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Extrait ajouté par Milkie 2017-09-15T19:25:25+02:00

— Bienvenue, beau brun.

Je souris avec amusement. Je ne crois pas que je saurai un jour d’où vient cette fille complètement tarée, mais ce n’est pas important. L’important, c’est qu’elle existe.

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Extrait ajouté par Folize 2017-10-22T14:53:19+02:00

- On va fumer, on revient, annonce-t-il aux autres.

Je me lève et le suis sur le trottoir.

- Tu es au courant qu’on ne fume pas et que, par conséquent, ton excuse est bidon ?

- On s’en fout.

Il s’adosse au mur du restaurant, rentrant ses épaules à cause du froid. Jason me fixe sans rien dire, c’est presque inquiétant. Je lui demande ce qu’il y a, il prend son temps pour me répondre.

- J’arrive pas à croire que tu aies couché avec Violette alors qu’elle est avec Clément. C’est pas ton genre.

Je vois. Je hoche la tête en cherchant quoi répondre. Finalement, c’est lui qui me devance en me demandant si on pense à se mettre en couple. Je soupire, ces mots m’arrachent la bouche :

- Elle est avec Clément. Puis tu crois que ce serait une bonne idée, toi ?

- Pourquoi pas ? T’es THE mec aux relations de couple. Loan n’est pas trop dans la coucherie d’un soir, voire pas du tout. Non, Loan est plutôt dans l’amour Bisounours et les pétales de roses sur le lit. Oh putain… reprend-il, tout à coup pris d’une illumination. Pitié, dis-moi que tu ne lui as pas mis des pétales de roses sur le lit pour sa première fois !

- Rassure-toi… Et arrête de parler de moi à la troisième personne.

- Donc tu dis ne pas être prêt à être en couple avec Violette, c’est ça ?

- En couple tout court.

- Sauf que tu l’es.

Je me tourne vers lui, perdu.

- Comment ça ?

- Je t’en prie ! Toi et Violette, Loan, réveille-toi… Vous dites « chez nous » pour parler de l’appart, vous dormez ensemble, elle t’emprunte ta brosse à dents – ce que je trouve franchement dégueu, au passage – et tu l’emmènes à l’école avant d’aller bosser. Sérieux, ça n’a jamais fait tilt dans ton cerveau ? Vous avez même un gosse qui s’appelle Mistinguette.

Je l’écoute, pétrifié sur place. Bordel.

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Extrait ajouté par Celia_ldm 2017-09-27T12:18:31+02:00

Je t'aime autant que le premier flocon de neige en hiver, autant que la cuillerée de Nutella en plein régime, autant que la douceur d'une plume sur la peau ou que les rayons du soleil qui percent la nuit chaque matin..

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Extrait ajouté par Celia_ldm 2017-09-27T12:19:33+02:00

Tu t'es pointée comme un arc-en-ciel après la pluie, comme la première violette au printemps, et je t'ai aimée plus encore.

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Extrait ajouté par sabivilutini 2017-11-16T16:38:11+01:00

On peut toujours améliorer des défauts ou faire des concessions, mais se transformer en quelqu'un d'autre : jamais. Si votre prétendue moitié ne vous aime pas ainsi, alors changer de moitié, car ce n'est pas la bonne.

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Extrait ajouté par VaLouka 2017-09-17T23:09:55+02:00

« — Non, je ne t’aime pas, me susurre-t-il finalement à l’oreille. Je t’adore, Violette-qui-sent-la-violette. Et tu connais les synonymes du mot « adorer » ?

— Non, Larousse, dis-moi.

— Goûter, raffoler, estimer, se passionner, diviniser, respecter, aimer quelqu’un comme ses yeux.

J’arrête de respirer tandis qu’il me repose à terre, sans pour autant s’écarter de moi, me surplombant de toute sa hauteur »

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Extrait ajouté par Marieno89 2017-09-27T20:39:07+02:00

- (...) Je t'ai aimé dès que tu m'as souri pour la première fois dans ce même ascenseur. Je t'ai aimé dès que tu m'as tendu ces paquets de farine comme si tu me tendais le ciel et les étoiles, je t'ai aimé dès que tu as eu ce réflexe bizarre auquel je n'ai jamais cru, je t'ai aimé dès que tes lèvres ont prononcé mon prénom pour la première fois...Alors je suis une idiote de ne pas te l'avoir dit plus tôt mais aujourd'hui je le fais. Et tu es la seule personne dans ma vie qui me fasse sentir si humaine, belle, vivante et incroyable.

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Extrait ajouté par Milkie 2017-09-15T19:24:33+02:00

Nous sommes toujours à table quand on frappe à la porte. Je me lève pour ouvrir pendant que mon père va ranger ses affaires.

— Salut ma poule.

— Jason, dis-je en souriant ironiquement. Et Ethan. Salut les gars.

En effet, j’aperçois Ethan derrière Jason, mais aucune trace de Zoé. Je leur demande où ils l’ont laissée, Jason fait un geste faussement désinvolte :

— Sur le trottoir d’en face. On a besoin de thunes et il paraît que ça paye bien.

Je lui donne un coup dans l’épaule en l’insultant.

— Abruti !

— Quoi ? s’offusque-t-il. C’est la crise !

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Extrait ajouté par Eleana2731 2018-07-29T00:38:09+02:00

J’enfile la première robe ample qui me passe sous la main, le réveil affiche onze heures quarante-cinq. J’avais rendez-vous à la demie. J’essaie de fermer ma robe jusqu’à la nuque, sans succès.

— Aide-moi à monter ma fermeture, vite ! demandé-je à Loan, qui tente d’enfiler son jean à toute vitesse.

Il le passe rapidement et s’approche de moi pour s’exécuter. Je lève les yeux au ciel en constatant qu’il la baisse au lieu de la remonter.

— Je veux que tu me la mettes, pas que tu me l’enlèves, Loan.

— Merde, désolé. L’habitude.

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Extrait ajouté par Eleana2731 2018-07-28T02:47:19+02:00

— Est-ce que j’aurais le droit à une blague, pour bien terminer la soirée ?

Je m’empare du deuxième torchon et lui apporte mon aide. Je guette sa réaction, réussissant à capter un demi-sourire aux coins de sa bouche.

— Non. Plus de blague.

— Allez !

Elle soupire.

— Tu m’embêtes, Loan Millet. Je te conseille de t’arrêter là, sinon…

— Sinon ?

Elle me fait face, les joues et les lèvres roses. Je me fais violence pour ne pas les fixer. J’ai envie de les embrasser.

— Sinon je dis… le mot.

Je me retiens d’éclater de rire. Le mot. Elle sait que je le déteste. Je ne sais pas si je suis le seul malade mental à détester un mot en particulier, mais Violette use souvent de cette menace pour me faire taire.

— Ne dis pas le mot, la supplié-je tout bas.

Un sourire démoniaque éclaire sa bouche pulpeuse.

— Quel mot ?

— Tu sais quel mot.

— Le mot que tu sais que je sais ?

— C’est ça.

— Ce mot ?

— Oui.

— Je ne dirai pas ce mot, alors.

— Merci, dis-je en souriant, amusé.

Elle se détourne, non sans afficher une mine victorieuse, avant de se raviser.

— Attends ! Tu veux bien parler du mot « slip » ?

Je grogne, levant la tête vers le ciel en souhaitant oublier qu’elle l’a prononcé. Ce mot m’horripile.

— Violette, grondé-je d’un ton menaçant.

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