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Frustrée par son indifférence, je m’allonge dans le lit, lui tourne le dos et m’endors presque instantanément.
Je sens que quelqu’un caresse mon clitoris. Je sens deux doigts me pénétrer. Dans un demi-sommeil, je suis un peu désorientée. Je ne sais pas ce qui se passe, si je suis dans la réalité ou si je rêve.
– Massimo ?
– Oui ?
– Qu’est-ce que tu fais ?
– Il faut que je te pénètre, sinon je vais devenir fou, dit-il en se collant contre moi de sorte que je sens sa superbe érection contre mes fesses.
– Je n’ai pas envie.
– Je sais, répond-il en me pénétrant.
Il portait leur secret comme on porte quelque chose de grand et chaud, un plateau plein de boissons brûlantes qu'il faut trimballer partout sans jamais le renverser.
Ce n'est pas la première fois que Marianne pense que la cruauté ne fait pas seulement du mal à celui qui en est victime mais aussi à son auteur, peut-être même plus profondément et durablement à ce dernier.
Ce n'est pas très sérieux, intellectuellement, de s'inquiéter pour des personnages de fiction qui décident de se marier. Mais il n'y peut rien : la littérature l'émeut. Un de ses profs appelle ça « le plaisir d'être touché par le grand art ».
À l’école, les garçons avaient tenté de la briser à force de cruauté et de mépris, et à la fac les hommes avaient tenté d’y parvenir avec le sexe et la popularité, tous dans le but commun de dompter sa force de caractère. Ça la déprimait de trouver les gens si prévisibles.
Maybe they were just curious to observe the chemistry between two people who, over the course of several years, apparently could not leave one another alone.
It's funny the decisions you make because you like someone, he says, and then your whole life is different. I think we're at that weird age where life can change a lot from small decisions.
Marianne had the sense that her real life was happening somewhere very far away, happening without her, and she didn't know if she would ever find out where it was or become part of it.
Ça lui semblait si fou de devoir porter un uniforme chaque jour et de s'attrouper toute la journée dans un immense bâtiment, sans même avoir le droit de regarder où elle voulait. Même le mouvement de ses yeux tombait sous le coup du règlement de l'école.
Bon, je suis allongé par terre, s'est-il dit. La vie est-elle pire ici que sur le lit, ou n'importe où ailleurs ? Non, la vie est exactement la même. La vie est ce que l'on porte en soi, dans sa tête.
Elle demande à Joanna si elle ne trouve pas étrange d’être payée pour ses heures de travail - de négocier, en d’autres termes, des tranches de son temps extrêmement limité sur Terre en échange de cette invention humaine qu’on appelle l’argent.
C’est du temps que tu ne pourras jamais récupérer, ajoute Marianne. Je veux dire, le temps, c’est réel.
De vagues luminaires étaient suspendus à des poutres, et l'on se glissait hâtivement le long de galeries étroites, on rampait vers l'espace qui vous était imparti, on s'allongeait comme on pouvait dans l'ombre, dans l'inconnu. L'intérieur du vaisseau avait des dimensions insoupçonnables du dehors. Les contours imprécis se prolongeaient en des ciels nocturnes, en des collines et des arbres, en des bêtes. Bayangumay perçut le déclic qui fixait sa cheville à la longue barre transversale ; et déjà une ombre venait contre son corps, telle qu'elle-même s'était accolée à l'ombre qui la précédait.
Une parole récente courait dans toute la région : Autrefois nous ne craignions que nos ennemis, aujourd'hui nous avons peur des amis et demain, nous lancerons la pique sur nos mères.
Quand le plaisir littéraire, comme le fait le nôtre, « décroche » de plus en plus de la délectation solitaire et sentie pour se socialiser éminemment, se transformer en perpétuel échange de signes de reconnaissance, en « plaisir-reflet », en moyen d’alignement sur une collectivité mouvante, et finalement en monnaie de singe, la pression multiforme qui nous enserre de toutes parts fait que nous en arrivons à ne pas plus voir (littéralement) ses manifestations consacrées que nous ne voyons réellement la mode du jour, « ce qui se porte », avec ses aspects monstrueux, grotesques, aberrants.
– Et pourquoi ne voit-on que le dos de la lune ? susurra la mulâtresse endormie, aspirant une grande bouffée de la fumée de son cigare.
– Parce qu'en tournant le dos au soleil, celui-ci ne peut lui faire d'enfants.
Veuve dépossédée vivante de la peau de ton époux que l'on t'a arrachée comme une partie de ta propre peau, tandis que se perdaient dans tes oreilles sans limites humaines le grondement des tambours terrestres et les cris noirs des messagers de la destruction qui portaient les mains à leur front en s'inclinant devant ton Goliath, abattu comme un temple sans ailes !
« C’était incroyable, songeait Irène, stupéfiant, que quatre personnes puissent rester si placides, si ostensiblement amicales alors qu’elles bouillaient en réalité de colère, d’humiliation, de honte. »
Frustrée par son indifférence, je m’allonge dans le lit, lui tourne le dos et m’endors presque instantanément.
Je sens que quelqu’un caresse mon clitoris. Je sens deux doigts me pénétrer. Dans un demi-sommeil, je suis un peu désorientée. Je ne sais pas ce qui se passe, si je suis dans la réalité ou si je rêve.
– Massimo ?
– Oui ?
– Qu’est-ce que tu fais ?
– Il faut que je te pénètre, sinon je vais devenir fou, dit-il en se collant contre moi de sorte que je sens sa superbe érection contre mes fesses.
– Je n’ai pas envie.
– Je sais, répond-il en me pénétrant.