Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
767 214
Membres
1 220 040

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode


Ajouter un commentaire


Liste des commentaires

Commentaire ajouté par astrlag 2024-02-09T23:17:05+01:00
Bronze

J’ai beaucoup aimé le fond, un peu moins la forme... C’est avec une bonne dose d’humour noir que RF Kuang apporte sa critique du monde de l’édition, du racisme, et de l’hypocrisie qui stagnent dans cette sphére où seuls une poignée de chanceux (ou pas) peuvent s’élever. Le début est hyper convaincant, on découvre le personnage exécrable qu’est June Hayward et on est impatient de voir où toutes ses manigances vont l’amener. Arrivé à la moitié du livre le récit se tasse, devient prévisible, et le final tombe malheureusement un peu à plat. Les thèmes abordés sont finement maîtrisés et le message véhiculé par l’auteure est intelligemment apporté mais le tout manquait quand même de rebondissement et de surprises (en tout cas pour un thriller).

Afficher en entier
Commentaire ajouté par prettyparadox 2024-05-06T14:41:41+02:00
Or

“Dans la tête d'une anti-héros"

Yellowface est un subtil mélange entre un thriller et une satire complexe de la société contemporaine. Captivant du début jusqu'à la fin, ce roman a fait naître chez moi des sentiments assez contradictoires.

En commençant par le point de vue narratif, qui nous transporte dans la tête de Juniper “Song” Hayward. Un personnage antipathique et égocentrique, qui ne réalise jamais ses privilèges et ne remet jamais en question ses actions. Cette perspective m'a complètement déconcerté, en plus de la trouver insupportable. Cependant les personnages sont d'une telle humanité que leurs qualités se combinent avec leurs défauts, aucun d’eux n’est idéalisé.

Aussi l'immersion totale de l'intrigue dans le monde de l'édition, dans lequel l'autrice et les protagonistes évoluent, dépeint et devient le reflet du capitalisme; qui envahit et encombre tous les milieux, en se concentrant uniquement sur le profit jusqu’à mettre de côté la morale.

En se mettant dans la peau d'une autrice blanche, Rebecca F. Kuang essaie de déterminer avec habileté et le lecteur où se trouve la limite de la légitimité d'écriture. Elle y répond en grande partie, bien que je trouve que quelques sujets importants sont survolés, comme celui de l'appropriation culturelle, du racisme ordinaire ou encore de la cancel culture.

À mon avis, je pourrais discuter de ce livre pendant des heures. Un livre qui pousse à la réflexion et qu'il est tout simplement indispensable de lire pour saisir son importance.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Lisly 2024-05-24T09:05:44+02:00
Or

Yellowface est l’un des titres les plus connus de R.F. Kuang, réputé pour être impactant et pour secouer tant le lecteur que sa vision du monde de l’édition. Voilà pourquoi à sa traduction en français, je me suis empressée de le lire !

Que dire si ce n’est que c’est un énorme coup de cœur ? Original, satirique, horrifiant et en même temps fascinant, Yellowface se fait critique du racisme dans le monde de l’édition en nous emportant dans une histoire aussi improbable qu’irritante. Un personnage principal tout à fait anthipatique, un vol inexcusable… Je n’ai jamais lu de roman comparable !

A lire si… En fait, à mettre entre toutes les mains car Yellowface a le potentiel de toucher un très large public, par sa satire accessible à tous et cette plume si addictive qu’on est incapable de lâcher le roman.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Miney 2024-08-15T12:18:42+02:00
Or

June et Athena sont deux jeunes autrices. June voit sa carrière s’embourber à peine commencée, tandis qu’Athena, sino-américaine, connaît un succès insolent. Lorsque cette dernière décède sous ses yeux, son amie en profite pour voler son dernier manuscrit et vivre la gloire dont elle a toujours rêvé.

De nombreux sujets sont abordés. Le racisme anti-asiatique, la discrimination positive, le monde de l’édition américain, l’appropriation culturelle, le processus d’écriture, le cyber-harcèlement… Malgré des thèmes qui paraissent lourds, le roman se dévore sans problème. Le suspens et les rebondissements sont au rendez-vous, agrémentés d’une touche de cynisme, tenant sans cesse le lecteur en haleine.

June, l’anti-héroïne est aussi antipathique qu’attachante à suivre. Son aigreur, sa jalousie, sa mauvaise foi et son racisme intériorisé devraient en faire une protagoniste insupportable, mais ses sentiments et sa détresse sont tellement bien dépeints qu’on pourrait (presque) la plaindre et qu’on sursaute avec elle à chacune de ses mésaventures… Tout en ricanant intérieurement : « bien fait pour ta tête, p*tasse ! », parce qu’elle l’a quand même bien mérité.

Une excellente découverte.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par CathPhanvan 2023-11-25T22:13:12+01:00
Bronze

À lire davantage comme une satire du milieu littéraire que comme un thriller. Le début est vraiment excellent, mais le récit s'enlise en son milieu, et la grande révélation finale est d'une banalité décevante.

