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"Je m'appelle Kantz...Je suis venu te détruire. A jamias

-Tu n'y parviendras pas seul. Tes prières ne m'effraient pas.

-Je ne suis pas seul. je ne le suis jamis."

...les goules s'étaient redressées. Elles attendaient l'issue de cette joute verbale. La voix de Klieb autant que son assurance affichée semblaient les réconforter. mais elles n'avaient toujours pas remarqué les templiers, et Klieb devait ignorer leur présence.

"Sans doute crois-tu que le Ciel te rpotége? reprit Klieb en titant l'épée. Tu parles comme un prêtre."

Le chevalier sourit.

"A MOI, LES SOLDATS DU CHRIST! lança-t-il.

-FEU!" hurla le frère Markus.

Kantz plongea dans l'escalier à la seconde où les mousquets firent feu en rafale. A leur tonnerre répondit un concert de hurlement et gémissements. Toutes les goules furent touchées. Frappées par des balles consacrées sur l'autel, elles se tordaient de douleur ou chancelaient, ahuries. Leurs plaies fumaient et grésillaient comme traversées par du plomb fondu...

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Extrait ajouté par Gollum 2022-08-24T09:47:42+02:00

« Sous l’église des Anges-Aveugles, les six goules quittèrent ensemble leur torpeur. Déjà frémissantes d’excitation, elles ne comprenaient pas le pourquoi de leur éveil. L’instinct, seul, les guidait. Elles cherchèrent de leurs yeux morts, humèrent l’air en tendant le cou. Elles devinaient une proie, une menace peut-être. Elles grognaient en sourdine, prudentes, incertaines, tapies en bas de l’escalier qui menait à la nef et montait vers une porte close. »

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Extrait ajouté par Gollum 2022-08-24T09:33:43+02:00

« Des larmes roulèrent sur ses joues creuses. Misérable et fragile, il voulut parler mais n’y parvint pas. Une tristesse suppliante se mêlait à la peur dans ses yeux embués. Il s’était cru résigné à mourir et découvrait, à l’ultime instant, qu’il s’était trompé. Il désirait vivre. Plus que jamais. Vivre seulement un jour encore, une heure, une minute.

Vivre… »

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Extrait ajouté par Lyanaa 2018-10-31T10:02:17+01:00

Ces dernières lignes semblaient avoir été hâtivement tracées par l’auteur : l’écriture était moins soignée et l’encre était plus sombre que celle du texte principal. Comme madame de Ludehn quelques jours auparavant, Kantz déduisit de cet ajout que la décision de lui confier la lettre avait été prise dans l’urgence. Mais l’information capitale de ce post-scriptum était les craintes exprimées : si le chevalier en savait trop, il pourrait ruer dans les brancards. Quel but poursuivaient donc la baronne et son correspondant ? A priori, le fait que madame de Ludehn soit ennemie de la Vehme plaidait en sa faveur. Cependant, parce que deux loups également féroces peuvent se disputer une même proie, Kantz se garda de conclure.

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Extrait ajouté par Lyanaa 2018-10-31T10:00:50+01:00

- Bonjour, Monsieur. Vous m’avez l’air affamé comme loup en hiver.

- Tu devines bien.

- A pareille heure, je ne sais si vous déjeunerez ou dînerez.

- Peu m’importe la repue. Je veux manger.

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Extrait ajouté par Lyanaa 2018-08-01T15:05:34+02:00

La Tête de Loup était une taverne où les honnêtes gens n’allaient pas. Elle attirait une faune turbulente et souvent joyeuse de soldats, marins, truands, filles faciles et étudiants débauchés. Après la porte, un escalier droit, en pierre, sans rambarde, descendait jusqu’au milieu d’une grande salle en entresol. Il y faisait chaud. Les bavardages, les rires et la musique d’une viole se mêlaient en un vacarme confus. L’air était lourd d’odeurs tenaces: crasse, sueur, suif et bière aigre. Sur les tables immenses, des bougies se consumaient dans des flaques de cire.

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Extrait ajouté par Lyanaa 2018-08-01T15:04:37+02:00

Cependant, parce que deux loups également féroces peuvent se disputer une même proie, Kantz se garda de conclure.

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Extrait ajouté par Lyanaa 2018-08-01T15:03:43+02:00

- Il a commerce avec les démons!

- Oui, pour les détruire. Comme un louvetier connaît les moeurs des loups qu’il chasse.

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Vers Wielstadt et ses toits blanchis qu'il frôle, deux coups d'ailes suffisant pour qu'il aille jusqu'à la porte des Chevaliers-du-Christ qu'un cavalier solitaire vient de franchir, poursuivi dans les bourrasques et les hurlées du blizzard nocturne par une bille de lumière vivante.

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Extrait ajouté par anonyme 2017-07-02T19:35:50+02:00

« Chaque jour passant, déclara Kantz, j’ai le sentiment que la paix s’éloigne un peu plus. C’est à croire que de mauvais génies attisent tous les feux, soufflent sur toutes les braises, et qu’ils n’auront de cesse que de savoir le Saint Empire tout entier consumé. »

Dos au frère Markus, Kantz resta un long moment immobile et sans mot dire, les poings sur les hanches. Il fallait que sa colère retombe, qu’il oublie un peu la haine qu’il avait de cette guerre et de ceux qui la voulaient. Le silence dura entre les deux hommes, presque hostile, jusqu’au moment où Kantz lâcha :

« C’était un démon. »

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