Merci aux éditions Black Ink pour ce service presse.
Le résumé sentait bon le #LoveHate et l’héroïne pleine de réparties juteuses et surtout acides, et j’adore ça ! J’avoue que j’ai craint la transformation de cette jeune femme comme tout le monde en une bomba, légèrement décérébrée, mais l’auteure a évité cet écueil (merci de tout mon cœur !)
Birdy est une assistante photographe qui aspire à l’indépendance. Lasse de portée le matériel pour la lumière, elle n’ose pas prendre son destin en mains pour se donner une vraie chance professionnellement. Et il faut dire que sentimentalement elle ne respire pas la confiance non plus suite à une relation toxique avec un mannequin. Elle vit avec son grand frère qui la materne beaucoup trop, mais leur façon de fonctionner est amusante à lire.
En face de cette femme au caractère trempé sur bien des points, se trouve Asher. Il est taquin, parfois un peu trop, mais surtout il se cache derrière une façade. Sa carrière n’est pas au top, sa vie perso prend l’eau et son séjour à L.A. est supposé l’aider à tout remettre sur les rails.
Nous avons donc deux personnages dans le creux de la vague qui vont s’allier pour un deal stupide, mais qui finira par les aider à avancer. Et je les ai suivis dans cette nouvelle quête, dans les rebondissements, me réjouissant avec eux des succès qu’ils rencontrent. La plume est légère, entrainante et c’est avec plaisir que je les ai regardés ouvrir les yeux l’un sur l’autre.

Merci aux éditions Black Ink pour ce service presse.

J’ai découvert la plume de l’auteure il y a quelques mois avec sa trilogie Kalliopée. Si le style m’avait plu, l’histoire avait lieu dans un monde régi par d’autres règles et offrant beaucoup de libertés. Il me tardait donc de lire l’auteure dans une romance contemporaine, un New Adult où tout est bien plus codifié.

Sasha est une jeune femme pétillante amoureuse de celui qui est son meilleur ami depuis sa naissance. Si le début évoque rapidement leur amitié et les affres des hormones lors de l’adolescence, nous sommes vite plongés dans la romance. Dans une relation calme et rassurante, Sasha voit son monde éclater quand Lane revient. Le jeune homme souriant et toujours prêt à rire a bien changé et pour cause ! Si elle a souffert de son absence, lui a vécu des atrocités.

En effet, Lane est un survivant. Il culpabilise d’être toujours là, de ne plus être au front… Malheureusement ses démons veillent et l’empêchent de reprendre pied dans une réalité à laquelle il n’est plus habitué. Et Koko Nhan traite avec justesse de ce retour à la vie civile qui n’est facile pour aucun.e militaire.

L’histoire de ces deux amis m’a touchée et j’ai eu hâte d’en savoir plus et de voir Lane aller mieux. Si ce dernier a des hauts et des bas, tout reste cohérent et appréciable au point que j'ai dévoré les chapitres à un rythme soutenu. Quant aux personnages secondaires, ils servent à l’évolution du couple par leurs interventions parfois négatives, mais souvent positives.

Merci aux éditions Black Ink pour ce service presse.
Autant le dire d’entrée de jeu, j’ai adoré ce livre et l’histoire de Heather et Kurt. Je l’avais choisi en prévision d’échanges cultes entre les deux. Et je n’ai pas été déçue !
Heather est une jeune femme sous la coupe de sa mère, une femme de al haute société new-yorkaise qui rêve de la voir faire un « bon mariage ». En couple depuis deux ans avec Bryan, elle accepte de l’épouser avant de découvrir que son premier mariage n’a pas été annulé le lendemain des noces. C’est la douche froide et la peur que toute cette affaire s’évente et n’attire la fureur de sa mère.
Kurt est loin d’être le gendre idéal. Musicien, issu d’une famille modeste… Il est surtout déterminé à avoir une dernière chance avec Heather. Si son travail el comble et que son histoire familiale est assez sombre, il reste quelqu’un de solaire et d’attirant.
Et nul doute qu’entre les deux héros, l’ambiance est électrique en plus d’être sensuelle. Le lien créé huit ans plus tôt est toujours là et fait des étincelles dès la première rencontre. Je me suis laissée emporter, me demandant souvent comment l’auteure allait pouvoir boucler toutes les pistes qu’elle ouvrait à mesure des pages.
S’il aurait été facile pour Shelby Kaly de se concentrer uniquement sur Heather et Kurt, elle a choisi d’incorporer des personnages secondaires qui ont toute leur importance dans l’évolution de la romance. Déjà la mère de l’héroïne par ses ingérences, mais aussi le frère et la meilleure amie de cette dernière qui sont les soutiens sans failles dans toute cette affaire. De même, du côté de Kurt, on retrouve le meilleur ami qui ne juge pas et pousse à avancer dans la personne de Hunt.
Donc vous l’aurez compris, j’ai été séduite par cette romance qui ne tombe pas dans la facilité en imposant à l’héroïne un petit-ami / fiancé insupportable. Et oui, même Bryan mérite d’être cité parmi les personnages qu’il m’a plu de rencontrer ! Alors si vous ne l’avez pas déjà lu et que vous aimez les échanges piquants et la tension sexuelle qui monte doucement, mais sûrement, jetez-vous dessus !

https://wordsoflovebooks.jimdofree.com/2022/04/17/my-girl-shelby-kaly/

Merci à Black Ink édition pour ce service presse.

Le résumé du livre m’a vraiment intrigué et j’avais hâte de découvrir l’histoire de Dixon et Rayley.

La plume de Caroline m’a beaucoup plu dans No choice, je ne connaissais pas celle de Mahira encore. Je ne pense pas avoir découvert qui a écrit quoi d’ailleurs.



J’ai vraiment apprécié la lecture de ce livre. Les auteures m’ont transporté dans leur univers.



Rayley doit faire ses preuves pour avoir le stage de ses rêves dans un milieu de requin, elle a tout pour réussir mais n’est soutenue que par son frère et sa grand-mère.

Dixon est incarcéré depuis 5 ans, mais sa véritable prison est sa propre culpabilité. Sortir de prison n’est pas une option …. jusqu’à Elle.

La rencontre de ces deux caractères forts est électrique, et ferait presque fondre une barre de chocolat ( :D )

Mais en dehors cette potentielle libération, l’intrigue qui se joue va au-delà de ce que j’ai pu imaginer. La construction des manigances, le machiavélisme, les prises de risques des uns et des autres apporte une certaine tension très prenante. Les émotions sont décrites avec justesse, et j’ai autant ri que j’ai eu la gorge serrée. J’ai passé une lecture avec une certaine alternance de douceur, d’inquiétude, de colère et d’amour qui a fait battre mon cœur.

La détermination de Rayley, et sa force de caractère m’ont plu et je me suis vite attachée à elle. Brillante étudiante elle se bat pour ses convictions malgré les obstacles.

