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Extrait ajouté par Dixie93 2015-05-15T02:05:29+02:00

-Comment vous appelez vous?

-Je m'appelle Katherine Morell. Et maintenant excusez-moi...

-Katerina. Quel beau prénom...

[...]

- J'aimerais vous revoir, Katerina, dit-il d'une voix douce. à quel heure terminez-vous votre service ce soir?

Kate le fixa des yeux , elle avait l'impression de perdre le contrôle de la situation.

-Je ne pense pas que ce soit une bonne idée..

-Pourquoi pas? il plissa ses yeux bleus et fit de nouveau la moue. Vous-êtes mariées?

L'espace d'une seconde, kate fut tentée de mentir et de lui dire que oui. Mais son honnêteté l'emporta.

-Non, mais je n'ai pas envie de sortir avec quelqu'un en ce moment...

-Qui vous parle de ça?

Kate se mit à ligner des yeux. Elle avait pensé...

De nouveau, il leva la main, l’interrompant dans ses réflexions.

Cet fois-ci, il prit une mèche de ses longs cheveux bruns entre deux doigts comme s'il en savourait la texture.

- Je n'ai pas l'intention de sortir avec vous, Katerina, murmura-t-il, et l'accent de sa voix était étrangement séducteur. Mais je veux que nous couchions ensemble. Et il me semble que vous en avez envie, vous aussi.

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Extrait ajouté par Nel1234 2022-11-06T01:06:59+01:00

Sa main s’attarde entre mes jambes.

— Tu es trempée.

Il parle d’une voix basse et bourrue, ses lèvres frôlant la courbe de ma gorge.

— Tu es sûre que tu veux que je m’en aille ?

— C’est le vin, dis-je, étouffant ce dernier mot quand il écarte l’élastique de mon string.

Passant son pouce sur ma vulve, il gémit d’un air approbateur, ravi de me découvrir moite.

— Tu peux te mentir à toi-même si ça te chante, mais pas à moi.

Je sursaute lorsqu’il replie le doigt et enfonce son pouce dans ma chaleur. Tout mon corps est secoué, comme s’il m’avait envoyé un millier de volts. Mon envie n’est pas un mensonge, mais c’est une faiblesse. Puisant dans ce qu’il me reste de force, je lui saisis le poignet pour écarter sa main, mais lorsqu’il enfonce tout son majeur en moi, je me liquéfie piteusement. Si je n’étais pas adossée contre un mur, mes jambes ne me soutiendraient plus.

— J’ai envie de toi, dit-il dans un murmure grave qui me frôle l’oreille.

Je me raccroche toujours à son poignet quand il commence à bouger le doigt, allant et venant avec lenteur et régularité. À peine quelques va-et-vient et je me disloque. Ma détermination s’évapore comme des gouttelettes, remplacée par un brouillard de désir qui nimbe mon esprit.

Il achève de sceller mon cercueil en pressant ses lèvres sur les miennes. Ce n’est pas un baiser tendre et mesuré. Ses lèvres à la fois douces et insistantes me confondent par leurs promesses d’extase et de domination possessive. Il me prend avec douceur, mais en totalité, envahissant les profondeurs de ma bouche et montant à l’assaut de ma langue comme s’il souhaitait me consumer tout entière.

Mon corps réagit à ces multiples stimulations, tendu par le plaisir tandis qu’il fait l’amour à ma bouche avec sa langue, me propulsant vers l’apogée avec son doigt. Avec lui, je suis impuissante ‒ je l’ai toujours été ‒ et quand il passe la main entre nos corps pour s’attaquer à ma boucle de ceinture, je ne l’interromps pas. Je lui rends son baiser avec fougue alors qu’il fait voler en éclats mes défenses et se glisse à nouveau dans mon corps. Oubliant toute résistance, je passe les doigts dans ses cheveux et l’approche sans ménagement.

Un gémissement monte de son torse et un « oui, putain » étouffé lui échappe, dans ma bouche, avant qu’il perde tout contrôle.

Nous nous dévorons mutuellement, nous aventurant à tâtons entre les couches de vêtements. Habilement, il parvient à libérer son sexe et à enfiler un préservatif tout en m’embrassant. Ce baiser est le sortilège qui nous maintient dans cette obscure bulle de désir, et il prend soin de ne pas le briser.

Quand il retrousse ma robe tachée de vin autour de ma taille et me hisse contre le mur, je replie une jambe autour de ses fesses. Il n’a même pas pris la peine de retirer mon string. Il prend à peine le temps de tirer sur l’élastique avant de se jeter sur moi. Il est trop avide, trop rapide, mais je l’encourage, me hissant sur la pointe des orteils.

Il grogne dans notre baiser, ses mains sur ma poitrine tandis qu’il replie les genoux et s’enfonce encore plus en moi. Le plaisir me contracte les entrailles, provoquant une brûlure qui me fait gémir. Il avale l’expression de mon plaisir et m’en donne encore plus, me prenant plus vigoureusement que jamais, mais je suis insatiable.

