What the night knows
Auteur
- Dean Ray Koontz (Écrivain)
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extrait
His face, as smooth as cream in a saucer, seemed to be as open and guileless as it was handsome. With pale skin and thick black hair, dressed all in gray, he resembled an Edward Steichen glamour portrait from the 1920s or ’30s. The only color he offered, the only color on his side of the glass, was the brilliant, limpid, burning blue of his eyes.
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What the night knows est l'un des meilleurs romans de Dean Koontz. Oui, je sais, c'est ce que je dis de presque tous. Ce livre vous prend aux tripes dès le départ et ne vous lâche pas une seule seconde. Je me suis interrogée tout du long et n'ai vraiment su ce qui se passait qu'à la toute fin. Même si je ne cherche quasiment jamais de réponses et préfère me laisser emporter, dans celui-ci, j'ai essayé en vain de deviner où l'auteur voulait m'embarquer.
John Calvino a survécu au massacre de sa famille lorsqu'il avait 16 ans, commis par Alton Turner Blackwood. Deux décennies plus tard, l'esprit de l'assassin revient "finir le job", et John, devenu détective entretemps ne peut s'empêcher de remarquer la similitude entre ce qui est arrivé à sa propre famille et l'assassinat de toute une autre famille par le plus jeune des enfants. Bien entendu, personne ne croit John quand il narre sa propre histoire et affirme que c'est lui-même qui s'est chargé d'éliminer le tueur de ses proches.Il pense qu'Alton est revenu pour se venger, en s'en prenant à la famille qu'il s'est constituée, femme et enfants.
Comment les protéger contre un fantôme, d'autant que pour passer le temps, celui-ci commet d'autres meurtres aux alentours. Bien sûr, Koontz nous sert de l'action à gogo, mais les descriptions sont également magnifiquement rendues. Encore une fois, la psychologie de chaque personnage est fouillée et on apprend très vite à les connaître.
Si John est comme quasiment tous les héros de l'auteur, l'assassin et l'un des plus cruels de toute l'histoire de la littérature d'horreur. Les rebondissements incessants nous font sursauter à maintes reprises, même si à force on s'y attend. En tout cas, la fin m'a laissée pantelante et je ne m'attendais pas à un tel final. Je croyais ne plus pouvoir être surprise et je me suis trompée. Je n'ai absolument rien vu venir.
Un bouquin impossible à lâcher au point que j'en lisais dehors en marchant quand j'ai dû sortir. Chapeau bas, maître (eh oui, encore une fois.)
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Résumé
In the late summer of a long ago year, a killer arrived in a small city. His name was Alton Turner Blackwood, and in the space of a few months he brutally murdered four families. His savage spree ended only when he himself was killed by the last survivor of the last family, a fourteen-year-old boy.
Half a continent away and two decades later, someone is murdering families again, recreating in detail Blackwood’s crimes. Homicide detective John Calvino is certain that his own family—his wife and three children—will be targets in the fourth crime, just as his parents and sisters were victims on that distant night when he was fourteen and killed their slayer.
As a detective, John is a man of reason who deals in cold facts. But an extraordinary experience convinces him that sometimes death is not a one-way journey, that sometimes the dead return.
Here is ghost story like no other you have read. In the Calvinos, Dean Koontz brings to life a family that might be your own, in a war for their survival against an adversary more malevolent than any he has yet created, with their own home the battleground. Of all his acclaimed novels, none exceeds What the Night Knows in power, in chilling suspense, and in sheer mesmerizing storytelling.
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