Dixon c’est un être solaire privé de sa lumière, je me suis attachée à lui aussi, ses attentions, la gestion de sa famille et de ses amis, nous montre un homme intègre et bienveillant . Bon je ne vous cache pas que je lui aurais bien mis une bonne tape derrière les oreilles 2 ou 3 fois quand même.

Les personnages secondaires ont une place importante et j’ai aimé les rencontrer. J’ai adoré Roxy aussi, j’aurais bien aimé en apprendre plus sur son histoire aussi.

La romance est atypique et complexe. J’ai été surprise au départ de la rapidité, mais en prenant du recul, comme nous le propose les auteures aussi, j’ai saisi l’intensité comme celle du feu au départ qui laisse des braises ardentes.

L’alternance de point de vue permet aussi de saisir les méandres des pensées des héros, tiraillés entre leurs envies et leurs obligations.

Je ne vous en dirais pas plus car je ne voudrais pas vous dévoiler les secrets de l’histoire. Sachez tout de même que le titre de ce livre est un indice pour le développement de l’histoire, que je vous conseille vivement de lire.

Quelle plaisir de retrouver la plume d’Isabelle Fourié. Elle fait partie des auteurs dont je ne lis pas le résumé car je lui fais complètement confiance pour m’emporter dans son histoire. Cette fois-ci, le voyage est moins loin, mais j’ai adoré découvrir une partie de la Corse avec elle.

La couverture est sublime et pour moi elle reflète vraiment bien l’ambiance de cette histoire, comment me direz-vous ? Et bien regardez bien : à première vue cela semble simple comme un visage, mais si vous regardez plus attentivement vous y verrez les détails, les nuances, les ombres et la lumière.
Pour moi l’histoire que nous propose Isabelle est comme cela, différente de ses précédentes histoires, elle se renouvelle ici avec une intrigue très prenante, pour moi nous sommes dans un romantic suspense et j’ai adoré.
Les machinations, les faux-semblants, ce coté un peu mafieux m’ont fait me questionner, m’interroger. Et dans un même temps la révélation de la romance, qui se fait au rythme de l’amnésie (enfin la guérison) de Lésia.

Dès les premiers chapitres la tension est sous-jacente. La description des émotions, ou l’absence de celles-ci justement, le développement de l’instinct, m’a fait ressentir ces dernières comme si je les découvrais avec Lésia.

On découvre Lésia dans une situation inédite, de ce fait nous la découvrons comme elle se révèle aussi à elle-même. L’alternance des points de vue modifie la perception que j’ai eue des personnages. Mattéo sombre et mystérieux, laisse entrevoir les questionnements qui l’habitent et le façonnent. Je ne vous en dis pas trop, il y a tellement d’éléments importants que je ne voudrais pas vous gâcher les surprises car les secrets sont omniprésents.

Ici les jeux de dupes sont joués par tous, et seule la fin vous révélera qui sont les vrais héros de cette histoire.
Vous l’aurez compris j’ai pris énormément de plaisir à lire ce livre, et partager cette lecture avec Camille a été vraiment un moment très sympa.

Merci à Black Ink pour ce service presse.
Il faut savoir que j’adore les #EnnemiesToLovers et le résumé vendait ce trope. Mais je pense que ce qui m’a réellement décidé à lire ce livre est l’immersion promise dans la culture amérindienne. J’ai donc débuté ma lecture curieuse d’en savoir plus.
Anouk est une jeune femme dévouée, loyale et déterminée. Elle sait pourquoi elle est venue et n’en démordra sous aucun prétexte. Elle est belle sans le savoir, gentille et affable. De quoi s’attacher à elle facilement. On sent son désespoir et les différentes émotions qui la parcourent au fil de l’histoire.
En face se trouve Tekoa. Un jeune homme voué à de grandes choses, de part sa naissance, mais aussi ses capacités. Il évolue dans un brouillard, suivant des traditions qu’il peine à appliquer pour certaines. L’arrivée de la petite française va bouleverser son monde et sa vision de l’avenir.
S’il est plaisant de les voir se chicaner pour enfin céder à leur attirance, j’avoue ne pas avoir réussi à m’immerger dans l’histoire. Est-ce parce que je n’étais pas en phase avec ce type de lecture, avec la plume de l’auteure ? À l’heure actuelle, je ne saurais répondre.
La plume de l’auteure est assez fluide, mais je me suis surprise à lire en diagonale ou à survoler certains passages. L’histoire est bien construite et on voit que quelques recherches ont été nécessaire, même si Vanessa Degardin prévient dès le départ qu’elle a prit quelques libertés afin que l’intrigue soit la plus cohérente possible.
Quant aux personnages, j’ai fini par me détacher de l’héroïne et le charme du héros n’a pas su captiver mon cœur, trop de doutes et un manque évident de caractère qui ont eu tôt fait de me détourner de lui.
Le point positif est que l’attirance entre eux est très bien amenée et la tension à son maximum pour savoir comment ils vont réussir à être ensemble.

https://wordsoflovebooks.jimdofree.com/2022/04/02/tekoa-vanessa-degardin/

Merci Hugo Publishing pour ce service presse.
J’avoue, non sans une certaine honte, je n’avais jamais lu cette auteure. J’en ai beaucoup entendu parler, essentiellement en positif, mais je n’avais jamais franchi le cap. Aussi, j’ai sauté sur l’occasion de découvrir sa dernière comédie romantique.
Et j’ai adoré !
Blakely est une femme qui flirte avec la quarantaine. Elle jongle avec une cheffe tyrannique et un ex-mari qui se pavane avec sa nouvelle fiancée. Il est donc très facile de comprendre qu’elle manque de confiance en elle alors qu’elle se trouve à un moment clé de sa vie. Elle lutte, échoue au début avant de se laisser guider par le sourire dévastateur de Slade.
Trentenaire ayant lui aussi ses problèmes à gérer, il est la bonté personnifiée. Une belle âme qui donne sans vraiment demander. Pourquoi cette nuance ? Parce que Blakely a besoin de quelqu’un qui s’entête, qui la bouscule pour qu’elle ouvre les yeux, et il est exactement comme cela.
Et nous, on ne peut que sourire tendrement en les voyant s’apprivoiser avec un naturel qui les bouleverse tous les deux.
La plume est fluide. Les rebondissements sont doux, cohérents et s’enchaînent sous nos yeux à un rythme qui nous tient en haleine. Les personnages sont savoureux, attachants et il est difficile de les quitter après la dernière liste (Liste ? Quelle liste ? Lisez-le et vous comprendrez 😉 )

Blog : https://wordsoflovebooks.jimdofree.com/2022/03/23/flirting-with-40-k-bromberg/

