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Sélection du livre : Viou ; L'arme à l'oeil ; Un chien de saison ; Horowitz et Mme Washington



Résumé

* Viou, de Henri Troyat

A huit ans, la vie n'est pas drôle pour Viou, la petite Sylvie, orpheline de père, élevée au Puy par ses grands-parents. Depuis la mort de son fils unique, jeune médecin tombé sous les balles allemandes à la Libération, grand-mère n'émerge de son deuil que pour rabrouer son prochain. Quant à grand-père, s'il consent à sourire, la direction de son entreprise de bois et charbon ne lui laisse guère de temps de jouer. Mais l'enfance porte en elle sa propre joie. Grâce au chien Toby, aux amies de classe et surtout aux lettres de maman, qui travaille à Paris, la petite écolière échappe à la mélancolie.

Pourquoi Troyat, le biographe des géants russes (Pierre le Grand, Tolstoï, Catherine la Grande), a-t-il choisi une héroïne française haute comme trois pommes ? Peut-être pour nous prouver que la simple compagnie d'une petite fille inconnue est une inépuisable source d'émerveillements. Pour conquérir le lecteur, en effet, rien ne vaut la tendresse de Viou.

* L'arme à l’œil, condensé du livre de Ken Follet

Au début de 1944, l'espionnage allemand rassemblait des éléments indiquant la présence d'une vaste armée dans le sud-est de l'Angleterre. Les avions de reconnaissance rapportaient des photographies de casernements, d'aérodromes et d'escadres de navires. On pouvait voir aussi le général Patton, portant ses fameux jodhpurs roses, promener son bouledogue blanc. Les espions allemands qui opéraient en Grande-Bretagne confirmaient cet ensemble de renseignements.

En réalité, il n'y avait, bien sûr, pas la moindre armée. Les navires étaient des simulacres de bois et de toile caoutchoutée ; les casernements, un décor de cinéma ; Patton n'avait pas un seul homme sous son commandement ; les espions étaient des agents doubles. Le but était d'amener l'ennemi à se préparer en vue d'un débarquement sur la côte du Pas-de-Calais, de façon qu'au jour J l'assaut réel sur la Normandie ait l'avantage de la surprise.

C'était une colossale duperie, presque impossible à mener à bien. Des milliers de personnes y participèrent. C'aurait été miracle si aucun des espions de Hitler n'était parvenu à apprendre la vérité.

On sait que les Allemands ont bien repéré la mise en scène que l'on désirait qu'ils repèrent dans le sud-est de l'Angleterre. On sait également qu'ils ont flairé une ruse et qu'ils ont tout fait pour découvrir la vérité. Tout cela appartient à l'Histoire. Ce qui va suivre est pure fiction. Cela dit, on peut croire que quelque chose d'assez approchant de cette fiction a dû se produire.

* Un chien de saison, condensé du livre de Maurice Denuzière

Serein, le cœur en paix, installé dans son confort de célibataire endurci, tel est Félix avant qu'un hôte inattendu ne vienne bouleverser sa vie. Le trublion -belle truffe noire, double rangée de crocs, quarante kilos de muscles- s'appelle Néron. C'est un boxer de deux ans qu'un vieil ami -qui d'autre vous ferait un cadeau aussi empoisonné ?- laisse en garde à Félix avant de partir en vacances. Fini le calme de la tour d'ivoire ! Il faut nourrir Néron, sortir Néron, soigner Néron, surveiller Néron nuit et jour : le chien devient le maître de l'homme. Pourtant, grâce au boxer, le vieux garçon tatillon découvre bientôt que la vie à deux recèle des douceurs que la solitude ignorait, et que la gent canine l'emporte largement en loyauté sur l'homo sapiens. Avec un humour qui cache une profonde tendresse, Maurice Denuzière dresse un portrait malicieux du couple homme-chien et nous fait découvrir une véritable histoire d'amour.

* Horowitz et Mme Washington, condensé du livre de Henry Denker

Veuf, à demi paralysé à la suite d'une attaque, que veut M. Horowitz ? Ou plutôt que ne veut-il pas ? Il ne veut pas de la maison de retraite en Californie dont le menace sa fille, il ne veut pas non plus se faire soigner par Mme Washington, cette infirmière noire employée par son fils pour l'aider dans sa rééducation. Car ce juif new-yorkais est bourré de préjugés raciaux et ne s'en cache pas. Et dans le refus d'admettre qu'on puisse prendre des décisions pour lui, il place le dernier refuge de sa dignité. Mais Mme Washington, elle aussi, a sa dignité ; bien décidée à ne pas se laisser intimider par la mauvaise volonté de son acariâtre patient, elle se fait un point d'honneur de le remettre sur pied. Réussira-t-elle ? Deux fortes personnalités s'affrontent. Deux luttes s'engagent, contre la paralysie du corps et celle de l'âme ; deux luttes parallèles. Mais dans la vie les lignes parallèles n'attendent pas l'infini pour se rejoindre.

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Classement en biblio - 4 lecteurs

extrait

Mais comme, tout en parlant, il s'était installé avec son journal et ses lunettes, Mme Washington se trouva libre d'aller s'occuper du dîner.

Pourtant, même de la cuisine, elle pouvait l'entendre s'exclamer, scandalisé par tel ou tel article, ponctuant sa lecture d'exclamation ou de réflexions désabusées, du genre : "Laissez le New York Times gouverner ce pays, et c'est la catastrophe assurée !". Mais il tint son engagement. Et quand elle revint de la cuisine, elle le vit froisser les feuilles en boule, non sans mal, mais avec application

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Commentaires récents

En train de lire

Mon avis sur Horowitz et Mme Washington :

Gros coup de cœur pour ces deux personnages. M. Horowitz est certes raciste et irascible, mais c'est plus par fierté et à cause de mauvais préjugés que par réelle méchanceté. Au contraire, on comprend vite qu'il a un très grand cœur caché sous sa mauvaise humeur. Son infirmière noire, Mme Horowitz, a elle aussi très grand cœur et un fort caractère. Elle ne se laisse pas démonter par les bougonneries et les insultes de M. Horowitz, et j'ai rigolé plus d'une fois à ses réparties qui remettaient le vieux juif à sa place. Ils s'attachent très vite l'un à l'autre et leur amitié est super touchante.

J'ai passé un très bon moment à lire ce livre, je crois que j'ai gardé un grand sourire tout le long.

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