Commentaires de livres faits par x-Key
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- Donc, après cette scandaleuse tricherie...
- Jordan ! protesta le professeur McGonagall.
- Je voulais dire, après cette faute révoltante...
- Jordan, je vous préviens...
- D'accord, d'accord. Flint a failli tuer l'attrapeur de Gryffondor, ce qui aurait pu arriver à n'importe qui et donc Gryffondor bénéficie d'un penalty repris par Spinnet et c'est Gryffondor qui garde le Souafle.
Clary retint son souffle. Il avait fini par les dires ces mots qui ne s'effaçaient pas.
- Oui.
- Eh bien, ça n'avait rien de mémorable ; je ne m'en rappelle absolument pas.
Alex éclate de rire.
- Je rigole. Non, on ne s'est pas embrassés. Quand on le fera, tu t'en rappelleras. Toujours.
Bones prit mon arme et la tendit nonchalamment à Juan, qui le regardait avec étonnement.
_ Tu l'as appelé Chaton? Et elle t'a laissé faire? Je suis resté dans le coma pendant trois jours pour avoir osé l'appeler comme ça ! [...]
- Tu n'as jamais vu de garçon torse nu ?
- Ha, ha. Très drôle. Crois-moi, il n'y a rien chez toi que je n'ai déjà vu avant.
- Tu veux parier ?
Il n’a pas réussi à dissimuler son trouble.
_Tu es le seul garçon auquel j’aie jamais pensé. Toute ma vie, il n’y a eu que toi. Tu m’as appris à danser et tu m’as sauvée le jour où j’avais nagé trop loin. Tu t’en souviens ? Tu es resté avec moi, tu m’as ramené au rivage. Tout le temps où on était dans l’eau tu répétais : « On y est presque. », et j’y ai cru, parce que je croyais tout e qui sortait de ta bouche. Comparé à toi, tout le monde est aussi insipide qu’un cracker, même Cam. Et j’ai horreur des crackers, tu le sais. Tu sais tout de moi, tout ; tu sais même que je t’aime.
_Tu as quoi?
Ce que je venais d'entendre me laissait bouche bée.
Juan jeta à Bones le regard le plus admiratif qu'il lui avait jamais adressé jusque-là.
_Tu as réussi à la persuader de sortir sans culotte pendant toutes ces années? Madre de Dios, ça, c'est impressionnant. J'ai beaucoup de choses à apprendre de toi, amigo.
_On dirait que je ne suis pas la seule à être frustrée, monsieur Je-bande-des-yeux. Tu ferais mieux t'éteindre un peu tes mirettes. Tu vas te faire remarquer.
Bones ferma les yeux, puis il ressera son étreinte autour de ma taille jusqu'à ce que ses mains se rejoignent, se pencha et frôla mon oreille avec sa bouche.
_Fais attention, ma belle. Je suis peut-être en colère après toi, mais ça ne veut pas dire que je n'ai plus envie de toi. Alors si tu recommences, je te sauterai ici, tout de suite, et tous les voyeurs pourront s'en donner à coeur joie.
Le durcissement d'une partie de son anatomie me confirma que ce n'était pas une menace en l'air. Cela m'effraya... et m'excita tellement que je m'efforçai de ne pas y penser.
Bones prit une longue inspiration. Je frissonnai, car je savais, étant donné que les vampires n'avaient pas besoin de respirer, qu'il sentait mon désir.
_Oh, Chaton... (Sa voix se fit plus profonde.) C'est un défi que tu me lances, n'est-ce pas?
- Depuis que tu es ma binôme. En dehors du cours de chimie, tu es à lui. Pendant la chimie, tu es à moi.
A compter de ce moment, Hermione devint amie avec Ron et Harry. Il se crée des liens particuliers lorsqu'on fait ensemble certaines choses. Abattre un troll de quatre mètres de haut, par exemple.
- Prouvez-le, rétorquai-je aussitôt.
