Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 654
Membres
1 013 292

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Arwenetoiledusoir 2024-02-03T21:57:51+01:00

Eh Vicky ? La vie semble douce aujourd'hui, et j'ai une place pour toi dans mes bras.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Arwenetoiledusoir 2024-02-02T22:18:39+01:00

Qui étais-je face à lui ?

Une rose noire qui avait poussé sur une terre baignée de sang.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Mei_Li 2024-01-15T19:31:40+01:00

Je glissai mes mains dans ses cheveux, lui renversai la tête en arrière, abolissant le peu d’espace qui nous séparait encore.

Son haleine mentholée me chatouilla les narines.

— On est au milieu de la rue, Gabriel, soupira-t-il.

— Et alors ? susurrai-je. Il y a des lois anti-gays, à Minneapolis ?

— Tu es gay ?

— Je n’en sais rien, Vicky. Mais crois-moi, là, je vais t’embrasser.

Il passa un bras autour de mes hanches, posa son front sur mon épaule pour m’échapper. Je me reculai pour capter son regard.

— Quoi ?

Il ne dit rien, j’inclinai le visage.

— Vicky, grondai-je.

— Je ressemble à un vrai mec, comme ça.

J’attrapai son menton entre mes doigts, observai ses traits masculins, d’une douceur tranquille, d’une tendresse légèrement abrupte. Il n’y avait rien de féminin dans la courbe de ses lèvres, dans l’arrondi de sa mâchoire, dans la lueur de convoitise logée au fond de ses iris, dans le souffle d’excitation qui me caressait comme une invite.

— Tu ressembles toujours à un vrai mec, Vicky.

Et puis voilà, c’était sans doute la seule chose à dire. La seule qu’il ait besoin d’entendre. Parce que soudain, il croisa les bras derrière mon cou et m’embrassa. Là, devant le Conga Bistro, alors que mes amis sortaient sur le trottoir et que j’entendis Darius jurer inélégamment.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Fl3g 2023-03-03T15:49:13+01:00

Vicky avait raison. Il m'embrassait et ce fut comme une porte qu'on claque sur tout le reste.

Il venait de répondre à ma question.

À toutes mes questions.

Pourquoi moi ?

Mais pourquoi pas si je t'aime ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par Fl3g 2023-03-03T12:37:49+01:00

- J'ai envie de te dire quelque chose, souffla-t-il contre mes lèvres.

C'était le plus beau des "je t'aime"

- Moi aussi, Vicky.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Fl3g 2023-03-03T02:37:42+01:00

Il n'y avait plus de lui et plus de moi, uniquement ce que nous faisions ensemble. Son plaisir devint mon envie et mon appétit, sa soif.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Fl3g 2023-03-02T23:54:00+01:00

Que cachaient ses couleurs, sa finesse et cette masculinité divergente ? Cette virilité différente... mais pas moins un homme, non. Juste de façon singulière, comme le sont ceux qui savent aimer autrement.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Sleepwxlker 2022-09-04T03:11:51+02:00

Le café était chaud quand Vicky posa les clefs sur le comptoir, et les tasses fumantes quand il nous servit. J'ouvris les baies vitrées et avançai vers le balcon, déposant mon mug sur le rebord. Vicky resta quelques pas derrière, n'appréciant pas de se retrouver face au vide. Il avait le vertige. Pourtant, quand je lui tendis la main, il la prit et se glissa sans une hésitation entre la rambarde en pierre et moi. Je l'enlaçai et posai mon menton sur son épaule, mes lèvres quelques instants sur sa joue.

- Ferme les yeux, Vicky. Je te tiens.

Alors il les ferma, s'accrocha à mes bras et resta blotti là, devant les rayons de soleil qui éclaireraient Minneapolis jusqu'au crépuscule. Les gens commençaient à se lever en ce dimanche matin. Certains prendraient le chemin de l'église. D'autres monteraient en voiture, pour filer n'importe où, ailleurs qu'ici. Juste pour casser leur quotidien. Quand ceux qui resteraient profiteraient d'une journée en famille, moi, je tomberais sur un canapé devant une émission de télé dont je n'entendrais qu'un mot sur dix, préférant écouter le rythme cardiaque de Vicky qui s'accélérerait quand j'embrasserais son cou en lui disant que j'adorais son odeur. Il nouerait ses jambes aux miennes et je baisserai les paupières, mes pensées restreintes à un seul mot.

Félicité.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Sa-naee 2021-06-26T02:35:54+02:00

Pourquoi mes cris n'étaient-ils que des souffles qui se perdaient?

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lea_dtly 2021-06-22T20:27:30+02:00

Toi, tu n’as fait que me résister, me repousser, me dédaigner ou m’inquiéter. Rien que ça, ça aurait pu être suffisant pour que j’aie envie de me rapprocher. Mais il y avait plus. Il y avait ton regard, les ombres derrière, ta façon de le poser sur ce qui t’entourait. Sur moi. Tu étais en colère et chaque pas te rendait plus impressionnant encore. On restait volontairement loin de toi. Pourtant, je ne t’ai jamais vu faire de mal à qui que ce soit. Tu n’es pas devenu la terreur des plus faibles, ni le cauchemar des matheux, ni la bête noire des professeurs. Tu restais en retrait, tu ne semblais à ta place nulle part. Et au fil des jours, et des semaines et des mois, je n’ai pensé qu’à ça. Chaque fois qu’on s’accrochait… Chaque fois qu’on se percutait et que tu me demandais de reculer, de baisser les yeux ou de m’écarter de ta route… Chaque fois que je te provoquais et que tu y répondais… C’était un lien que tu créais avec moi. J’avais une place dans ta vie et tu avais une place dans la mienne.

Il avait baissé la voix et le dessin de ses lèvres me donnait envie d’y croire.

D’y croire vraiment. Son pouce dessinait des cercles contre ma paume, hypnotisant, calmant les pulsations de mon cœur qui cherchait à s’enfuir, mort de peur.

Parce que c’était bien de la peur que je ressentais. Celle, immense, de me planter et de tout foutre en l’air. De ne pas être assez… Assez bien, assez grand, assez fort, assez intelligent.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode