Extraits

- Mais t'es con, ou quoi?

- Pardon?

- C'est une vraie question, putain! Je te jure. Et je suis sérieux quand je la pose, bordel! Tu ne me suis pas. Bon assieds-toi, merde... sérieux. Ca va nous prendre un bout de temps. Tu m'as déçu comme un pet foireux, sur ce coup.

- Je n'ai pas le temps de jouer.

- Tu as besoin de mon aide, sinon tu ne serais pas là. Alors, merde... assieds-toi. Et là, je t'aiderai.

- Bon. Vas-y, je t'écoute.

"Rick : (…) Cette nuit…j'ai été attaqué par DEUX DES NÔTRES.

Ce n'est pas moi qui ai mis ces têtes sur des piques. Aucun d'entre nous, ici, n'est responsable de cette tragédie.

Et pourtant…par frustration…nous nous en prenons LES UNS AUX AUTRES.

Cette faute, qui est la mienne, repose sur les épaules de chacun d'entre vous.

Car nous avons travaillé pour nous METTRE À L'ABRI…et, ce faisant, nous nous sommes AFFAIBLIS. Je nous ai laissés devenir FAIBLES. Mais désormais…c'est FINI."

- Tu m'as dit que chez toi , les gens veillaient les uns sur les autres, qu'on était à l'abri . Alors pourquoi , tout à coup , ils voudraient me faire du mal ? je t'ai suivi pour qu'on ...me laisse tranquille . Tu m'avais promis... Je crois que tu mens . tu m'as raconté tout ça pour m'enlever à ma mère .

Je nous ai laissés devenir faible. Mais désormais c'est fini. C'était naïf de ma part de penser que nous pourrions continuer avec nos patrouilles, nos sentinelles, et rien de plus.

- Il y a un truc qui ne tourne pas rond, chez moi.

- On a tous un truc qui ne tourne pas rond.

- Installe-toi bien à portée pour que je puisse décharger en toi ma sagesse.

- Souvenez-vous de ce soir. Nous ne sommes pas dans notre état normal. Nous avons peur. Nous nous tapons dessus. Ça ne doit pas arriver.

- Crois-moi, ça va. Je n'exigerai pas ta confiance absolue tant que je ne l'aurai pas méritée.