- Je vais vous le prouver en peu de mots. Vous avez froid, parce que vous êtes seule; aucun contact ne fait jaillir la flamme qui est en vous. Vous êtes malade, parce que le sentiment le meilleur, le plus doux, le plus sacré que l'homme puisse éprouver vous est interdit. Vous êtes sotte parce que, vous ne lui ferez pas signe d'approcher, vous ne ferez pas un seul pas à sa rencontre, quelles que soient vos souffrances.
_Liés à jamais, hein? Ca me va. Par mon sang, Bones, tu es mon époux. C'est ce que je suis censée dire? C'est bien ça?
Bones m'embrassa avec une telle vigueur que je me pliai en arrière, et j'en conclus que c'était là sa réponse.
Elle déglutit.
- Pardon ?
- Je t'aime. Gabrielle Maxwell, je t'aime plus que la vie elle-même. Il y a si longtemps que je suis seul.. j'étais trop stupide pour le reconnaître... jusqu'à ce que ce soit quasiment trop tard. Ce n'est pas... trop tard, n'est ce pas ?
Etait-il possible de prendre la douleur de quelqu’un avec un baiser ? J’avais envie de lui arracher toute sa tristesse, de le consoler pour qu’il redevienne lui-même. J’ai posé une main sur sa nuque. Il a légèrement tressailli, mais je ne l’ai pas ôtée, je lui ai caressé les cheveux. Puis j’ai attiré sa tête vers moi et je l’ai embrassé. Timidement d’abord, jusqu’à ce qu’il me rende mon baiser. Ses lèvres étaient tièdes et avides, il avait besoin de moi. Le vide s’est fait dans mon esprit, il n’y avait plus qu’une seule pensée : « Je suis en train d’embrasser Conrad Fisher. »
L'un d'eux s'étrangla et il n'en resta plus que
Neuf.
Neuf petits Nègres veillèrent très tard.
L'un d'eux oublia de se réveiller et il n'en resta plus que
Huit.
Huit petits Nègres voyagèrent dans le Devon.
L'un d'eux voulut y demeurer et il n'en resta plus que
Sept.
Sept petits Nègres cassèrent du bois avec une hachette.
Un se coupa en deux et il n'en resta plus que
Six
Six petits Nègres jouèrent avec une ruche.
Un bourdon piqua l'un d'eux et il n'en resta plus que
Cinq.
Cinq petits Nègres étudièrent le droit.
L'un d'eux devint avocat et il n'en resta plus que
Quatre.
Quatre petits Nègres s'en allèrent en mer.
Un hareng saur avala l'un d'eux et il n'en resta plus que
Trois.
Trois petits Nègres se promenèrent au zoo.
Un gros ours en étouffa un et il n'en resta plus que
Deux.
Deux petits Nègres s'assirent au soleil.
L'un d'eux fut grillé et il n'en resta plus que
Un.
Un petit Nègre se trouva tout seul.
Il alla se pendre et il n'en resta plus
Aucun.
A ces mots, j'avalai de travers et le gin se retrouva brutalement aspiré dans mes poumons. Il ne venait tout de même pas d'avouer à ma mère son ancienne prostitution! Doux Jésus, pensais-je, faîtes que j'ai mal entendu!
Mais ce n'était pas une hallucination, et Bones poursuivit.
_... mais un ami à moi me doit une faveur et je pourrais le persuader de... Chaton, ça ne va pas?
J'avais cessé de respirer au moment où il avait admis sans la moindre gêne son ancienne occupation. Si l'on ajoutait à ça le liquide coincé dans mes poumons ça n'allait pas du tout.
Il partit d'un rire amer.
- ... de te protéger des garçons qui ont de vilaines pensées sur ton compte. Or, j'ai exactement les mêmes.
- Mais tu m'as dit que, dorénavant, tout ce qui t'intéressait, c'était d'être mon frère.
- J'ai menti.