Dans toutes mes chansons d’amour – Emma Scott

Résumé
Au lycée de Santa Cruz Central, on les appelait les paumés, les exclus, les cinglés. Mais la plupart d’entre nous les connaissaient comme les « Lost boys »...
Miller Stratton est un survivant. Après une enfance éprouvante passée dans la pauvreté, il est prêt à tout pour assurer sa sécurité et celle de sa mère. Il met tous ses espoirs et ses rêves dans sa guitare et la beauté qu’il crée avec ses cordes et sa voix pleine de sensibilité.
Jusqu’à Violet.
Personne ne s’attend à rencontrer l’amour de sa vie à l’âge de treize ans. Mais la jeune fille fortunée et pleine d’entrain vole le cœur de Miller et refuse de le lui rendre.
La vie de Violet McNamara n’a pas été aussi simple qu’elle en a l’air. Sa famille parfaite ne l’est pas autant que ça. Son meilleur ami Miller est sa seule constante et elle est déterminée à ne pas gâcher leur amitié avec des complications romantiques.
Mais le cœur a ses raisons.
Alors que le succès de Miller commence à atteindre des sommets stratosphériques, que faudra-t-il pour que Violet réalise qu’elle est la fille de toutes ses chansons d’amour ?

Mon avis

Merci Juno publishing pour ce service presse.
J’adore les Friends to lovers. Inutile de vous dire qu’en lisant le résumé j’ai senti que ce livre était fait pour moi. Ne connaissant pas la plume de l’auteure, je me suis lancé dans ma lecture sans savoir où j’allais, ni comment je serais « transportée ».
L’histoire commence alors que nos deux héros ont treize ans. C’est jeune, mais avoir durant toute la première partie le récit de leur rencontre et du lien si précieux qui se crée entre eux est doux et met en condition pour la suite. On les voit s’apprivoiser avec naturel. Ils ne savent pas mettre les mots sur leurs sentiments et leur seule certitude est que l’autre est désormais essentiel.
Violet est une jeune fille attachante. Elle a des projets plein la tête et son avenir est tout tracé. Si son quotidien n’est pas aussi rose que sa maison est grande, elle reste persuadée qu’elle a le contrôle sur sa vie. Et l’arrivée de ce garçon efflanqué dans son jardin lui apparaît comme un signe.
Miller est un « lost boy ». Attaché à sa mère avec laquelle il vit dans une extrême pauvreté, il fait tout pour l’aider et se montrer digne de son amitié avec Violet. Cette dernière est sa sauveuse à bien des égards avant de devenir un pilier de sa vie. Si sa vie peut nouer la gorge, elle est mentionnée avec délicatesse pour ne pas tomber dans le pathos.
Commence alors le jeu du « je ne veux pas gâcher notre amitié ». Ils se tournent autour, passent leur temps libre avec l’autre avant de s’éloigner. Durant les trois autres parties du livres, ils ont 17 ans. Ils ont évolué, influencés par leurs camarades d’école et les rencontres à l’extérieur du lycée. Miller chante à Violet son amour sans qu’elle ne réalise qu’elle est cette fille qui lui inspire de si beaux textes.
La plume de l’auteure est fluide et les rebondissements s’enchainent tranquillement et sans réelle surprise. Comme le dit Violet, ils sont tous les deux un pendule se repoussant l’un l’autre pour se rapprocher ensuite. Un vrai friends to lovers me direz-vous, mais une fois la moitié passée, je me suis demandé quand arriverait vraiment la romance. Et elle apparaît, pour n’être finalement que survolée par rapport au reste.
Vous l’aurez compris, le style de l’auteure m’a plu, mais le rythme et la structure du roman ont menacé plusieurs fois de me faire abandonner. On est ici dans un slow burn très très slow, à vous de voir si vous aurez la patience.

https://wordsoflovebooks.jimdofree.com/2022/03/20/dans-toutes-mes-chansons-d-amour-emma-scott/

Merci aux éditions BMR pour ce service presse.
Un séjour en famille en Normandie, voilà un point de départ intéressant pour une romance. D’autant que la suite du résumé laisse présager de l’importance des membres de cette famille dans la formation du couple. J’ai donc tout naturellement embarqué et j’ai savouré !
Lilie est à une période charnière de sa vie, elle le sent au fond d’elle-même. Malgré cela, elle garde les yeux fermés sur ce couple qui n’en est pas vraiment un et dans lequel elle ne s’épanouie pas. Il ne peut pas l’accompagner alors qu’il voyage à travers le monde ? OK. Elle est résignée à ne pas être sa priorité sans se rendre compte à quel point cela la mine. Par chance, elle a sa famille, un véritable clan uni autour de Mamita, la grand-mère.
L’arrivée de Gabriel dans le paysage se fait doucement. D’abord quelques touches qui attirent le sourire sur les lèvres du lecteur, puis de l’héroïne qui finit tout comme nous par succomber à cette force tranquille. Il est beau, bien bâti et un brin mystérieux. Il manie les sous-entendus comme personne et la douceur avec tout le monde. Petit à petit, il fait sa place à la table de Mamita, puis dans l’esprit de Lilie.
Il est difficile de parler de la romance sans mentionner les membres de la famille qui apporte tous quelque chose à l’histoire. Leurs présences, leurs passés ou encore leurs conseils guident avec beaucoup de justesse Lilie qui, en plus de se sentir soutenue, est encouragée.
Vous l’aurez compris, j’ai passé un bon moment avec ce livre. Les styles des deux auteures se mêlent à la perfection, au point qu’il est difficile de savoir qui a écrit quoi. La fluidité des rebondissements nous pousse à continuer jusqu’à l’épilogue tant attendu.

https://wordsoflovebooks.jimdofree.com/2022/03/20/nos-silences-complices-julie-anne-bastard-et-ludivine-delaune/

Je vous avoue ne pas avoir lu le résumé de ce second tome.
Je savais que j’allais lire cet opus, et en vrai je l’ai dévoré.
Le premier tome posait l’histoire, avec plusieurs inconnues.
Dans ce tome 2, on découvre vraiment l’histoire de Kellan et Amaya, mais aussi des autres personnages.

Le rythme est plus intense, tout comme l'histoire en elle même, la romance prend une autre forme, celle de deux âmes qui se retrouvent et qui connaissent l'issue de ces retrouvailles, et les intrigues sont palpitantes et savoureuses. Vous l'aurez compris cette histoire est ultra addictive.
Anna n’épargne personne! Ni les personnages qui vivent des aventures surprenantes, terrifiantes, extraordinaires, avec une richesse d’émotions qu’elle sait nous transmettre.

Ni nous lecteurs, qui tournons les pages pour en savoir toujours plus, avec cette appréhension de la nouvelle péripétie à venir.

J’ai aimé retrouver cette facette de sa plume que j’aime beaucoup. (cf sa série le chant de l'encre)



Ici on découvre les personnages sous des jours nouveaux, plus lumineux pour certains et plus sombre pour d’autres, avec toujours avec la construction des liens tissés entre eux au fil des jours, mois, siècles.



