Yoko Tsuno, Tome 28 : Le Temple des immortels

Un bon album surfant sur une synthèse des aventures de Yoko. J'aime bien et tout apport culturel est le bienvenu. Des dessins encore magnifiques.

Pas réussi à accrocher à cette bande dessinée. Un scénario confus, trop de personnages... Dommage car les illustrations sont, elles très réussies.

J'ai bien aimé l'intrigue, mais je trouve que les histoires sont de plus en plus compliquées, c'est un peu pénible ^^

Une série géniale et des dessins vraiment magnifique. Toujours un peu plus de mystère mais Yoko peut toujours compter sur ces nombreux amis !

J'ai bien aimé ce tome car j'aime bien les aventures de Yoko en général. Mais depuis quelques tomes je me sens un peu dépassée par le coté technique des technologies vinéennes et je regrette que les vinnéens aient fini par prendre tant de place dans la vie de Yoko. Je regrette le temps de ses aventures aux quatre coins de la terre et dans les vieux quartiers.

J'ai bien aimé ce livre, mais désolée de le dire à chaque fois mais il m'a semblé qu'Emilia était encore une fois dans l'histoire!

Ce tome des aventures de Yoko Tsuno est en réalité la suite du tome 25, La servante de Lucifer. N'hésitez pas à le relire pour raviver quelques souvenirs. Pour ma part, c'était une lecture assez proche donc pas besoin.

Retour donc dans les profondeurs des entrailles de la Terre pour explorer plus en détail l'univers des Vinéens qui sont des milliers à dormir là. La conquête de notre planète ayant échoué grâce à Yoko (voir le tome 27 : Le secret de Khâny), les choix qui s'offrent à eux sont forcément plus restreints. Ceci étant dit, les péripéties ne sont pas terminées.

Encore une intrigue où le genre masculin sera peu présent. La place est faite pour les demoiselles et retour sur le devant de la scène par Yoko. J'attendais cela avec impatience.

Arrivée de nouveaux protagonistes comme Iseut qui forcément fait un petit clin d'œil à la légende de Tristant et Iseut. Il y a aussi la déesse... Quand tout va mal, on se tourne alors vers des divinités, mais cela a ses limites. Cet album est un peu une critique des croyances.

Les "méchants" manquent un peu de cruauté, ils sont plutôt ambiguës et montrent ainsi que tout est très rarement tout noir ou tout blanc. Le monde est un nuancier de tonalités grises étonnantes.

On reste pour cette histoire dans un environnement assez fantastique. Pourquoi pas ? C'est bien mené et dans la saga Yoko Tsuno, il n'est pas rare d'alterner les genres. Moins de lassitude au final.

on est loin des Yoko du début...

Je n'avais pas eu un Yoko Tsuno depuis quelques années maintenant. Pourtant, j'en ressort un peu déçu malgré l'inspiration celte. De plus, j'ai trouvé l'utilisation de la police très souvent difficile à déchiffrer. Je m'étais arrêté au 24, il m'en reste encore pas mal à lire. En espèrent que ceux qu'ils me reste seront un peu mieux.

Y'a des idées qui ne sont pas mauvaises mais c'est terriblement explicatif : dès qu'il y a une pierre, il faut qu'un personnage explique pourquoi elle est là, d'où elle vient... L'ensemble devient donc terriblement didactique et bavard et j'ai peiné à accrocher tout du long...