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Commentaires de livres faits par Widdershins279

Extraits de livres par Widdershins279

Commentaires de livres appréciés par Widdershins279

Extraits de livres appréciés par Widdershins279

La robe de mariée s'est posé sur Clara. Les anges sont blancs, je peux en témoigner, absolument immaculés, façonnés dans la chantilly.
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-Mais dis-moi, demanda Loussa en reposant son verre, ils font quoi, là, au juste, tes taulards, dans ta prison de rêve?
-D'abord, ce ne sont ni mes taulards, ni ma prison. Ensuite, ils font tout ce qu'on peut faire dans le domaine artistique. Certains écrivent, d'autres peignent, ou sculptent, il y a un orchestre de chambre, un quator à cordes, une troupe de théâtre...
Ouais... la conviction de Saint-Hiver étant qu'un assassin est un créateur qui n'a pas trouvé son emploi(les italiques sont de lui), il a eu l'idée de cette prison, dans les années soixante-dix. Juge d'instruction d'abord, juge d'application des peines ensuite, il a mesuré les dégâts de la taule ordinaire, a imaginé le remède, l'a doucement imposé à sa hiérarchie, et voilà, ça marche...depuis près de vingt ans, ça marche...conversion de l'énergie destructrice en volonté de création(les italiques sont toujours de lui)...une soixantaine de tueurs métamorphosés en artisses( la prononciation est de mon frère Jérémy).
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
À ce moment-là, un craquement assourdissant et un éclair aveuglant nous projetèrent contre le sol ;
mes oreilles vrombissaient comme si le tonnerre avait frappé les dalles derrière nous. De
l’électricité crépitait dans l’air, qui sentait l’ozone. Au-dessus de moi, Ethan grommela, se retourna
et pointa son arbalète en direction de ce qui nous avait mis à terre.
– Je ne le crois pas, murmura Connor.
Adne venait de sortir d’un portail scintillant et lui tendait les mains.
– Et pourtant, dit-elle avec un grand sourire, en l’aidant à se relever.
Son sourire s’évanouit quand elle vit les Protecteurs qui envahissaient la Chambre.
– Une porte intérieure dans l’Éden, lâcha Ethan, bouche bée, les yeux rivés sur le portail. Tu l’as
fait. Tu l’as vraiment fait.
– Je me ferai un plaisir de recevoir vos louanges plus tard, mais pour l’instant, il faut qu’on dégage
d’ici.
– Ma meute, dis-je en me relevant difficilement.
– Je m’en occupe, dit Ethan.
Il sauta de l’estrade, repoussant son arbalète sur son dos et dégainant ses épées. Il se précipita
dans la mêlée en hurlant.
– Le spectacle est terminé, les enfants ! On vient de nous offrir les billets retour !
Mason remua les oreilles et poussa un long hurlement de joie quand il aperçut le portail étincelant.
Nev se retourna et se rua vers l’estrade. Bryn relâcha la gorge d’un autre loup et fonça vers nous.
Sabine, acculée contre le mur sud, combattait trois loups à la fois.
– Tiens bon, Sabine ! s’écria Ethan. J’arrive !
– Calla, empêche les Protecteurs de s’en prendre à Adne ! ordonna Connor avant d’imiter Ethan et
d’attaquer les loups qui essayaient de poursuivre mes camarades de meute.
Je changeai de forme et me précipitai sur les ennemis qui avaient réussi à lui échapper.
Arrivé au niveau de Sabine, Ethan détourna l’attention de deux des loups à coups d’épées vicieux.
– Cours ! cria-t-il alors qu’elle en finissait avec son troisième opposant. Je suis juste derrière toi.
Elle bondit et décampa en direction de l’estrade. Il embrocha l’un des Protecteurs, mais le second
referma ses crocs sur son bras. Il jura en se débattant. Le loup serra encore les mâchoires, refusant de
le relâcher. Ethan laissa alors tomber une de ses épées pour se saisir d’un poignard qu’il plongea
dans l’oeil de l’animal. Il s’effondra et Ethan repartit tant bien que mal vers l’estrade, le sang
jaillissant à flots de sa chair déchirée.
– Je te couvre, mec, lança Connor en abattant un loup et en envoyant un coup de poing dans la
gueule d’un autre.
– Par ici ! cria Adne en leur faisant de grands signes. Passez la porte ! Il faut que je la referme
avant qu’ils ne puissent nous suivre.
Mason, Nev et Bryn avaient déjà sauté à travers le portail lumineux. Sabine attendait à côté de
moi. Elle changea de forme quand Ethan grimpa sur l’estrade, glissa le bras autour de sa taille et
l’aida à aller de l’autre côté.
– Vas-y, Calla, me dit Adne en passant une nouvelle fois la pièce en revue. Connor, où est mon
père ?
– Vas-y, Calla, lança Connor, comme en écho, en me poussant vers la porte.
Je regardai derrière moi en pénétrant dans la lumière : Connor attira Adne à lui et lui murmura des
mots à l’oreille. Le visage de la jeune fille se décomposa et elle s’écroula contre lui. Connor la prit
dans ses bras et franchit la porte à son tour.
Mes griffes crissèrent sur du gravier. J’inspirai l’air froid d’avant l’aube. Il avait un goût de
liberté. Malheureusement, mon soulagement fut de courte durée, et teinté d’amertume.
Derrière moi, j’entendais les sanglots d’Adne et les murmures de Connor.
– Il faut que tu fermes la porte, Adne. S’il te plaît.
La jeune fille poussa un cri au moment même où un rugissement s’élevait. Je fis volte-face, prête à
me battre. Deux Protecteurs avaient bondi à travers le portail. Le premier avait cloué Adne au sol et
essayait de lui mordre le visage alors qu’elle se tortillait sous lui ; l’autre faisait face à Connor.
Alors que je me précipitais vers Adne, j’aperçus deux formes indistinctes du coin de l’oeil. Au
moment où Connor brandissait son épée, Nev et Mason se jetèrent sur son adversaire. Ils le mirent en
pièces dans une pluie de sang et de poils.
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– Recule, la peluche ! s’écria Connor en se précipitant dans la pièce et en se jetant entre Dax et
moi, épées en mains. Désolé d’interrompre la fête, mais le temps est venu pour nous de vous dire au
revoir. Ne le prenez pas mal, vous avez été des hôtes fabuleux !
Dax fonça sur lui. Connor feinta et lui taillada l’épaule. Dax attaqua à nouveau, mais Connor, tout
aussi rapide que lui, parvint à lui infliger deux autres plaies dans le flanc. Le loup massif grinça des
dents et se mit à aboyer sauvagement tandis que Connor lui tournait autour, faisant virevolter ses
épées devant lui à une vitesse étourdissante.
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Adne laissa tomber son front sur la table en grognant.
– J’épouse la première personne qui me servira une tasse de café, peu importe qui.
– Lance-moi un mug, Isaac ! s’écria Connor en se levant à moitié.
– Oh, laisse tomber…, marmonna-t-elle au bois.
– Tu plaisantes ? Une tasse de café plutôt qu’une bague ? Ce genre de demande en mariage, c’est
pile ce qu’il me faut.
Je caressai l’anneau métallique froid autour de mon doigt. Je surpris Adne à me regarder, et me
cachai les mains.
– Et tout ce que tu peux te permettre, ajouta Isaac.
– En effet, maintenant que tu le dis, dit Connor en riant.
– Malgré ma généreuse proposition, je n’ai toujours rien à boire, se plaignit Adne.
– Ne baisse pas les bras aussi vite, mon coeur, dit Isaac en lui apportant une tasse fumante.
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Après cela, il est resté un mois au lit avec une bonne fièvre. Jamais plus il n'a dit:"Pour me rouler, il faudra se lever tôt!"