Les personnages sont (quasiment) tous attachants. Les méchants sont de vrais méchants que l'on exècre comme il se doit.

J’ai adoré la force d’Amaya, l’abnégation de Kellan, le dévouement de Jorgen et Verne, mais aussi le soutien des autres personnages secondaires, et cette connexion entre eux.

Ce livre m’a fait palpiter d’émotions, et j’en ai voulu à Anna de faire subir cela aux personnages. J’ai pleuré, j’ai frémis mais j’ai surtout aimé, voyagé, et rigolé.
La fin est une surprise que je n’avais pas du tout imaginé, et je ne sais pas qui je déteste le plus maintenant.
Ce second tome nous raconte les aventures épiques d’un couple hors du commun et de leur "famille". J’attends le tome 3 avec impatience, et je fomente des plans pour supprimer les méchants pour passer le temps.

Un grand merci à Hugo Publishing qui m’a permis de découvrir ce premier tome dans le cadre d’un service presse.
Depuis des années, Brittainy Cherry est pour moi une auteure de référence. Ses livres ont toujours eu le don de m’extraire de mon quotidien et de m’apporter cette sensation de sérénité si appréciable. Savoir qu’elle sort une nouvelle série m’a donc remplie de joie et, autant vous le dire tout de suite, je n’ai pas été déçue !
Kennedy est une jeune femme affaiblie par le deuil, mais aussi par une relation toxique avec un homme qu’on déteste dès les premières lignes. Penn nous fait grincer des dents et la voir quitter ce foyer froid et malsain est un soulagement. Dès le premier chapitre, j’étais de tout cœur avec elle, prête à lui apporter le soutien dont elle manquait cruellement.
Son arrivée à Havenbarrow marque le tournant de sa vie. Submergée par son nouveau quotidien, elle tente de garder la tête hors de l’eau. Et franchement, je me suis surprise de nombreuses fois à l’encourager, à grogner ou encore à prier que ça aille vite mieux (mais là, c’était aussi pour mon petit cœur compatissant).
Jax est quant à lui le mouton noir de la ville. Il est le connard du village et ne cherche aucunement à changer la perception des autres. En le voyant évoluer, on ne peut que remarquer qu’il est un être sombre qui pourtant à un cœur prêt à aimer. Par touches légères, l’auteure nous présente cet être abîmé qui dit et fait ce qui lui plait. Puis ses points de vue arrivent et confortent cette impression qu’il conviendra parfaitement à l’héroïne.
Tout se met en place avec facilité et naturel. Attention, ils rencontreront des épreuves, des « mauvais jours » ponctueront leur chemin vers le bonheur, mais cela semble si évident et normal que la paix nous envahit en même temps que les personnages.
Les personnages secondaires sont tout aussi importants et apportent tous quelques choses, que ce soit Connor, Eddie et Mary ou encore Joy. Chacun a son rôle à jouer, la bonne humeur pour le premier, le soutien et l’affection pour les autres.
Brittainy C. Cherry signe là une nouvelle pépite et il me tarde de connaître la suite de cette série : Les lueurs de l’est au mois de mai. Et tout porte à croire que ce serait sur Connor, un personnage solaire qui m’a beaucoup fait rire durant ce tome.

Merci à Black Ink pour ce service presse.
Le résumé promettait de beaux échanges et je m’en frottais les mains d’avance. J’imaginais déjà des coups tordus, des piques assassines et beaucoup de tension.
Et j’ai failli décrocher durant le premier quart. J’ai bien dit failli, parce que j’avais à cœur de découvrir cette auteure et de voir jusqu’où elle voulait emporter ses lecteurs. Malheureusement, les premiers chapitres m’ont semblé répétitifs et creux. Avec du recul, ils ne l’étaient pas (creux), mais j’avais compris qu’il était le méchant qui n’a pas eu d’autres choix que de devenir un meurtrier sanguinaire et qu’elle était perdue depuis que sa sœur était avec un des gros bonnets de la ville.
Si, en tant que lectrice, je mesure l’importance de bien situer l’histoire, cela m’a aussi placé en dehors de l’histoire. Les personnages ont évolué sous mes yeux, mais sans que je n ‘ai envie de leur prendre la main pour les aider.
Kaly est une jeune fille, puis une jeune femme bien sous tout rapport qui tente dans un premier temps de ramener sa sœur à la raison avant d’être celle qu’il faut soutenir et accompagner dans un long processus de deuil. Rebelle contre sa famille qui tient à sauver les apparences, elle m’a mis mal à l’aise par sa docilité. Puis l’oiseau prend son envol au contact de Drake, elle s’affirme devant un homme qui la menace de mort toutes les trente secondes, alors qu’elle était passive devant un fiancé (trop) attentionné et dévoué.
Drake, est le petit garçon qui a grandi trop vite et qui s’est retrouvé propulsé dans une sale histoire, puis une autre et encore une… Bref, il n’a pas de chance et les cent premières pages nous le disent sur tous les tons. Ça et le fait qu’il est un dur à cuire puissant, respecté, craint et décidé à tuer pour ne pas être tué. Heureusement quand il est placé sous la tutelle de Kaly, il ne devient pas un petit chien pénitent. Il continue à aboyer, à mordre et à éliminer les problèmes.
Manon Donaldson signe là un livre parfaitement équilibré. Il est noir, les personnages s’enfoncent dans les ténèbres et ne finissent pas marier dans un quartier de banlieue. L’écriture est fluide et les rebondissements rythment parfaitement l’histoire. Il n’y a pas les gentils contre les méchants, chacun a sa part d’ombre. Vous l’aurez compris, j’ai plus lu (In)justice comme un thriller que comme une romance et ça m’a permis de surmonter mes réticences.
Pour les plus « coquines », rassurez vous les scènes de sexe sont torrides !

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Double pari de Mary Balogh

Résumé
Devant les membres ahuris de son club, le duc d’Eversleigh annonce qu’il renoncera bientôt au célibat.
— Une épouse est un mal nécessaire. La première débutante venue fera l’affaire. Dans un mois, l’affaire sera bouclée.
— Un mois ? Impossible ! assurent ses amis.
— Pari tenu, réplique le duc, très sûr de lui.
Il ignore que, pour faire taire les mauvaises langues qui la traitent de garçon manqué, Mlle Henrietta Tallant a parié qu’elle décrocherait une demande en mariage dans les plus brefs délais. Proposition qu’elle n’a pas du tout l’intention d’accepter. D’autant qu’elle a choisi l’inaccessible duc d’Eversleigh, ce paon vaniteux qu’elle va se faire une joie de ridiculiser…

Mon avis
Mary Balogh… Ce seul nom suffit à me faire accourir. Enfin non, j’exagère. Les titres n’appartenant pas à la collection Regency de J’ai Lu m’ont déplu ou lassée. J’en ai même lu un dernièrement qui était mièvre et contenait tout ce que je déteste sur les romances historiques.
Bref, si je vous parle de celui-ci c’est parce qu’il a su capter mon attention et mon cœur.
Henry est une jeune femme pétillante qui n’a pas sa langue dans sa poche. Elle sait ce qu’elle veut, et ce pari est pour elle la preuve qu’elle est une femme malgré son attitude peu conforme aux exigences de l’étiquette. Elle monte à cheval à califourchon, jure, parle sans réfléchir. Elle enchaîne donc les discussions cocasses et les situations embarrassantes.
Marius, le duc, est quant à lui dans la force de l’âge et se doit d’assurer sa lignée. Rien de romantique à première vue, pourtant il est clair que dès leur rencontre ce petit bout de femme ne va pas le laisser indifférent. À son contact, il s’amuse et prend du recul sur cette affaire de mariage qu’il voyait comme une prison.

