dans tout l’habitacle. Je consentis à baisser de quelques décibels. — Hello Loïc, comment ça va ? — Toujours en révisions. J’ai l’impression que ça ne finit jamais. Tu es sûr que tu as baissé ? — Tu as choisi médecine, tu assumes mon pote. Et tu ne pourras pas dire que je ne t’avais pas prévenu, lui dis-je en ignorant son allusion au volume sonore. — Ouais. Peu importe. Es-tu arrivé à Auray? Je souris en voyant le panneau de la ville. — À l’instant. — Quand tu passeras chez moi, parce que tu le feras, ne mens pas, renseigne-toi sur ce que veut ma mère et mes tantes pour leurs anniversaires. Sara n’en a aucune idée et papa est toujours à l’ouest. — Je ne passerai pas chez toi Loïc mais s’il me prend l’envie d’y passer, j’y penserai éventuellement. Mais Loïc ne m’écoutait pas vraiment. — Et si je ne leur offre rien, elles vont toutes me tomber dessus. Je n’ai vraiment pas la force de gérer des femmes en furie. — Ma sœur te suffit, j’imagine. Comment va Sal ? Est-ce que je lui manque ? Pleure-t-elle son frère depuis les quelques heures que je vous ai quittés ? — Si tu veux tout savoir, elle est en train de dormir. Elle a réussi à mettre un fouillis pas possible dans une pièce de moins de trente mètres carrés. C’est quoi son truc à cette fille ? Je le croyais bien et j’imaginais totalement ce qu’elle avait fait. Salomé était une ignorante des appareils ménagers courants et modernes, à croire que c’était moi la fille parfois. Je plaignais toujours haut et fort le sort de son futur mari.

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