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En le détaillant, je remarquai soudain qu'il avait un livre posé sur les genoux.

Il lisait? Non?!

Les mecs qui lisaient étaient un peu comme les licornes!

Ils n'existaient que dans les contes de fée.

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— Il faut que je te dise que je t’aime, Calla, me dit-il.

Mon cœur manqua un battement. Étonnamment, le moniteur ne le releva pas.

— Je suis sérieux. Je t’aime. J’aime ta façon de penser… même si ce n’est pas toujours évident de te suivre. Tu es adorable. J’aime le fait qu’il y ait des tas de choses que tu n’aies jamais faites, comme ça, on les fera ensemble. C’est un honneur pour moi. J’aime ta force et tout ce à quoi tu as survécu. J’aime ton courage. J’aime le fait que personne ne se plaint quand tu fais des cocktails dégueulasses parce que tu es gentille avec eux.

Un éclat de rire m’échappa. D’une voix rendue tremblante par l’émotion, je rétorquai :

— C’est vrai que mes cocktails sont dégueulasses.

— Ah, ça, tu peux le dire. Je suis quasiment sûr que ton Long Island pourrait tuer quelqu’un, mais ce n’est pas grave. (Il me regardait droit dans les yeux avec un sourire en coin.) J’aime ton sens de l’humour et le fait que tu n’avais jamais mangé de gruau avant moi. J’aime tellement de choses chez toi que je sais que je suis amoureux de toi. Alors, chérie, prends autant de tee-shirt que tu voudras. Ils sont à toi.

Le souffle coupé, j’ouvris la bouche pour lui répondre, mais aucun mot ne franchit mes lèvres. Il y avait tellement de choses que je voulais lui dire. J’aurais aimé faire la liste de ce que j’aimais chez lui, à mon tour. Mais au final, je murmurai seulement un :

— Moi aussi, je suis amoureuse de toi.

Jax prit une grande inspiration et écarquilla les yeux. Je compris qu’il ne s’y attendait pas. C’était vraiment un idiot. Mais je l’aimais. Alors, je le répétai et cette fois, il se pencha pour m’embrasser. Et ce baiser… Mon Dieu. Je le connaissais bien. Je n’avais simplement jamais réalisé à quel point il était rempli d’amour.

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- Continue de me dire que je ne peux pas rester. Crie. Gesticule. Vas-y. Je m'en fous. Ça ne changera rien. Je doute que tu puisses vraiment me mettre dehors. Tu comprends ce que je dis ?

J'écarquillais les yeux. Bien sûr que je comprenais. Mais du ocup, je me demandais si en le frappant dans les couilles il comprendrait ce que, moi, j'étais en train de lui dire.

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Jase se tourna vers moi en haussant les sourcils.

— Si j’aimais les mecs, je lui aurais sauté dessus, après un discours comme ça.

Je clignai les yeux. Euh…

— Et moi, je lui aurais passé la bague au doigt, ajouta Cam en s’approchant d’Avery.

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Si une hiérarchie avait existé au sein de la Brigade des Beaux Gosses, Cam aurait sans doute été leur président. Il n’était pas seulement craquant, il avait aussi la personnalité adéquate. Personne ne se sentait gêné en sa compagnie, ni mis à l’écart. Son côté chaleureux détendait immédiatement l’atmosphère.

Secrètement, et j’emporterais cette information dans la tombe, j’enviais Avery. Je la connaissais à peine, pourtant j’étais jalouse de ce qu’elle avait. Un mec canon, bien sous tout rapport et qui sait vous mettre en confiance, c’est plutôt rare.

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— Je suis comme ça, c’est tout. Alors, il n’y aura rien entre nous.

Il haussa les sourcils.

Décidément, il avait de très beaux sourcils.

Non. Pas question de me laisser distraire.

— Ne te méprends pas. Tu es vraiment très sexy. Je suis sûre que tu le sais déjà, je ne vois pas comment tu pourrais l’ignorer.

Le coin de ses lèvres commençait de se relever.

Mon Dieu, il fallait vraiment que je la ferme.

— Et je suis flattée que tu… euh, m’apprécies, mais il… n’y aura rien entre nous. D’accord ? C’est impossible. Je ne suis pas ton genre de fille.

— Comment est-ce que tu connais mon type de fille ? demanda-t-il avec une réelle curiosité.

Je faillis lever les yeux au ciel.

— Je le sais. Crois-moi. Et ce n’est pas grave. Tu es très gentil et je te suis reconnaissante pour tout ce que tu as fait pour moi, mais ça… ne va pas être possible. D’accord ? Tu comprends ?

Il me dévisagea un instant, comme s’il allait me contredire, mais il se contenta de hocher la tête.

— Compris, dit-il.

Puis il eut un sourire jusqu’aux oreilles.

Je doutais qu’il ait vraiment compris.

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J’observai Katie tourner sur ses talons comme une danseuse étoile avant de s’éloigner vers la porte. Au moment où elle allait sortir, deux femmes entrèrent. L’une d’elle, une rousse à forte poitrine, eut un sourire moqueur et murmura quelque chose à son amie qui gloussa.

