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Extrait ajouté par Carole94P 2015-11-02T21:25:55+01:00

P. 15

Jour 1 : la demande traditionnelle.

Lieu : au bureau

Il se leva brusquement, posa un genou à terre et, retirant la bague serpent de son pouce, me la tendit.

- Suzie McKenzie, tu es ma meilleure amie et je sais qu tu es la personne avec qui je veux passer le reste de ma vie. Veux-tu m'épouser ?

Le monde s'arrêta subitement de tourner. Ma bouche était aussi sèche qu'une biscotte. C'était trop injuste ! Ce que je souhaitais le plus au monde était en train de se produire mais était à peu près aussi authentique que la poitrine de Pamela Anderson.

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Extrait ajouté par bellajessica 2015-10-22T04:12:44+02:00

— Tim ! criai-je tout à coup, soulagée. Mini Tim.

Top. Vraiment top. Je ne pouvais pas trouver mieux.

Harry parut interloqué.

— Mini Tim ?

— Oui.

— A cause de…

Il agita son petit doigt en l’air.

— Non, non, bien sûr que non. Non, à ce niveau-là, il est bien. Très bien même, en réalité. Impressionnant. Pour tout te dire, c’est une sorte de surnom ironique.

— Comme moi ?

— Eh bien, je n’ai aucune idée de ton équipement dans ce domaine, mais…

Mes yeux glissèrent rapidement sur le renflement conséquent dans son jean et je sentis mes joues s’empourprer sous son regard.

— Je parlais de sa taille, dit Harry.

Je fus quasiment sûre de le voir se mordre les lèvres pour réprimer un sourire.

— Oh ! Oui, il est très grand.

— Super. J’ai un ami qui est moniteur de ski là-bas, peut-être qu’il connaît ton Tim. Quel est son nom de famille ?

— Timmings.

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Extrait ajouté par Carole94P 2015-11-02T21:59:23+01:00

P. 414

- Je t'ai toujours aimée - le jour où je t'ai rencontrée, j'ai compris tout de suite que j'allais avoir des problèmes. Je me souviens que tu te tenais là, dans ton peignoir multicolore et dans tes chaussons à tête d'hippopotame et qu'il ne m'a fallu qu'une seconde pour tomber amoureux de toi. J'aime te voir sourire, c'est une des plus belles choses au monde pour moi. Quand tu me réponds par un sourire, je me prends parfois à rêver que tu ne souris que pour moi. J'aime chacune des tâches de rousseur sur ton nez, la manière dont le vent fait voler tes cheveux, ton odeur, j'aime ta démarche féline, la manière dont tu fronces le nez quand tu réfléchis. J'aime quand tu fermes les yeux quand tu manges quelque chose qui te plaît, j'aime être étendu à ton côté dans un lit, te serrer dans mes bras.

A ces mots, la foule se mît à hurler et à siffler. Il avait véritablement monté un grand show. Et il n'avait pas fini.

[...]

- Qu'est-ce que tu attends de moi exactement, Harry ? Tu joues la comédie pour ton petit public. Rien de tout ça n'est réel. Cent propositions, toutes fabriquée, vides, superficielles !

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Extrait ajouté par Carole94P 2015-11-02T21:36:13+01:00

P. 132

- Ma meilleure amie vient juste d'arriver à accepter l'idée que sa belle-soeur puisse vivre avec un autre homme que son frère. Il n'y a rien à célébrer. Je ne peux même pas imaginer la force qu'il faut pour pouvoir encaisser tout ça en quelques heures, ni la douleur que cela doit causer. Alors, tu sais quoi ? Endors-toi, et demain je t'apporterai ton petit déj au lit, et après nous irons les voir ensemble.

Mon coeur se gonfla d'amour et de reconnaissance.

En quelques minutes, j'entendis sa respiration devenir calme et régulière.

- Harry ?

Aucune réponse.

- Harry, j'essaie désespérément de cesser de t'aimer, et vraiment, je dois te dire que ton attitude ne m'aide pas.

Toujours aucune réponse.

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Extrait ajouté par Gertrude85 2015-11-20T15:32:43+01:00

« Mesdames et messieurs, laissez-moi vous présenter aujourd’hui le grand ballet national et son interprétation toute personnelle du Lac des vaches.

Un immense éclat de rire parcourut la foule qui s’écarta. Douze grands gars costauds apparurent alors de derrière la statue, se tenant par la main pour enchaîner des pas de danse très approximatifs. J’éclatai de rire. C’étaient les membres de l’équipe de rugby de Harry. Ils étaient tous vêtus d’un pyjama imprimé vache et d’un tutu rose. Harry les rejoignit tandis qu’ils réalisaient de très inélégants entrechats, sautillant d’un côté et de l’autre, se donnant des coups de coude et se marchant sur les pieds. Ils n’avaient visiblement jamais répété, et chaque nouvelle collision déclenchait l’hilarité générale. Quant à moi, je riais si fort que j’en avais presque mal à la mâchoire. Soudain, le rythme de la musique s’accéléra et les danseurs se mirent deux par deux. Chaque porteur prit alors son partenaire dans ses bras et l’éleva dans les airs pour qu’il puisse agiter les jambes. C’était absolument ridicule mais la foule se régalait. »

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Extrait ajouté par Carole94P 2015-11-02T21:49:30+01:00

P. 267-268

- [...] Es-tu en train de tomber amoureuse de moi ?

