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— Tu es vraiment drôle, tu sais ! Tout le monde à Sparte se prend beaucoup trop au sérieux. Surtout les femmes. Parce qu’elles sont peu nombreuses, j’imagine. C’est un vrai panier de crabes, je t’assure. Mais toi, tu gardes toujours la tête froide. Je crois qu’on va être amies, toutes les deux.
Je me massai les tempes.
J’ai l’impression qu’elle confond « tête froide » et « en état de choc permanent ».
Afficher en entierIdée dingue du jour : si les Spartes ne veulent pas que les initiés meurent, ils feraient peut-être mieux d’arrêter d’organiser ces stupides Massacres initiatiques. Moi, je dis ça…
Afficher en entierJe me foutais bien qu'Aphrodite et Artémis me trouvent réactionnaire. La question n'était pas de savoir si les femmes pouvaient être aussi fortes que les hommes. L'enjeu à mes yeux était qu'elles n'aient pas besoin de l'être.
(Pages 298-299)
Afficher en entierL'immortalité n'est pas un droit, c'est un privilège.
(Page 126)
Afficher en entierLoué soit ce psychopathe !
Afficher en entierLe symposion ? N'était-ce pas ces endroits dont il avait parlé et où l'on prostituait des sirènes plantureuses ? Si c'est le cas, je ne suis pas intéressée, merci.
- Au symposion, vous trouverez notamment de quoi vous restaurer, ajouta Auguste.
Au fond, j'ai toujours rêvé de rencontrer une sirène.
Afficher en entierIdée dingue du jour: si les Spartes ne veulent pas que les initiés meurent, ils feraient peut-être mieux d'arrêter d'organiser ces stupides Massacres initiatiques. Moi, je dis ça...
(Page 468)
Afficher en entierApparemment, j'étais le contraire d'une princesse de contes de fées : je faisais fuir les animaux.
Charmant.
Je ne suis pas vexée du tout...
(Page 336)
Afficher en entier— Bougez-vous, maintenant ! nous ordonna-t-il durement. Sinon, je vous ferai courir le parcours jusqu'à ce que vos bites se détachent !
Je ne pus m'empêcher de sourire, me demandant si ceux d'entre nous qui n'en avaient pas seraient dispensés.
(Page 333)
Afficher en entierJamais je n'avais vu une adoration telle que celle qui se lisait dans les yeux de Patro tandis qu'il regardait Achille.
Le géant se pencha vers lui et posa sa joue contre son front comme s'il regrettait de ne pouvoir l'embrasser.
— Je t'aime tellement, répéta Patro en entourant sa taille de ses bras.
Achille continuait à caresser ses cheveux.
[…]
— Je crois que je commence à comprendre ce que tu voulais dire, Nyx, murmurai-je. À propos de l'aspect romantique de la violence... Et de leur dévotion totale...
(Page 328)
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