Je plissai les yeux. Je détestais ce genre de choses.

Katie s’arrêta, regarda la rousse droit dans les yeux et dit :

— Casse-toi de mon chemin, salope.

Roxy resta bouche bée.

Moi, je reniflais bruyamment. Un peu comme un goret.

La rousse blêmit. L’autre rougit.

— Oh, et les nanas derrière le bar ne vous serviront pas. Alors, vous pouvez aller tout de suite à l’Apple-Back, en bas de la rue. (Katie jeta un coup d’œil vers nous.) Pas vrai ?

Puisque, quelque part, le bar m’appartenait, je hochai la tête.

— Tout à fait.

— Barrez-vous, salopes.

Katie les poussa carrément vers la porte, mais s’arrêta pour nous faire une sorte de signe de reconnaissance, comme si on faisait partie d’un gang.

— Peace, mes sœurs !

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- Tout ira bien.

Je lui rendis son sourire. J'avais été au bord de la crise de nerfs ce matin. À présent, je me sentais beaucoup mieux, comme si je savais qu'au final tout s'arrangerait.

- Merci

- Sinon, je suis sûre que ta mère a une liste noire quelque part avec le numéro de quelqu'un qu'on peut engager pour lui mettre une raclée.

- N'importe quoi ! m'exclamai-je en riant.

Elle gloussa aussi et se roula en boule de son coté du canapé. Elle était tellement petite qu'elle prenait à peine la moitié d'un coussin.

- On va dire que c'est le plan B.

- C'est quoi, le plan A ?

- Tu débarque chez lui nue sous un trench-coat noir et dès qu'il ouvre la porte, tu lui sautes dessus.

Riant de nouveau, je secouai la tête.

- J'aime bien le plan A

- Je te parie qu'il l'aimera aussi.

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Oups. Mes pensées commençaient à partir en vrille. J'étais incapable de les arrêter. Jax... possédait une beauté irréelle, inaccessible. Et il avait de très beau sourcils. Sans rire. Ils étaient plus foncés que ses cheveux ondulés et bien dessinés. On ne voyait qu'eux. Je n'avais jamais vu de sourcils aussi sexy.

Mais il n'y avait pas que ça.

Mon Dieu, le simple fait de l'admettre représentait sans doute un péché capital... mais la vérité c'était que Jax était un Cam 2.0

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Je lui dis alors ce que je pensais vraiment.

— Ça ne me plaît pas.

Il fronça les sourcils.

— Pourquoi, bébé ?

À la façon dont il me l’avait demandé, je compris que sa question était sincère. Pour une raison qui m’était inconnue, une boule se forma dans ma gorge. Je me laissai de nouveau tomber en avant, la tête sur l’oreiller.

— C’est moche, murmurai-je.

Jax repoussa plusieurs mèches de mes cheveux en silence.

— Tu sais ce que je vois quand je regarde ton dos ?

— La carte de l’Himalaya ? Ma blague tomba à plat.

— Non, chérie. (Je pris une grande inspiration.) Je vais être franc, d’accord ? Je ne te dirai pas que c’est facile à regarder.

Oh, mon Dieu. Mon cœur se serra. J’avais envie de vomir.

— Mais pas pour les raisons auxquelles tu penses, poursuivit-il.

Je sentis alors sa main caresser la partie la plus meurtrie de mon dos. Mon instinct me criait de me replier sur moi-même, mais je ne pouvais aller nulle part. Jax était pratiquement allongé sur moi.

— Quand je vois ton dos, je pense à la douleur que tu as ressentie. Je ne sais pas ce que ça fait, mais j’ai reçu des éclats d’obus brûlants. À côté de ce que tu as subi, ça doit être de la rigolade… mais j’ai déjà vu des militaires, des amis, prendre feu quand des bombes explosaient.

Je fermai les yeux. Ses paroles faisaient remonter des souvenirs que j’aurais préféré oublier.

— Je sais qu’il n’existe aucun médicament assez fort pour apaiser ce genre de douleurs. Pourtant, tu as survécu. C’est à ça que je pense quand je regarde tes cicatrices. À la façon dont elles ont changé ta vie, alors que tu es toujours aussi belle. Il n’y a rien de comparable à ton sourire, tes yeux bleus ou ton joli petit cul.

Oh, mon Dieu. Il n’avait pas fini.

— Tu sais ce que je vois d’autre ? La preuve physique de ta force, Calla. De ton courage. Voilà ce que je vois quand je regarde ton dos. La carte de ton courage, de ta force et de ta bravoure. Oh, mon Dieu. Des larmes me piquaient les yeux.

Une boule s’était logée dans ma gorge. J’étais à deux doigts d’inonder les draps.

— Ce n’est pas moche. Sa voix n’était plus qu’un murmure.

Je me redressai sur mes coudes et tournai la tête pour le regarder de nouveau. Son visage était flou derrière mes larmes.

— Jax…

— D’une certaine façon, c’est magnifique.

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