Alors ce livre n’est clairement pas mon préféré de l’auteure, seulement j’ai passé un moment agréable à voir les deux personnages principaux se tourner autour. Il est dommage que Marius n’ait pas été plus présent pour voir de ses yeux l’évolution de Henry, je pense que cela m’a manqué.

Le premier tome m’avait séduit par son côté féministe engagé et je me réjouissais de retrouver ce groupe de suffragettes.
Lucie est une femme qui a des valeurs et qui tient à l’égalité homme-femme que ce soit en politique ou dans la vie de tous les jours. Menant son combat d’une main de maître et avec un certain brio (jusque-là) elle ne peut que grincer des dents quand Tristan qu’elle connaît depuis son enfance apparaît comme le grain de sable menaçant de gripper toute la mécanique bien huilée de ses projets.
Par le biais de Lucie, nous découvrons la vie d’une femme célibataire et bientôt trentenaire à une époque où le mariage et l’enfantement étaient (enfin devaient être) les objectifs de toute détentrice de vagin. Il n’y a qu’à voir sa famille qui répugne à lui parler comme si elle menait une vie pleine de vice et de… meurtres ?
Tristan est un homme et s’il est plus libre que Lucie sur bien des points, il n’en reste pas moins soumis à des obligations dû à son rang d’héritier d’un titre. Trouver une épouse, lui faire des enfants… Très peu pour lui. Il préfère flirter, draguer outrageusement pour choquer un maximum de gens, mais pas que… Il est aussi un petit garçon sensible qui tente d’associer ses désirs et ce que la société attend de lui.
J’ai adoré observer ses deux personnages découvrant qu’être une femme n’est pas aisé, mais que parfois être un homme n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît. Leur joute, leurs échanges et cette complicité qui nait très rapidement entre eux m’a poussé à tourner les pages sans attendre. Je voulais voir le moment où ils allaient enfin comprendre qu’ensemble ils étaient plus forts.
Une belle lecture, avec des personnages forts dans une société aussi complexe que réaliste.

Est-ce utile de dire que les deux premiers tomes m’avaient plu au point que j’attendais avec impatience la sortie de cette troisième pépite ?
Cassandra est une jeune femme déterminée à prendre soin de sa famille. Son père étant mort et sa mère dépressive, elle tient les finances de la demeure d’une main de fer et sans faire appeler à son mari qui n’est qu’un accessoire qui lui a permis de garder son héritage. Habituée à mener tout seule et avec poigne, elle profite de l’absence de son fantôme de mari pour gagner Londres et organiser l’entrée de sa sœur afin qu’elle cesse les bêtises.
Joshua s’est marié uniquement pour rendre service à un vieil ami et en guise de paiement d’une dette morale. Les affaires sont ce qui prime sur tout. Lui l’héritier d’une vénérable famille relégué au rang de bâtard en un scandale a travaillé dur pour faire un pied de nez à tout ceux qui lui ont tourné le dos.
Alors leur rencontre à tous les deux ne peut être qu’explosive, et aucun ne voudra laisser l’autre l’emporter. Leurs contemporains sont témoins de leur relation à la fois simple et compliquée. Ils ne veulent pas de l’autre tout en se cherchant, un vrai jeu du chat et de la souris.
Là encore, l’auteure nous emporte avec des échanges haut en couleur, des situations cocasses et des bons sentiments. Le sourire vient dès les premières pages et ne s’altère pas malgré quelques longueurs sur la fin. Oui, il faut le noter, parce que si je vous disais que ce tome est parfait, vous risqueriez de ne pas me croire.
J’ai navigué sur le net et vu qu’elle n’en avait pas écrit d’autres… Quel dommage, il va falloir attendre.

Je vais commencer par une petite confession, c’est le premier livre de Max L. Telliac que je lis (son premier livre est pourtant bien au chaud dans ma bibliothèque).



Le résumé m’a vraiment attirée, j’ai un faible pour les histoires de sorcières, ici le pitch est inversé et puis c’est un ennemi to lover, je ne pouvais que me laisser tenter.



Rosena et ses sœurs descendent d’une famille de chasseurs, ceux qui traquent les sorciers qui utilisent les humains. Mais quand un étrange sortilège lie sa vie à celle de son pire ennemi, difficile de faire autrement que de « travailler » ensemble. Le pire serait bien entendu de s’attacher à Alistair…



Dès les premières pages j’ai été transportée dans le monde d’urban fantasy que nous propose l’auteur. La construction favorise notre imprégnation, et j’ai été très à l’aise avec ce décor et les personnages.



Ce livre est palpitant, j’ai adoré le rythme, c’est très entrainant, les intrigues sont multiples et il y a plusieurs possibilités à chaque fois, mais jamais celle à laquelle à s’attend. Et malgré tout aucune lassitude, j’en voulais plus et encore, tant et si bien que je n’ai pas lâché ce livre.



Rosena est une jeune femme forte, mais elle ne le sait pas toujours, j’ai vraiment aimé la construction de son personnage, son abnégation et son amour familial. Elle a aussi la langue bien acérée et ça j’adore.

Alistair, est un peu (enfin non beaucoup) antipathique, il est complexe, ni gentil ni méchant. Mais finalement sous les sorts, on découvre celui que seule Rosena peut connaitre, et mon cœur a fondu comme un chamallow.



J’ai vraiment adoré leur duo, la complexité de leur relation, cette antipathie qui se modifie quand chacun change son regard. La construction de la romance m’a beaucoup plu.



Les liens avec les sœurs de Rosena m’ont rappelé une série que j’aimais beaucoup, et j’ai apprécié ce petit retour nostalgique. Les personnages sont tous bien construits, on s’attache et puis (surtout) on doute de chacun.



L’auteur manie une plume entrainante, le suspense est très bien dosé, avec parcimonie il nous dévoile des indices, et utilise des légendes pour appuyer ses intrigues. Les émotions sont dépeintes avec justesse, ce qui permet de ressentir en même temps que les personnages, j’ai ri, j’ai grogné, j’ai eu quelques larmes et puis j’ai aimé ! Bon j’ai quand même douté du potentiel romantique de Max, et j’ai prié pour qu’il soit adepte des Happy End.