Le maquignon et les trois voleurs
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Son regard croise le mien lourd de sens, et ma poitrine se serre.
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Shay se lève et vient s'asseoir près de moi. Je m'écarte, mais il passe une main autour de mes épaules et je me sens perdue. Je ne veux plus qu'une chose, me blottir dans ses bras et poser ma joue contre son épaule.
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Spoiler(cliquez pour révéler)
Je viens juste d'aller à la salle de bain, et j'ai regardé par la fenêtre-la force de l'habitude, sans doute, car je ne l'espionne plus-pour voir ce que fabriquait Jason.
Il a tendu d'immenses bandes de papier sur sa vitre.
Mais je m'en fiche. Parce que dessus, avec des étoiles fluorescentes, il a écrit:"Bonne nuit, Crazytop."
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Je devrais le détester. Ce n'est pas le cas. Difficile de détester quelqu'un d'aussi beau, torse nu.Bon sang! Comment est-ce que j'ose avoir des idées pareilles dans la tronche? Et comment est-ce que j'ose faire faire ce que je suis entrain de faire, alors que je m'étais jurer d'arrêter? Définitivement. Mais c'est sa faute après tout... il n'a qu'à baisser ses stores.
Mon problème est le suivant:quelle conduite faut-il adopter lorsqu'on est incapable de résister à la tentation tout en étant pertinemment conscient que ladite tentation est malsaine?
A ma décharge, je suis certaine que je pourrais arrêter si j'en vais envie. Sauf que...euh...je n'en ai pas envie, apparemment.

p59
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SkinnerBx: Chère Mia, est-ce que tu viens de jeter par-dessus bord ton trône pour apporter la démocratie à un pays qui ne l'a jamais connue? Bravo, Thermopolis!
Michael

J'ai éclaté de rire en le lisant. C'était plus fort que moi.
Et vous savez quoi? Ca m'a fait du bien de rire à une plaisanterie de Michael. J'avais l'impression que ça ne m'étais pas arrivé depuis une éternité.
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La tribu Malaussène à la joie de vous annoncer la naissance de Verdun, la petite dernière, agée de 3 797 832 ans.
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Il soupire. Je distingue l’affolement de son coeur, qui bat la chamade, à travers l’épaisseur
de son costume. Avec délicatesse, il relève mon menton. Je sens un attachement indicible qui
grandit entre nous.
Ensuite vient le baiser, d’une tendresse inimaginable.
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Helen Thermopolis: Franck, je suis enceinte.
Mr. Gianini:Oh. Très bien. Qu'est-ce que tu veux faire?
Helen Thermopolis: T'épouser.
Mr. Gianini: D'accord.

Hé Ho!!! Et le côté romantique???? "Franck je suis enciente. Marions-nous. D'accord."

AU SECOURS!!!!!!!!!!
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Les roses sont roses
et les violettes violettes
tu ne le sais peut-être pas, mais moi aussi je t'aime

J'ai crié et je me suis levée d'un bond en renversant ma chaise.
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