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Commentaires de livres faits par Ynim

Extraits de livres par Ynim

Commentaires de livres appréciés par Ynim

Extraits de livres appréciés par Ynim

date : 04-03-2014
Pourquoi sans argent?
L'argent c'est un peu comme l'amour. Nous passons toute notre vie à lui courir après, mais peu d'entre nous savent réellement ce que c'est. Disons qu'à ses débuts, c'était une idée formidable.
Il était une fois, une époque où, pour effectuer des transactions, au lieu d'utiliser l'argent on pratiquait le troc. Les jours de marché, les gens se promenaient avec les fruits de leur production: les boulangers apportaient leurs miches de pain, les potiers leurs poteries, les brasseurs leurs tonneaux de bière et les menuisiers leur cuillère en bois et leur chaise. Ils négociaient, avec ceux qui, espéraient-ils, aveint envie de quelques chose qui pouvaient les intéresser. C'était une manière agréable de passer des moments ensemble, mais ce n'était pas aussi efficace que cela aurait pu l'être.

Si Monsieur Boulanger voulait de la bière, il allait voir M Brasseur. Après avoir demandé des nouvelles de la famille, M. Boulanger offrait ses miches de pain en échange de la délicieuse bière de M. Brasseur. La plupart du temps, cela se passait très bien et les deux parties parvenaient à un accord qui leur convenaient. pourtant - et c'est ici que les problèmes commencèrent à apparaître-, parfois Mme. Brasseur ne voulait pas de pain ou trouvait que l'offre de son voisin n'était pas équitable. Mais M. Boulanger n'avait rien d'autre à offrir.
[...]
Mais un jour, un homme élégant coiffé d'un exquis chapeau haut de forme et habillé d'un costume rayé sur mesure que personne n'avait jamais vu se présenta dans la petite ville. Ce nouveau venu - qui disait se nommer M. Banque- se rendit au marché et, en assistant au tohu-bohu et au va-et-vient chaotique des habitant qui faisaient leur courses hebdomadaires, il partit d'un énorme rire. Comme Mme Fermier n'arrivait pas à échanger ses légumes cintre quelques pommes, M. Banque la prit à part et :ui demanda de réunir tous les habitants dans la salle des fête le soir même car, lui dit-il, il connaissait un moyen de rendre leur vie bien plus faciles.
Ce soir là, la ville toute entière se bousculait à l'entrée de la salle des fêtes, tous étaient éxités et intrigués par ce que ce charismatique étranger pouvait bien avoir à leur dire.
M. Banque leur montra dix mille Cauris sur lequel était imprimé sa signature. Il en donna cent à chacun et leur dit qu'au lieu de transporter des tonneaux de bière, des miches de pain, des pots et des tabourets, il pourraient utiliser ces coquillages pour échanger leur biens. Tout ce qu'ils avaient à faire, c'était de décider combien de coquillage valait chacun des produits et d'utiliser les cauris pour l'échange? " C'est très malins, se dirent les gens, voilà qui résout nos problème!"
M. Banque leur dit qu'il reviendrait dans un an. Pour le remercier de leur avoir facilité la vient il demandait que chacun des habitants lui rapporte dix coquillage de plus.
[...]
voilà une allégorie qui raconte comment l'argent vint à exister. Ce qu'il est devenu est à mille lieus de ces timides débuts.
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date : 04-03-2014
( page 7)
Prologue
soirée de la journée sans achats
Du 28 Novembre 2008

Le timing est parfait. Ils est 18h05, nous sommes le soir de ma dernière journée à vivre dans l'empire de l'argent, et pour moi les magasins ferment définitivement pendant un an. Contre toute attente, la journée à été très longue : les médias ont eu vent de mon projet et au lieu de boucler les préparatifs et - surtout- d'aller m'en jeter un dernier café du coin, j'ai fini par enchaîner interview sur interview,. Le son de ma voix répondant toujours aux mêmes questions a fini par me filer une légère nausée.
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Adam s'est levé, a traversé la pièce, s'est agenouillé près de moi et veut me prendre les mains, mais je dois aussitôt les éloigner parce que mes gants ont été détruits dans les labos de recherche et qu'à présent mes doigts sont nu.
Dangereux.
Adam contemple mes mains que j'ai cachées derrière mon dos comme si je l'avais giflée.
- qu'Est-ce qui te prend ? me demande t-il sans ùe regarder dans mes yeux.
il fixe toujours mes mains, respire à peine.
- je ne peux pas te faire ça dis-je en secouant trop fort la tête. je ne veux pas que tu aies mal ou que tu t'affaiblisses à causses de moi, et que tu passes ton temps à craindre que je puisses te tuer par mégarde...
- non, Juliette écoute moi.
Il panique à présent, lève les yeux, scrute mon visage.
- j'étais inquiet, OK? j'étais inquiet, moi aussi. vraiment... je pensai... je pensais peut-être... je sais pas, je pensai que peut-être ça se passerait mal ou qu'on ne pourrait pas se sortir de tout ça, mais j'ai parlé à Castel. Je lui ai parlé, et tout expliqué, et il m'a dit que je devrais juste apprendre à contrôler ce truc.je vais apprendre comment l'allumer et l'éteindre, en fait...
[ ...]
- Adam...
- qu'Est-ce que tu es en train de me dire Juliette?
Il est debout à présent, une main tremblante dans les cheveux.
- tu ne veux... tu ne veux pas être avec moi?
je me suis levée et refoule mes larmes qui me brulent les yeux. Je meurs d'envie de m'enfuir, mais je suis incapable de bouger. Ma voix se brise quand je reprend la parole.
- bien sur que je veux être avec toi.
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