Si vous avez envie de découvrir New York d’une autre façon, de jouer avec Alistair et sa Hunty au chat et à la souris, lisez ce livre, promis vous ne pouvez pas être déçue !

Après la lecture du premier tome qui m’avait vraiment emballé, j’avais hâte de lire ce second Opus avec Circé cette grande sœur protectrice et Hermès le dieu messager secret.



C’est avec plaisir que j’ai pu partager cette lecture avec Aurélia du blog « le temps d’une chronique », bon je vous avoue que nous avons dévoré ce livre très rapidement.



Circé est une femme déterminée, et adepte du quoi qu’il en coûte. Cependant quand son décès arrive de façon étrange c’est bien Hermès qui est là avec elle, mais comment faire confiance au Dieu des voleurs, celui qui sert Zeus inconditionnellement…



L’auteure réussi avec brio à nous proposer un style diffèrent du premier livre. Mais tout y est des personnages complexes très attachants, une intrigue avec beaucoup de rebondissements, de l’humour et une très belle histoire d’amour.

L’écriture est très fluide, et le rythme m’a beaucoup plus, j’ai tourné les pages sans m’en rendre compte.



L’histoire entre Circé et Hermès est latente depuis plusieurs années, et j’ai apprécié découvrir les prémices de cette histoire. Une espèce de jeu du chat et de la souris, chacun avec ses doutes et ses aprioris. J’ai vraiment aimé leur duo, leurs échanges piquants et cet équilibre qu’ils trouvent.



Dans le premier tome je n’avais pas trop apprécié certains comportements de Circé, ici l’auteure nous apporte des éclairages importants. Le développement du personnage est vraiment bien fait, je m’y suis attachée assez rapidement. Elle est protectrice et semble déborder de confiance, le voyage aux enfers laisse entrevoir une femme différente, qui arrive à s’affirmer grâce aux personnes qu’elle aime.

Hermès m’intriguait vraiment plus, pourquoi est-il toujours là ? et pourquoi est ce lui qui accompagne Circé ? est-il bienveillant ou au contraire s’assure-t-il de quelque chose pour Zeus ? et puis, l’auteure nous dévoile doucement qui il est, ce qu’il endure pour Elle. Je suis tombée sous son charme, un peu comme une midinette, ce dieu taiseux, agit mais quand il parle il fait son effet.



Dans ce tome, ce qui m’a beaucoup plus aussi, c’est la découverte des autres dieux, ceux dont on parle peu finalement, car ils sont liés aux enfers. J’ai aimé découvrir leurs histoires et les interactions dans les différents moments de l’intrigue.

De plus, le cadre que décrit l’auteure est fabuleux, j’ai adoré la croisière mais surtout le tribunal !



Ce livre est toujours sur le fond de l‘intrigue olympienne et cela est vraiment prenant, les jeux politiques sont au plus fort, et les interrogations sont multiples. Liv Stone réussi le savant mélange entre mythologie et modernité . La fin ouvre sur beaucoup de possible, l’auteure m’a conquise et j’ai vraiment hâte d’en connaitre l’issue.

Ayant dévoré, et grandement apprécié, les deux premiers tomes, je me suis fait une joie de lire celui-ci pour connaître la fin de ce couple attachant.
Kalliopée a fui Lapisia pour échapper à une mort certaine. Seulement en retrouvant son pays, elle découvre que les gens ont continué de vivre. Sa meilleure amie s’est mariée, son père est malade… Kalliopée doit donc réapprendre à vivre parmi ceux qu’elle considérait comme son peuple.
Il est très difficile pour moi de chroniquer ce dernier tome sans risquer de vous spoiler.
Alors je vais vous parler de mon ressenti. J’ai eu le souffle coupé. J’ai eu mal. Je me suis demandé comment cela allait finir. Plusieurs fois. De trop nombreuses fois. J’ai eu envie de lire la dernière page pour me rassurer. J’ai avancé à l’aveugle. J’ai craqué et lu le dernier chapitre. Le cœur plus léger j’ai repris ma lecture, tout en me demandant comment. Comment les personnages allaient arriver là où ils en sont à la fin ? Comment les « méchants » allaient être vaincus ?
Vous l’aurez compris, ce tome clôture parfaitement cette histoire. Mon seul regret est qu’il porte plus sur la politique que sur la romance, mais il était nécessaire pour tout boucler.

https://wordsoflovebooks.jimdofree.com/2022/01/31/kalliop%C3%A9e-t3-le-dilemme-d-une-reine-koko-nhan/

Little Odessa a été un coup de coeur, et j’avais vraiment envie de lire l’histoire de Sofia et Youri. Ange Edmon a écrit Little Italy qui nous raconte leur histoire et j’ai adoré. Merci à Black Ink Edition pour le service presse.



Si vous n’avez pas lu Little Odessa vous pouvez lire Little Italy, mais il vous manquera des éléments pour saisir les liens et les comportements des personnages.



La plume d’Ange Edmon m’a une fois de plus emportée et je n’ai pas lâché le livre avant la fin.

Youri et Sofia sont comme le feu et la glace. Sofia est solaire et fait tout pour que les siens soient bien, surtout sa soeur Lorelia.

Youri a toujours été « seul », agent de la DEA, il vit sans attaches. Pourtant après les nombreuses années d’amitié, une véritable famille de cœur s’est créé , cependant les aventures vécues il y a quelques mois ( cf Little Odessa) ont révélé des secrets. La communication et le pardon sont parfois difficiles, et quand le feu attire la glace, la rencontre est souvent explosive.



Cette histoire est un savant mélange d’ « ennemi to lover » et « friend to lover » .

J’ai été entrainé dans le rythme des rencontres, des joutes verbales mais aussi non-verbales, j’ai ri des situations cocasses ainsi que des échanges de petits surnoms, entre autre. L’alternance des points de vue permet d’être au plus près des émotions si bien dépeintes par l’auteure.

J’ai eu l’impression d’être dans un grand 8, on grimpe, on appréhende, et on lâche tout avec le coeur qui s’emballe, et on recommence. Les histoires de vie de Sofia et Youri sont bouleversantes, ces êtres qui se sont construits comme des puzzles ont enfin trouvé leur pièce manquante.

J’ai adoré Sofia, son feu intérieur qui l’anime et rassemble autour d’elle, sa générosité mais surtout sa loyauté sans faille. Et que vous dire de Youri, "exubérof", "Youdini" et j’en passe. Aussi accueillant qu’une porte de Goulag, si secret, et en même temps si intense, il parle peu, et quand il le fait (avec l’accent Russe!) mieux vaut l’écouter.

J’ai pris plaisir à retrouver Vadim et Lorelia, et découvrir les nouveaux personnages.



Ce livre est plein de rebondissements, et nous entraine entre New York, San Diego et Aspen. L’intrigue est vraiment prenante et je ne m’y attendais pas du tout.



