Ajouter un extrait
Liste des extraits
Par-dessus son épaule, Laurel fixait son dos nu dans la glace. Il y avait une minuscule ligne blanche au milieu - comme une cicatrice depuis longtemps oubliée -, mais elle était à peine visible.
Afficher en entierLaurel avait l’impression que la nature se moquait d’elle. Son monde s’écroulait, et pourtant tout respirait la beauté, comme pour la narguer.
Afficher en entierMais le courant trop fort du fleuve avait poli les aspérités des cailloux qui en tapissait le fond.Laurel se laissa flotter vers David pour lui redonner de l'air, puis s'enfonça de nouveau dans les profondeurs du fleuves en suivants la corde de David,cette fois.Ces doigts se débatirent avec le noeud qui ensserrait la pierre,et, peu à peu elle parvint à dégager un boud de corde.
Afficher en entierVoici un extrait:http://www.wobook.com/WBIz43j1IJ2m/Lire-un-extrait-de-Wings-d-Aprilynne-Pike.html
Afficher en entierLaurel garda le silence tandis que M. James commençait l'appel.
- Alors tu crois toujours que je suis une plante? demanda-t-elle dans un murmure.
- Une plante hyper évoluée, oui, répondit David.
- Ca craint.
- Je ne trouve pas, chuchota-t-il en souriant. Et même, je trouve ça plutôt cool.
- Forcément, monsieur le passionné de biologie. Mais moi, je veux juste pouvoir aller en cours de gym sans être une attraction de cirque.
Afficher en entierLaurel n'aurait su expliquer pourquoi elle fondit en larmes. Ce n'était pas à proprement parler une surprise. Et cependant, jusque-là elle n'avait pas réussi à l'accepter. Maintenant qu'elle était face à la vérité, elle éprouvait un mélange de peur, de soulagement, d'hébétude et une étrange tristesse.
David s'installa sur le lit à côté d'elle. Sans un mot, il l'attira contre lui. Elle se laissa faire et s'abandonna au réconfort de son étreinte. De temps à autre, il lui caressait les bras en prenant soin d'éviter ses pétales.
Afficher en entier- (…) On se soigne avec les préparations de ma mère.
- La mienne flipperait en entendant ça. Pour elle, il existe un comprimé pour chaque maladie.
- Et la mienne pense que les docteurs sont des assassins.
- Je crois que nos mères pourraient apprendre pas mal de trucs l'une de l'autre.
Afficher en entier-Je t'ai observée de loin pendant des années. Je t'ai vue grandir, passer de la petite fille à la fée adulte. Nous étions meilleures amis quand nous étions petits, et je suis resté à tes côtés presque tous les jours pendant ces cinq dernières années. Est-ce si étonnant que je sois tombé amoureux de toi ?
Afficher en entierLaurel avait l’impression que la nature se moquait d’elle. Son monde s’écroulait, et pourtant tout respirait la beauté, comme pour la narguer.
Afficher en entierLa forêt était remplie d'arbres aux feuilles larges et de pins qui jetaient de l'ombre sur la végétation vert pâle tapissant le sol. La plupart des troncs étaient recouverts de mousse vert foncé qui cachait l'écorce rugueuse. Partout où le regard se posait, c'était vert. Il avait plu légèrement ce matin-là et le soleil était sorti, transformant les millions de gouttelettes d'eau en orbes scintillants qui faisait briller chaque surface comme des plaques d'émeraudes. Des sentiers tournaient dans l'obscurité entre les arbres, et Laurel s'engagea lentement dans l'un d'eux.
Afficher en entier