Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 654
Membres
1 013 292

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Blandine1 2022-04-03T08:19:00+02:00

Paul verse alors dans mon verre ce vin que je vais adorer : « Gewurztraminer », choc de consonnes et de voyelles, monde de saveurs et de sons, que je vais découvrir avec toi...

Afficher en entier
Extrait ajouté par Laurine-25 2021-07-23T21:40:43+02:00

Il y a quelques mois c’est Walid, mon père, qu’on a emmené là-bas. Mais au moment du départ, les pompiers attendaient une réponse et l’ambulance est partie sans que Lucie, ma mère, sache où le rejoindre. Étrangement, elle a attendu toute la journée sans qu’on la rappelle, sans oser prendre son téléphone, sans nous alerter ma sœur et moi. C’est par hasard, parce que je la contacte ce jour-là, que j’apprends la nouvelle. Je multiplie les coups de fil et finis par tomber sur l’interne en cardiologie à

Mondor, qui nous rassure. L’infarctus a été pris à

temps et mon père est tiré d’affaire

Afficher en entier
Extrait ajouté par pseudo-anonyme 2019-03-30T13:13:23+01:00

Près de ton lit maintenant je détisse.

Et tisse autrement.

Je gagne du temps.

Que nos enfants grandissent.

Que l'on s'aime encore plus.

À tes oreilles, je glisse une autre histoire.

Et tes lèvres prendront bien le relais mon amour.

(Page 73)

Afficher en entier
Extrait ajouté par sapho 2019-03-15T14:15:33+01:00

C'est une nuit blanche que nous avons passée là. Tu souris et demande À partir de quand dit-on vraiment qu'elle est blanche ? Un tour inverse de cadran, une lune absente, qui font croire que rien n'est arrivé ? [...] Est-ce un rêve, mon amour, que je fais cette nuit pour toujours, à ne vouloir pas de demain ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par sapho 2019-03-15T14:15:20+01:00

Oui je me sens soudain si coupable. De ne t'avoir pas protégé, pas assez aimé, pas assez regardé. Si j'avais su, est-ce que j'aurais pu ? Est-ce que l'on s'aime en s'épargnant ? Cette énergie là, à vouloir toujours imaginer avec toi de nouveaux projets, un nouvel horizon, n'est-ce pas, depuis le début, la façon que j'ai de t'aimer ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par sapho 2019-03-15T14:14:57+01:00

L’oxygène te quitte peu à peu, je le vois à ton front, à ton visage qui perd sa couleur. Je donne mon poids dans ta poitrine, continue de t’appeler. Reviens mon amour. À l’autre bout du fil, la voix me dit: — Vous continuez. Je n’ai pas le droit de flancher puisque je sais quoi faire. Le temps passe, il faut qu’ils arrivent vite, les pompiers. Alors, le geste, le geste, le geste qui sauve, répétitif. Il fait passer ma peur, occupe mon énergie, 15 tout entière dans mes mains, dans mon dos qui s’incline, près de toi, en rythme…

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode