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— Parfait. Et surtout, s’il essaye de te… toucher ou de faire des trucs étranges, tu pars en courant et tu nous appelles, nous viendrons te chercher.
Je lève les yeux au ciel.
— Vadim, tout va bien. Ce n’est pas comme si je ne le connaissais pas. Je travaille avec lui depuis des semaines, je te signale. C’est mon patron !
Il reste sérieux, imperturbable malgré les ricanements à peine cachés d’Adam derrière lui.
— Justement. Il n’est pas impossible qu’il pense avoir un droit de cuissage…
Son homme et moi éclatons de rire simultanément. Ce qui ne le fait toujours pas broncher, affairé à boutonner le col de mon blouson. Je ressemble à un Bibendum.
— Daragoï, on n’est plus au Moyen Âge, le droit de cuissage a été aboli depuis longtemps !
Vadim a appris le français dans les livres et parfois, ça se ressent. Il pince les lèvres, toujours très sérieux.
— Oui, très bien, mais est-ce que lui, ton chef, est au courant ?
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