Il rit, écartant aussitôt l'éventuelle crédibilité de cette hypothèse.

Je me libérai de son étreinte et il ne fit rien cette fois pour me retenir.

- Tout ça n'est qu'une grosse blague pour toi, n'est-ce pas ? Tu ne comprends donc rien du tout ?

Oh non, mon Dieu, non, je devais arrêter de parler sans réfléchir.

- Ce n'est pas une blague, me dit-il d'un air sérieux, toute trace d'humour ayant disparu de sa voix. A aucun moment. Et, non, je ne comprends pas pourquoi tu es si bouleversée à propos de quelque chose qui ne signifie strictement rien pour moi.

Mon coeur bondit. Dormir avec Chloé ne signifiait rien pour lui. Mais puisqu'il venait de dire que c'était la même chose que quand nous dormions ensemble, est-ce que cela voulait dire que ça non plus ne signifiait rien pour lui ?

Quelque chose piquait ma main fortement. En baissant les yeux, je vis le petit coeur en cristal. Je le lui rendis.

- Garde ça pour quelqu'un qui compte vraiment pour toi alors, lui lançai-je avant de me retourner et de m'éloigner en patinant.

- Suzie, attends ! cria Harry.

Je sortis de la patinoire, jetai mes patins et son manteau sur une chaise, enfilai à toute vitesse mes baskets et partis en direction de l'hôtel, sans jeter un seul regard en arrière.

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Extrait ajouté par Carole94P 2015-11-02T21:43:18+01:00

P. 265

- Je t'ai offert le soleil, la lune et les étoiles, et maintenant je voudrais t'offrir mon coeur, me répondit-il le plus sérieusement du monde.

Il posa un genou à terre et me tendit sa main. Quand il l'ouvrit, je découvris dans sa paume un petit coeur en cristal rose. Je le saisis et effleurai du bout des doigts sa surface lisse et froide.

- Veux-tu m'épouser, Suzie ?

Je baissai les yeux sur lui et pris son visage dans ma main.

- Qu'est-ce que tu ferais si je te répondais oui ?

Mon coeur tambourinait dans ma poitrine à présent. Mais qu'est-ce que je venais de dire ? Ses yeux s'agrandirent un instant puis il éclata de rire.

- Je trouverais une église ou une mairie qui pourrait sceller notre union dès ce soir et nous serions mari et femme avant minuit.

Il me souriait et rien dans ses yeux ne suggérait qu'il prenait tout ça au sérieux.

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Extrait ajouté par Carole94P 2015-11-02T21:41:12+01:00

P. 248

- Je pense que Chloé et moi allons sortir boire quelques verres ce soir.

Et voilà, soixante-dix-neuf ! Avait-il décidé de relever un nouveau défi : "serez-vous capable de prononcer cent fois le prénom de votre ex en moins de trois jours ?" Oh ! j'allais devenir folle.

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Extrait ajouté par Carole94P 2015-11-02T21:29:25+01:00

P. 91

- Qu'est-ce qu'il dit d'autre ?

- Tiens, lui dis-je en me rapprochant de lui afin qu'il puisse lire la suite de la lettre en même temps que moi.

Il y a encore une chose que je voudrais que tu fasses pour moi, ma dernière volonté en quelque sorte. Et Suzie, tu sais que tu ne peux pas refuser à un homme sa dernière volonté, hein ? Je voudrais que tu dises à Harry que tu l'aimes, que tu l'as toujours aimé et que tu seras toujours amoureuse de lui.

Saisie d'horreur, j'arrachai la lettre hors de la vue de Harry.

- Mais qu'est-ce qu'il te prend ? me demanda-t-il en me regardant comme si j'étais devenue folle.

- Jusqu'où tu l'as lue ?

- Euh,jusqu'au truc avec les ongles de pied, pourquoi ? Allez, laisse-moi lire la suite, me dit-il en essayant d'attraper le courrier.

- Non ! Impossible, c'est trop intime.

Je reculai hors de sa portée.

- Suzie, nous n'avons pas de secret l'un pour l'autre, nous nous disons tout, me susurra-t-il en se levant lentement, les yeux brillants de malice. Ne m'oblige pas à venir la chercher.

- Ce n'est rien, c'est juste... quelque chose de vraiment personnel.

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Extrait ajouté par FouineuseDuNet 2016-03-08T10:13:25+01:00

dites à la femme que vous aimez que vous l'aimez.

Chaque jour, jusqu'à ce qu'elle le sache et qu'elle le croie. Et après cela, continuez à le lui dire chaque jour.

Si vous êtes incroyablement chanceux, elle vous aimera aussi.

Je souhaite à chacun d'entre vous, mes chers lecteurs, de vivre heureux avec votre compagne jusqu'à la fin de vous jours.

Et si toutefois les mots ne suffisaient pas, eh bien, vous savez où nous trouver...

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