Nous nous embrassons contre le mur, entièrement habillés, imbibés de vin et de colère. Ce sont les ébats les plus torrides de toute ma vie. Si c’est à cela que ressemble le fameux « sexe de réconciliation », alors je suis favorable aux disputes. Bien sûr, avec Tony, les disputes n’ont jamais eu cette saveur. À peine cette pensée s’est-elle formée que je la balaye. Il n’y a pas de place pour un autre homme entre nous. C’est ce qu’Alex voulait dire, ce soir, et je le ressens alors qu’il me le répète sans relâche, me poussant toujours plus près du point de bascule.

La partie inférieure de mon corps se crispe tandis que son rythme monte en flèche, de plus en plus éreintant. Mes poumons se vident à chaque coup de reins qui me repousse contre le mur. En même temps, il fait rouler mon téton entre son pouce et son index, et son autre paume descend le long de mon ventre jusqu’à cet endroit qui palpite entre mes jambes. Quand il presse deux doigts sur mon clitoris, c’en est fini de moi. Je jouis sans plus attendre, en proie à des spasmes si violents qu’il perd à son tour toute retenue.

Il me suit peu après, lâchant un juron dans notre baiser alors qu’il devient plus rigide et plus épais en moi. Le contre-coup du séisme maintient mon corps dans un étau et il ne cesse de m’embrasser que lorsque je me détends entre ses bras. Il m’étreint et me serre contre lui, mordillant ma lèvre inférieure avant de chasser la douleur par un dernier baiser. Enfin, il relève la tête.

Le bleu saisissant de ses yeux irradie de passion, ses pupilles immenses et noircies par la luxure. Il semble déjà prêt pour un deuxième round alors qu’en ce qui me concerne, je crains que mes jambes ne me portent même pas jusqu’aux toilettes.

— Ça va ? demande-t-il avec tendresse, la dispute de tout à l’heure envolée.

— Je ne sais pas, avoué-je.

Et je ne parle pas uniquement de mon état physique.

Il m’embrasse sur le front.

— Je vais bien m’occuper de toi.

Je sursaute à la sensation cuisante lorsqu’il se retire. Il s’assure que je ne perde pas l’équilibre avant de me lâcher. Alors que je le regarde, retrouvant peu à peu mes réticences, il se débarrasse du préservatif. Après s’être nettoyé avec des mouchoirs en papier qu’il trouve sur le plan de travail de la cuisine, il les jette à la poubelle et ajuste ses vêtements. Puis il me regarde. Ma robe est toujours remontée autour de ma taille, laissant apparaître mon string de travers et mes parties intimes amollies.

Retrouvant une conscience aiguë de ma nudité, je laisse retomber ma robe sur mon intimité souillée.

Il revient vers moi en deux longues enjambées et prend mon visage entre ses mains.

— Ne te cache pas de moi, Katyusha. Je dois pouvoir te regarder.

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Extrait ajouté par Nel1234 2022-11-06T01:06:53+01:00

s manteaux, son avant-bras pressé contre sa gorge.

— Ne pose plus jamais tes mains sur elle.

— Alex !

Ma chaise bascule dans ma précipitation pour les rejoindre. Je saisis le biceps d’Alex, que j’essaie de détacher de Phillip.

— Lâche-le !

Phillip lève les deux mains et répond sans ciller :

— D’accord, je ne la toucherai pas.

Alex retrouve peu à peu son calme en digérant cette réponse. Lentement, son visage se défroisse. Le silence a envahi le bar et toutes les têtes sont tournées vers nous.

— Laisse-le partir, insisté-je en tirant sur le bras d’Alex.

Mais autant essayer de déplacer un tronc d’arbre.

— Ne la touche plus jamais, reprend Alex, les dents serrées.

— Elle est toute à vous, s’empresse de répondre Phillip sans le quitter des yeux.

Je me rends compte qu’il se comporte comme en présence d’un prédateur sauvage. Ce qu’Alex pourrait bien être en ce moment même.

Il finit par le lâcher en le repoussant.

— Dégage de ma vue avant que je te casse les doigts.

— Alex !

Je n’en crois pas mes oreilles.

— Phillip, ajouté-je, je suis vraiment désolée.

— Ce n’est pas ta faute, dit-il, m’accordant à peine un coup d’œil alors qu’il récupère son manteau sur le crochet du mur.

Son regard toujours fixé sur Alex, il sort son téléphone de sa poche et demande :

— Tu veux que j’appelle la police, Kate ?

Alex me dévisage avec un sourire sombre. Il semble attendre mon verdict, comme s’il était intrigué par ma réponse. Bien sûr, je devrais appeler la police, mais ce serait une drôle de façon de le remercier de m’avoir sauvée d’une agression dans une ruelle obscure et d’avoir remplacé mes cartes bancaires, mon téléphone et mes clés.

— Non, dis-je enfin. Je m’en occupe.

Phillip me lance un regard dubitatif.

— Tu es sûre ?

— Oui.

Je me mords la lèvre, rongée par la culpabilité pour le comportement d’Alex alors que Phillip est gentil avec moi depuis le début de la soirée.