La famille est celle qu’on se choisit, et ce livre nous raconte l’histoire de Youri et Sofia, mais aussi celle de cette famille de coeur.



Si vous n’avez pas encore rencontré Sofia et Youri, foncez, promis vous allez adorer.

Je remercie les éditions Bookmark pour ce service presse.

Si j’ai choisi ce livre, c’est avant tout pour #EnnemiesToLovers. J’aime les échanges acides qui ressemblent vaguement à des parades amoureuses et cette chute lente vers des sentiments plus profonds.

Seulement ici, les sentiments sont déjà là. Ils sont clairement amoureux l’un de l’autre, mais tant de choses les séparent qu’il leur est plus facile de s’affronter.

Briar est un personnage solaire. Elle est innocente, parfois un peu trop mature pour son âge. Et si cela m’a un peu perturbée au début, j’ai su faire fi de ce détail pour me plonger avec elle dans l’aventure. Le retour d’Asher en est assurément une parce que le jeune homme est encore plus à fleur de peau qu’avant son départ. Il se débat contre tant de démons, qu’à l’instar de Briar, on aimerait le prendre dans nos bras et lui dire que tout va bien se passer.

Si la vie de la jeune fille peut paraître assez protégée par rapport à celle d’Asher, elle n’en reste pas moins consciente de la dureté du monde et de la chance qu’elle a. Loin d’être une gamine pourrie gâtée, elle fait preuve d’altruisme et nous découvrons tout au long du livre à quel point son amour pour le meilleur ami de son frère était ancré dans ses veines.
J’ai aussi apprécié l’importance donnée aux personnages secondaires qui ont un vrai rôle à jouer dans toute cette histoire. Dash, le frère de Briar, est une pièce maîtresse dans les fondements du couple. Nat est la meilleure amie qui écoute, mais sait aussi quand donner un coup de pied aux fesses.

Les pages de cette histoire se tournent facilement et il nous tarde de savoir ce qu’il va se passer. Un vrai régal sans longueur, écrit avec une plume fluide et addictive qu’il m’a plu de lire. Il me tarde de dévorer le tome 2.


https://wordsoflovebooks.jimdofree.com/2022/01/19/bad-love-t1-mauvaise-habitude-charleigh-rose/

’ai découvert Julie Saurel avec sa série ~Alicia Smith~.

J’avais envie de lire son premier livre dont le résumé avec des lycanthropes et une chamane me tentait.



Je ne fais pas durer le suspense trop longtemps j’ai beaucoup aimé l’histoire que nous propose l’auteure. Le thème peu paraitre « banal » mais elle nous propose une approche différente. Sa plume fluide, teintée d’humour m’a plu. L’alternance des points de vue installe un rythme prenant, et je n’ai pas pu poser le livre avant de l’avoir fini.

Le mélange clan écossais avec ses us et coutumes, et la meute avec ses règles donne une ambiance particulière. On découvre au fil des pages les enjeux, les accointances et les secrets presque oubliés…

Les personnages ont tous beaucoup de caractère. J’ai vraiment aimé Jenny qui malgré sa position tient tête au plus fort, garde ses convictions qui bouscule les lignes établies. Keir aussi m’a beaucoup plu, ce loup un peu hors cadre, qui se débat intérieurement, j’aurais bien aimé en savoir un peu plus sur lui. Leurs échanges piquants sont vraiment amusants. Leur histoire slow burn m’a plu, même si la fin arrive trop vite après.

J’ai une affection particulière pour Nathanael ce loup adolescent tout en bonté.

Je ne vous cache pas que ce livre m’a paru un peu court ( oui je suis gourmande j’en veux toujours plus) , j’aurais aimé en savoir plus sur … et bien un peu tout. Je me dis que c’est un bon premier et que j’aimerais bien qu’il y en ai d’autres avec les histoires d’Erwan, Nathanael peut-être.



Si vous avez envie de lire une histoire où les humains ne sont plus les plus fort, de connaître l’animal totem de Jenny, et de voir enfin lire le postérieur d’un lycanthrope, rendez-vous dans La dernière Chamane.

Le premier tome m’avait laissé sur une note incertaine, mais avec des interrogations. Je me donc suis lancée dans la lecture de ce second tome.



J’ai vraiment bien fait de poursuivre avec ce livre que j’ai dévoré en quelques heures. L’histoire est maintenant bien en place et j’en ai compris les tenants et les aboutissants. La relation entre Basilia et Kyros est au cœur d’enjeux politiques, la position de Basilia sur cet échiquier, gérer par les vampires, suite au décès de sa grand-mère prend tout son sens.

L’intrigue est vraiment très prenante. L’auteure nous propose une héroïne forte, limite badass avec un humour et un grand coeur qui m’ont plu. On prend aussi beaucoup plus la mesure de la position de Kyros, et malgré ses bévues et ses obligations, j’aime beaucoup celui qui se cache derrière. Leur relation n’est pas une romance commune et j’apprécie vraiment le développement c’est aussi froid et distancié que chaud avec une intense attraction.

Ce tome nous permet aussi de découvrir les familles. Celle de Basilia, mais surtout celle de Kyros, dont les membres sont attachants mais vraiment flippants.

La relation de Basilia avec les débiteurs prend aussi une véritable forme de coalition, et j’ai apprécié le décalage entre les vampires et Basilia.



Un tome très intense, avec de nombreuses intrigues, des faux semblants, de la bagarre, et toujours ce questionnement concernant la relation entre Basilia et Kyros.

J’ai vraiment hate de lire le dernier tome pour savoir qui gagne le jeu, mais surtout ce qu’il advient de l’histoire d’amour.

Le résumé était vraiment tentant, un roi des faes et une sirène, de quoi attiser ma curiosité, j’avais vraiment hâte de découvrir cette histoire.



Callie a créé son entreprise avec sa meilleure amie, elle pensait être tranquille dans sa vie « rangée » mais cela c’était avant que Des, le roi de la nuit réapparaisse dans sa vie, et rien ne peut empêcher la nuit de prendre ce qu’elle veut.



J’ai vraiment pris beaucoup de plaisir à lire cette histoire. Le début m’a laissé un peu perplexe , tous les noms des créatures, des mondes j’ai cru que j’allais me perdre, mais finalement non. Le rythme de l’auteure et la narration à la première personne permettent une immersion en douceur dans le monde qui nous est proposé. Cette histoire est assez atypique et j’ai vraiment aimé le déroulement. La plume de l’auteure et fluide et assez addictive.

La romance est en Mode slow burn, jusqu’au moment de l’embrasement et c’est juste génial de comprendre les raisons . Tout se met en place, et les détails du départ viennent s’emboîter comme les pièces d’un puzzle. Les chapitres ont une alternance avec des morceaux du passé; passé qui explique les raisons de la situation, mais aussi la mise en place de l’histoire entre Callie et Des.



