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En atterrissant à l'aéroport de la Guardia, à New-York, Marissa décida que,si le cas de New-York confirmait ses hypothèses sur l'origine des épidémies d'Ebola, elle irait immédiatement voir l'avocat de Ralph pour le laisser tirer les choses au clair avec la police. Elle en avait assez de jouer les héros face à des hommes qui n'hésitaient pas à mettre en danger des populations tout entières.
Afficher en entierEn atterrissant à l'aéroport de la Guardia, à New-York, Marissa décida que,si le cas de New-York confirmait ses hypothèses sur l'origine des épidémies d'Ebola, elle irait immédiatement voir l'avocat de Ralph pour le laisser tirer les choses au clair avec la police. Elle en avait assez de jouer les héros face à des hommes qui n'hésitaient pas à mettre en danger des populations tout entières.
Afficher en entierNeuf sur dix des passagers de l'avion voyageaient pour affaires, et ils prenaient un verre, pour la plupart. Marissa en fit autant. Elle était un véritable paquet de nerfs, La vodka tonic la décontracta nettement et elle se trouva bientôt engagée dans une conversation banale avec son voisin, un jeune et séduisant agent de change qui s'appelait Danny. Il avait une sœur médecin à Hawaï et il était tellement content de parler de tout et de rien que Marissa finit par être forcée de fermer les yeux et de faire semblant de dormir pour pouvoir mettre de l'ordre dans ses idées.
Une question la hantait : comment l'inconnu au coude bloqué avait-il su qu'elle était à Chicago ? Et, à supposer que ce fût encore lui, comment avait-il su, à quel moment précis elle serait dans le lao d'isolement maximum ? Pour répondre à ces deux questions, Marissa, malgré elle, en revenait toujours à Tad. Quand il s'était aperçu qu'il lui manquait une carte, il avait dû se douter qu'elle s'en servirait le soir même. Il avait peut-être tout dit à Dubchek afin de ne pas s'attirer d'ennuis. Tad avait su également qu'elle partait pour Chicago, mais elle n'arrivait pas à croire qu'il eût volontairement lancé un tueur à ses trousses. Et elle avait beau en vouloir beaucoup à Dubchek, elle respectait en lui le chercheur consciencieux. Il était difficile de l'imaginer en rapport avec un organisme d'extrême droite ayant des activités financières comme le Physicians' Action Congress.
Afficher en entierNeuf sur dix des passagers de l'avion voyageaient pour affaires, et ils prenaient un verre, pour la plupart. Marissa en fit autant. Elle était un véritable paquet de nerfs, La vodka tonic la décontracta nettement et elle se trouva bientôt engagée dans une conversation banale avec son voisin, un jeune et séduisant agent de change qui s'appelait Danny. Il avait une sœur médecin à Hawaï et il était tellement content de parler de tout et de rien que Marissa finit par être forcée de fermer les yeux et de faire semblant de dormir pour pouvoir mettre de l'ordre dans ses idées.
Une question la hantait : comment l'inconnu au coude bloqué avait-il su qu'elle était à Chicago ? Et, à supposer que ce fût encore lui, comment avait-il su, à quel moment précis elle serait dans le lao d'isolement maximum ? Pour répondre à ces deux questions, Marissa, malgré elle, en revenait toujours à Tad. Quand il s'était aperçu qu'il lui manquait une carte, il avait dû se douter qu'elle s'en servirait le soir même. Il avait peut-être tout dit à Dubchek afin de ne pas s'attirer d'ennuis. Tad avait su également qu'elle partait pour Chicago, mais elle n'arrivait pas à croire qu'il eût volontairement lancé un tueur à ses trousses. Et elle avait beau en vouloir beaucoup à Dubchek, elle respectait en lui le chercheur consciencieux. Il était difficile de l'imaginer en rapport avec un organisme d'extrême droite ayant des activités financières comme le Physicians' Action Congress.
Afficher en entierNeuf sur dix des passagers de l'avion voyageaient pour affaires, et ils prenaient un verre, pour la plupart. Marissa en fit autant. Elle était un véritable paquet de nerfs, La vodka tonic la décontracta nettement et elle se trouva bientôt engagée dans une conversation banale avec son voisin, un jeune et séduisant agent de change qui s'appelait Danny. Il avait une sœur médecin à Hawaï et il était tellement content de parler de tout et de rien que Marissa finit par être forcée de fermer les yeux et de faire semblant de dormir pour pouvoir mettre de l'ordre dans ses idées.