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Extrait ajouté par Nel1234 2022-11-06T01:02:53+01:00

Alex me conduit jusqu’à la voiture de Yuri et m’installe à l’intérieur. Une fois à côté de moi, il claque des doigts et le chauffeur appuie sur un bouton pour remonter la cloison. Aussitôt, Alex est sur moi. Il est comme fou, plaquant sa bouche contre la mienne tout en me touchant comme s’il avait besoin de marquer mon corps de son empreinte.

Je suis déjà excitée par les émotions que j’ai ressenties plus tôt dans la soirée, quand il m’a mis mes nouvelles boucles d’oreilles. L’impatience qui émane de tout son être lorsqu’il me hisse à califourchon sur lui fait monter en flèche mon envie et mon pouls. Quant à ses gestes empressés, ils allument un véritable brasier sous ma peau. La chaleur s’accumule entre mes cuisses lorsqu’il retrousse la robe autour de ma taille et arrache ma culotte. Il meurtrit mes lèvres par l’intensité de son baiser, mais j’accepte son envie incontrôlable, lui rendant sa passion avec une ferveur égale.

Je halète lorsqu’il enfonce un doigt en moi sans prévenir. C’est une intrusion trop soudaine. Le rythme brutal de sa main est presque trop violent, ce qui n’empêche pas l’orgasme de monter en flèche.

— Tu es si étroite, gémit-il en me mordant la lèvre inférieure. Tu crois que tu peux me prendre, là maintenant ?

J’acquiesce avec un gémissement.

Mon manteau tombe sur le sol quand il le pousse le long de mes bras. Il sort un petit emballage carré de sa poche et le déchire avec les dents, les yeux rivés sur les miens. Depuis l’autre fois dans la douche, nous n’avons plus jamais fait l’amour sans protection, même si je lui ai dit que je prenais la pilule. Deux précautions valent mieux qu’une. Le souffle court, j’essaie de détacher sa ceinture et de baisser sa fermeture éclair. Je n’en reviens pas que nous soyons sur le point de nous envoyer en l’air dans sa voiture, avec son chauffeur à moins d’un mètre. Nous sommes tous les deux hors de contrôle, mais notre envie l’un de l’autre est trop puissante pour être contenue.

Les vitres sont teintées, pourtant à la lumière des lampadaires au-dehors, je me sens exposée. Ce sentiment de vulnérabilité augmente lorsqu’Alex baisse la fermeture à l’arrière de ma robe et glisse les manches sur mes épaules. Avec ce dos nu, je ne porte pas de soutien-gorge et mes tétons se contractent lorsque le tissu tombe autour de ma taille, dévoilant mes seins à l’air libre.

Je parviens enfin à descendre la fermeture du pantalon d’Alex et je tire sur l’élastique de son boxer pour libérer son membre. Il est épais entre mes mains, mes doigts se chevauchant à peine autour de sa circonférence. Quand il approche le préservatif, je l’immobilise, une main sur son poignet. Je m’agenouille devant lui, le manteau en fausse fourrure formant un coussin moelleux sur le sol. Ses yeux s’assombrissent lorsqu’il comprend mon intention.

Sans le quitter des yeux, je pose ma bouche sur son gland épais et ma langue en effleure le bord avant de lécher la goutte de désir qui perle déjà. Son goût est viril et puissant, un cocktail enivrant qui me donne envie d’en avoir plus.

J’ai tout juste le temps de donner quelques coups de langue qu’il referme sa grande main sur mes joues, les doigts écartés.

Sa voix est chargée, intense de désir :

— Ça suffit. Tu vas me faire jouir.

Resserrant sa poigne, il m’attire à lui et m’embrasse avec ferveur avant de me lâcher pour enfiler le préservatif.

Les mains sous mes aisselles, il me ramène sur ses genoux. J’ai à peine le temps de respirer qu’il m’assoit sur son sexe en érection, s’enfouissant dans mon corps jusqu’à la garde.

Sous l’effet de l’étirement, je me cambre de plaisir. Comme toujours, c’est un ajustement étroit, un léger inconfort, mais je suis suffisamment excitée pour ne pas prêter attention à la brûlure.

La voiture roule à vive allure sur l’autoroute. Elle emprunte la sortie conduisant à son quartier alors qu’il commence à aller et venir en moi. La lumière dans ses yeux est aussi fébrile que ses baisers. Il semble vouloir marquer sa propriété sur moi par ses puissants coups de reins.

Me saisissant la nuque, il approche ma bouche de la sienne et chuchote contre mes lèvres :

— Jouis avec moi.

Sachant pertinemment comment m’y entraîner, il me vole un baiser moite et gourmand avant de plaquer une main sur mon épaule pour me repousser et glisser sa main libre entre nos corps. Je dois lui agripper les genoux pour ne pas perdre l’équilibre alors qu’il appuie son pouce sur mon clitoris. Après quelques mouvements, je bascule. Je jouis avant même que nous ayons parcouru la moitié du trajet, mes muscles internes se contractant vivement autour de lui. Il me suit avec un grognement et décolle les hanches pour me pénétrer encore plus profondément, remplissant le préservatif.

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