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Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d’Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d’un des clients, s’est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n’avait passé là qu’une journée…
Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l’aide inattendue d’une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez la fugitive.
Ce récit d’une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l’auteur d’Amok et le joueur d’échecs, est une de ses plus incontestables réussites.
Magnifique... Le thème abordé de la passion qui défie toute raison est ici, sans être caricaturé, superbement romancé. D'une part, la passion de cet homme pour le jeu, qui détruit toute sa vie, et qui montre le côté noir, affreux, d'une passion qui n'écoute rien d'autre qu'elle-même, et d'autre part la passion de cette femme qui est tombée amoureuse d'une part de cet homme, de sa faculté à exprimer ses émotions, et qui à partir de là est elle aussi devenue aveugle à toute raison.
Et comme la passion, dans le sentiment fusionnel qu'elle fait naître, provoque aussi les sentiments les plus destructeurs en retour... La colère, la haine, le désespoir...
La touchante confession d'une vieille dame écrite par un homme (très sensible) est d'une intensité rare. Cet ouvrage prouve à nouveau que la passion fait perdre la raison et ne suit que notre cœur.
Les meilleurs moments de lecture viennent des descriptions des mains de l'homme, des sentiments passionnés de la femme. Le style de cet ouvrage est magnifiquement délicat. Oui, je sais... lorsque j'aime un livre, j'en rajoute un peu trop ! Il se lit comme on avalerait un verre d'eau en plein désert.
J'ai lu ce petit livre pour conclure l'année 2024, et je ne suis pas déçue de ma lecture ! Tout était décrit dans les détails, certes, mais pourtant ça n'en était pas moins fascinant, je me suis plongée dans le livre et dans le récit de cette anglaise qui raconte 24h de sa vie. J'ai adoré, et ne regrette pas le moins du monde cette lecture. Rapide mais profond, je ne peux que vous le conseiller !
Dans 24 heures de la vie d'une femme, Stefan Zweig nous offre un récit intense et émotionnel qui explore les facettes les plus profondes de l'âme humaine. L'histoire suit une femme qui, après un événement marquant survenu lors d'un voyage, se trouve confrontée à un dilemme moral et personnel. À travers son expérience, l’auteur questionne le rapport entre les désirs incontrôlables, la passion dévorante, la culpabilité et les conséquences de nos actes.
Ce qui rend ce roman particulièrement fascinant, c’est la manière dont Zweig parvient à capturer la fragilité de ses personnages. En quelques pages seulement, il nous montre comment un moment, un simple choix, peut bouleverser le cours d’une vie. L’écriture est élégante, précise et emplie de sensibilité, créant une tension palpable tout au long du récit. Le roman soulève également des questions essentielles sur la liberté individuelle, les choix personnels et l’influence des normes sociales. Quel rôle la société joue-t-elle dans nos décisions ? Jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour suivre nos désirs, et quelles en sont les conséquences ?
24 heures de la vie d'une femme est une œuvre qui touche par sa simplicité et sa profondeur. En peu de pages, Zweig nous livre une réflexion poignante sur la liberté, les regrets et la complexité des émotions. Une lecture à la fois courte et marquante, qui m’a ravie et fascinée, et qui met en lumière tout le talent impressionnant de l’auteur. Cette découverte m’a véritablement enchantée, et je suis impatiente de découvrir d’autres œuvres de Stefan Zweig.
Une veuve anglaise raconte comment une journée a bouleversé sa vie et continue de l'obséder bien des années après. Le qu'en-dira-t-on, les décisions hâtives, la passion, les regrets ... Son souvenir semble resté intact et merveilleusement bien évoqué par Zweig qui sait exprimer la justesse des sentiments comme personne. Il parvient à nous révéler ses 24 heures d'émotions en totale contradiction sentimentale et à nous troubler : « Mais maintenant, brutalement sortie de ce tumulte, je voulais encore une fois revivre, pour en jouir rétrospectivement, bribe par bribe, ces émotions fugitives, grâce à cette façon magique de tromper soi-même que nous appelons le souvenir ». Une belle réflexion sur la confusion des sentiments.
Depuis le temps que j'entend parler de ce récit, il était gra'd temps que je me lance. Je connaissais vaguement le résumé, j'avais 2h à tuer, il n'en fallait pas plus.
L'auteur réussit en une centaine de page, à faire passer son lectorat par toutes les émotions, à l'image de Mrs C lorsqu'elle rencontre le jeune homme qui va chambouler sa vie.
Parce que dès le début, on comprend la passion qui anime cette femme. La première fois qu'elle le rencontre, elle découvre d'abord ses mains. Et on comprend aussitôt qu'elle en est tombée amoureuse, même si elle persiste à dire le contraire.
Ces mains qui trahissent d'abord son angoisse à l'idée de tout perdre aux jeux, ces mains qui vont parcourir son corps, ces mains qui vont promettre et jurer et qui vont tant décevoir.
On suit ici le récit de cette vieille dame qui prouve qu'en Vingt-quatre Heures à peine, une vie peut être totalement perturbée, qu'une seule décision peut changer un destin, que vous soyez un jeune polonais fraîchement débarqué, ou une mère de famille bien installée.
Je suis vraiment contente de l'avoir sorti de ma pal, il se lit vraiment facilement et il est passionnant.
Une rencontre peut-elle remettre en cause toute vos croyances, votre vie, vos choix ? Et le regard des autres ?
Très court mais percutant, ce récit aborde des sujets captivants. Personne n'est à l'abris d'une folie, personne ne peut être sûr de rien et surtout quel serait notre choix si nous nous retrouvions dans cette situation.
Je n'avais jamais lu de Zweig auparavant et j'étais très intriguée par ce titre.
L'histoire nous plonge dans le passé où une femme de la bonne société, après une conversation entre connaissances, décide de livrer l'un de ses secrets.
La plume est très fluide, le récit touchant et les personnages très humains dans leur qualités, forces et faiblesses.
J'ai écouté ce court roman en version audio, et d'une seule traite : je n'en ai été que plus marquée par toute la poésie qui se dégage de la plume de l'auteur, que je découvre avec cette histoire. En peu de pages, et sur une temporalité très courte, Stefan Zweig parvient à retranscrire avec justesse et émotion toute la passion de l'être humain, et les extrêmes auxquels elle peut le contraindre.
Je dois admettre que "Vingt-quatre heures de la vie d'une femme" m'a laissé des sentiments partagés : D'un côté, j'ai été captivé par le style d'écriture élégant de Zweig et sa capacité à décrire avec une telle précision les tourments intérieurs de ses personnages. La tension psychologique est palpable et maintient l'intérêt tout au long du récit. Cependant, j'ai trouvé l'histoire peu compréhensible. En somme, bien que j'aie apprécié l'art de Zweig, j'aurais préféré une intrigue plus nuancée .C'est pour toutes ces raisons que je donne une note de 18/20
Résumé
Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d’Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d’un des clients, s’est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n’avait passé là qu’une journée…
Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l’aide inattendue d’une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez la fugitive.
Ce récit d’une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l’auteur d’Amok et le joueur d’échecs, est une de ses plus incontestables réussites.
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