Une question la hantait : comment l'inconnu au coude bloqué avait-il su qu'elle était à Chicago ? Et, à supposer que ce fût encore lui, comment avait-il su, à quel moment précis elle serait dans le lao d'isolement maximum ? Pour répondre à ces deux questions, Marissa, malgré elle, en revenait toujours à Tad. Quand il s'était aperçu qu'il lui manquait une carte, il avait dû se douter qu'elle s'en servirait le soir même. Il avait peut-être tout dit à Dubchek afin de ne pas s'attirer d'ennuis. Tad avait su également qu'elle partait pour Chicago, mais elle n'arrivait pas à croire qu'il eût volontairement lancé un tueur à ses trousses. Et elle avait beau en vouloir beaucoup à Dubchek, elle respectait en lui le chercheur consciencieux. Il était difficile de l'imaginer en rapport avec un organisme d'extrême droite ayant des activités financières comme le Physicians' Action Congress.
Afficher en entierNeuf sur dix des passagers de l'avion voyageaient pour affaires, et ils prenaient un verre, pour la plupart. Marissa en fit autant. Elle était un véritable paquet de nerfs, La vodka tonic la décontracta nettement et elle se trouva bientôt engagée dans une conversation banale avec son voisin, un jeune et séduisant agent de change qui s'appelait Danny. Il avait une sœur médecin à Hawaï et il était tellement content de parler de tout et de rien que Marissa finit par être forcée de fermer les yeux et de faire semblant de dormir pour pouvoir mettre de l'ordre dans ses idées.
Une question la hantait : comment l'inconnu au coude bloqué avait-il su qu'elle était à Chicago ? Et, à supposer que ce fût encore lui, comment avait-il su, à quel moment précis elle serait dans le lao d'isolement maximum ? Pour répondre à ces deux questions, Marissa, malgré elle, en revenait toujours à Tad. Quand il s'était aperçu qu'il lui manquait une carte, il avait dû se douter qu'elle s'en servirait le soir même. Il avait peut-être tout dit à Dubchek afin de ne pas s'attirer d'ennuis. Tad avait su également qu'elle partait pour Chicago, mais elle n'arrivait pas à croire qu'il eût volontairement lancé un tueur à ses trousses. Et elle avait beau en vouloir beaucoup à Dubchek, elle respectait en lui le chercheur consciencieux. Il était difficile de l'imaginer en rapport avec un organisme d'extrême droite ayant des activités financières comme le Physicians' Action Congress.
Afficher en entierUn moment, Jackson lutta contre sa conscience. Il aurait voulu prendre Heberling à la gorge et l'étrangler. Mais il savait que l'autre avait raison : le PAC avait les mains liées.
- Bon, dit-il à regret. Faites ce que vous croyez le mieux du docteur Blumenthal. Mais ne me le dites pas et ne vous servez pas de l'Ebola à Atlanta.
Afficher en entierMarissa avait beau être épuisée, elle dormit mal, harcelée par des cauchemars où elle était poursuivie dans des paysages inconnus. L'aube qui la réveilla en perçant à travers la fenêtre lui fut un véritable soulagement. Elle regarda dans la rue et vit un homme qui mettait une pièce dans le distributeur de journaux. Dès qu'il fut parti, elle descendit chercher l'Atlanta Journal.
Il n'u avait rien sur le CDC, mais, au milieu du journal télévisé du matin, le commentateur annonça qu'il y avait eu un problème au Centre. On ne parlait pas du laboratoire d'isolement maximum, mais on disait qu'un technicien avait été traité à l'Hôpital universitaire d'Emory après avoir respiré du désinfectant au phénol, puis renvoyé chez lui. La télé donna ensuite une interview téléphonique du Dr Cyrill Dubchek. Marissa se pencha pour pousse le son :
- Ce technicien de laboratoire est la seul victime, dit Cyrill.
Sa voix semblait métallique et Marissa se demanda s'il était à Philadelphie ou à Atlanta.
Afficher en entierElle avait compris que les deux hommes n'étaient pas des agents de la sécurité. Ils allaient l'attaquer comme elle l'avait déjà été chez elle. Eperdue, elle saisit le cadenas du congélateur et le lança sur eux. Il y eut un instant de confusion et elle se rua vers les cages des animaux.
Le plus grand des deux hommes s'élança derrière elle en une fraction de seconde mais, au moment où il allait l'attraper, il fut retenu par son tube à air, comme un chien au bout de sa laisse.
Afficher en entierLa cafétaria de l'Hôpital universitaire était agréable, avec des tables au dessus jaune et un sol carrelé de blanc; Marissa aperçut Ralph qui lui faisait signe, assis à une table dans un coin.
Avec sa galanterie habituelle, il se leva pour l'accueillir et l'aider à s'asseoir. Marissa, pourtant au bord des larmes, réussit à lui sourire. La courtoisie de ses manières contrastait curieusement avec sa tenue
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