L’histoire de Callie enfant est douloureuse, de cela elle en ressort forte et combative, j’ai vraiment aimé sa verve et sa sirène. Desmond, Des, le roi de la nuit est sombre comme ses ténèbres. Il exauce les voeux mais jamais gratuitement, et ses mots sont souvent sibyllins, et à double sens.

J’ai aimé le découvrir au travers des yeux de Callie, et comme elle je suis tombée sous son charme.

Leur histoire est intense et un peu malmenée par l’intrigue.

Intrigue qui fait un peu des frayeurs d’ailleurs (non je ne suis pas pétocharde 😅), je me suis vraiment demandée où l’auteure nous embarquait… ce qui m’a fait tourner les pages encore plus vite!

Je ne m’attendais pas du tout à cette fin, je pensais vraiment que leur histoire se finirait… mais non la suite dans le prochain tome qui je l’espère arrivera bientôt !



Si vous avez envie d’une belle histoire avec une sirène, un roi fae badass, un loup garou un peu graou! , une sorcière qu’il vaut mieux avoir de son côté et des faes vraiment étranges, lisez ce livre!

Merci Black ink éditions pour ce service presse, et merci Lia Rose pour cette histoire si prenante !

Attention dès que vous commencerez ce livre vous ne pourrez plus le lâcher!

Dans le tome 1 l’auteure nous laissait là, avec nos questionnements, nos doutes et nos tergiversations.

Ce tome 2 est encore plus intense, mais nous avons enfin toutes les réponses !

Si vous attendiez ce tome pour vous lancer, prenez garde en lisant mon avis car j’apporte forcement quelques informations. (Je fais vraiment attention aux spoils pourtant)



Le monde oublié que Lia Rose a créé, est décrit avec précision, j’ai vraiment eu l’impression d’y être, les sensations, les goûts, comme une véritable immersion, et j’ai adoré cela. Tous les personnages ont une histoire qui vient nourrir, compléter ou se confronter à l’histoire d’Izar.

Les enjeux politiques, mais surtout ceux liés à la survie du monde ( oublié mais aussi les sphères), des mutants et des humains s’éclaircissent. On apprend aussi le commencement de cette situation, et j’avoue que cela est un peu « flippant » de se dire que cela est possible.



Concernant les personnages, je me suis vraiment attachée à Izar, et j’ai eu autant de joies que de peines avec elle. Sa force de caractère, sa loyauté, ses doutes et son amour font d’elle une personne solaire. J’ai vraiment aimé comment l’auteure a décrit la déconstruction de ses croyances, ses apprentissages avec celui qui la poursuit dans ses rêves et pourtant la fuit dans la réalité.



Vega est un personnage complexe, et la découverte au fil des chapitres permet vraiment de pouvoir le découvrir sous sa carapace. Je ne vous cache pas que je lui aurais bien soufflé dans les bronches par moment. Et puis paf comme le pop corn, la carapace éclate et mon coeur avec.

La romance entre Izar et Vega est explosive, et quand le feu prend elle devient incandescente, pas de vulgarité loin de là d’ailleurs, j’ai vraiment aimé le développement de leur histoire.

Je ne vous parlerais pas des autres personnages car vous devez les découvrir par vous même, mais mon coup de coeur va à Croc Tranchant, je vous laisse découvrir pourquoi.



Je ne pensais pas vous en écrire autant, mais finalement je n’ai pas pu m’en empêcher. Vous l’aurez compris ce tome est étincelant, addictif et vraiment romantique. Comme je le disais pour le tome 1 je ne suis pas une adepte des dystopie, cependant celle-ci je vous la conseille vivement!

Une proposition kindle, un résumé intrigant et me voici partie en Suède à la rencontre d’Elin une herboriste haute en couleur.



J’ai aimé l’univers proposé par l’auteure, une héroïne qui ne mâche pas ses mots et qui maîtrise l’herboristerie, des loups ( mais pas garous), le thème de la construction urbaine de masse, le tout sur fond de mythologie nordique.

Elin s’est installée dans une bourgade, loin de tout. Oublier et ne pas faire de vague voici son credo. Mais parfois à être très bon dans ce que l’on fait on n’attire pas les bonnes personnes. Quand les gentils sont plus effrayants que les méchants, que les légendes nordiques se mêlent au monde réel cela provoque des événements hors de contrôle.



La plume est dynamique. Et l'autrice a su conserver les codes de l'urban fantasy tout en faisant souffler un vent de nouveauté sur le genre. Cependant, je n’ai pas apprécié le temps utilisé, et même si cela ne gêne pas la lecture c’est un bémol pour moi.



Le couple de personnages principaux est complexe et attachant, même si la romance est ultra rapide et un peu hors des codes. Les personnages secondaires apportent du peps et une bonne intrigue qui nous tient en haleine.

Les punchlines sont top et vous arrachent forcément un sourire aprobateur.



C’est une lecture vraiment sympa, la fin de ce tome 1 est bien amenée… c’est donc avec une tisane que j’attend patiemment le tome 2.

Proposez-moi une romance de Noël, des ennemi to lover et Lenny Kravitz, alors vous m’avez convaincu. Voilà comment j’ai foncé lire ce livre. Merci à collection &H pour ce Service Presse via Netgalley.



Cat et Gaspard ne peuvent apparemment pas passer du temps ensemble sans que cela dégénère en bataille. Mais quand leur meilleur ami commun,Max, ne peut pas être là pour jouer l’arbitre, ils doivent eux mêmes trouver des solutions. Dans un chalet au coeur des Pyrénées, pour préparer le mariage de la maman de Max, avec 3 enfants à gérer, cela promet de beaux moments.



Dès les premières pages nous sommes dans l’ambiance « tendue » entre Cat et Gaspard.

La narration du point de vue de Cat m’a un peu perturbée, ce que j’aime dans les ennemi to lover c’est justement d’avoir les deux points de vue.

Le rythme est entraînant, et le style est fluide. J’ai parfois eu l’impression que l’auteure nous proposait une situation mais qu’il manquait un morceau de développement.



Ça se passe pendant les fêtes de noël, j’ai aimé la playlist et le temps de cuisine, je vous avoue que j’en aurais bien pris un peu plus. La romance est sympa mais un poil rapide. Les meilleurs amis qui se détestent, passent du temps ensemble et se rapprochent.

J’ai eu du mal à cerner Cat et Gaspard. Et surtout, compte tenu de leur tempérament, métier, je n’ai pas toujours saisi pourquoi tant d’imbroglio.

J’ai aimé les sujets abordés, la fratrie, l’adolescence.

Les personnages sont nombreux et leurs réparties sont rigolotes.

J’ai particulièrement aimé le moment « les bronzés ».



C’est un livre agréable à lire, si vous avez envie de découvrir une jolie station de ski, de prendre quelques cours de ski avec une chouette playlist, il est pour vous.