Chronique complète sur mon blog : https://catherinephanvan.frchronique/contemporain/2023/11/25/r-f-kuang-yellowface.html

Afficher en entier
Commentaire ajouté par TiphaineBleuvenn 2024-02-28T10:28:59+01:00
Diamant

YELLOWFACE est le genre de roman incisif et terriblement actuel qui m'a retourné le cerveau une bonne dizaine de fois avant de me plonger dans une panne de lecture dont je viens tout juste de m'extirper. 😅

June, la narratrice, est tellement abjecte qu'elle peut faire office de trigger warning à elle toute seule. Car June est une autrice qui multiplie les mensonges, plagiats et comportements racistes avec un machiavélisme qui repose sur de véritables insécurités sans cesse alimentées par la dure réalité de l'industrie du livre. 🤢

R. F. KUANG dénonce et dépeint avant tout son attitude inexcusable, de même que son culot monstre à s'approprier une place qui ne lui revient pas, mais analyse aussi les mécaniques qui l'ont aidée et même encouragée à gravir les échelons de la chaîne littéraire... quitte à écraser tous ceux qui se trouvaient sur son chemin. 😈

Ces paradoxes font de YELLOWFACE une œuvre aux multiples facettes, à la fois satire et démonstration intransigeante des problématiques que les auteurs racisés rencontrent au quotidien.

Grâce à son style décapant et implacable, R. F. KUANG ne manque jamais d'y révéler le vrai visage de sa narratrice... quitte à refléter les propres craintes de son lecteur. 👀

Afficher en entier
Commentaire ajouté par LaBibliophage 2024-05-04T12:53:21+02:00
Or

"J’ai toujours été jalouse du succès littéraire de mon amie alors quand elle meurt, je vole son manuscrit pour le publier et récupérer sa vie".

Voilà l’histoire de June Hayward, une écrivaine dont la carrière est toujours au point mort. Et sa stratégie va marcher, au moins dans un premier temps.

Ce livre captivant dénonce le monde éditorial tenu par les scandales, les réseaux sociaux et dans lequel la diversité est un outil. Au travers du personnage principal dont on suit ce que j’appellerai un arc de corruption, on assiste à une critique cinglante du lien entre édition et couleur de peau. On parle de l’aspect éphémère du succès et de la course au best-seller. Et si vous voyez cette chronique, c’est que vous êtes sur les réseaux sociaux, alors croyez moi, ce livre ne vous laissera pas indifférent car ces applications y jouent une grande place et passent aussi sous la plume dénonciatrice de l’autrice. June est un réceptacle, un outil pour faire réfléchir autrement le lecteur et lui proposer un exercice de pensée. De plus, le fait de plonger dans le monde éditorial est original et accrocheur. C’est comme si, en tant que lecteur nous pouvions enfin passer de l’autre côté de la scène.

La plume est parfaitement au service de l’histoire car elle nous plonge directement dans les pensées du personnage dans un style addictif. Si j’avais pu lire ce livre d’une traite je l’aurais fait.

Bref ce livre est un coup de coeur que je vous recommande grandement

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Kaihann 2024-05-19T21:25:06+02:00
Or

Ouah ! Que dire !

Dès le début de l'histoire l'on est tout de suite captivé. Etant une grande fan de R.F. Kuang je n'est pas été déçus de se nouveau livre se démarquant des précédents.

En effet l'on suit le point de vu de June, jeune auteure déchu. L'on peut ressentir beaucoup de haine envers elle vu les circonstances et la trahison faite envers son amie Athena, mais, de mon côté j'ai aussi ressenti beaucoup de pitié et de compassion pour se personnage. En effet même si ses actes sont loin d'être les meilleurs, l'on peut comprendre sa souffrance; une amie au plus tandis qu'elle fait de son mieux pour enfin avoir la reconnaissance.

J'ai beaucoup aimé le fait de découvrir la psychologie et les actes de June.

De plus l'influence médiatique actuelle a vraiment bien été représentée avec la mise en lumière des médias et de la critique.

D'autre part j'ai toujours aimé le fait que R.F. Kuang inclus une grande partie de son histoire et de ses origines développant beaucoup sur l'Asie dans tous ses livres d'une façon ou d'une autre.

L'on en apprends beaucoup sur l'industrie actuelle de la littérature. C'est un grand coup de coeur de mon côté toute l'histoire à été travaillé minutieusement, les personnages sont détaillés, l'histoire est propre que demander de plus!!

Afficher en entier
Commentaire ajouté par yoshino 2024-06-12T09:34:40+02:00
Lu aussi

Yellowface, une lecture qui me sort de ma zone de confort et je ne saurais dire si c'est en positif ou négatif.

L'histoire bien qu'intéressante, n'est pas très développée, on tourne très vite en rond et bien que je suis quelqu'un qui se laisse porter par la plume de l'auteur, j'ai très vite perçu ou nous allions… la plume est aussi quelque peu... lourde, j'ai eu du mal à suivre certains chapitres.

Ce que je reproche le plus à l'histoire c'est bien que ce soit un sujet très intéressant, malheureusement on arrive très vite au moment fatidique et donc celui qui une fois passé bah... on se dit à quoi bon lire la suite puisqu'on en connait déjà la fin.

C'était long, pour je ne dirais pas : pas grand chose mais... long pour une fin prévisible et donc sans goût...

Je recommanderais ce livre, mais bien en précisant ce que la hype bookstagram /booktok à omis : c'est un bon sujet mais il ne se passe pas grand chose dans l'histoire pour la raconter.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par AlwaysbeaPanda 2024-06-27T10:51:37+02:00
Argent

Ce roman est douloureusement addictif. J'avoue que je n'ai pas pour habitude de lire des romans qui nous font détester la narratrice, mais bon sang, que c'était bien fait. Je ne savais pas si je voulais mettre une baffe à June ou lui faire un câlin...Cette lecture me chamboule beaucoup, c'est évidemment très simple de s'identifier, d'être accro, d'avoir peur...

Afficher en entier