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Commentaires de livres faits par Yumeko

Extraits de livres par Yumeko

Commentaires de livres appréciés par Yumeko

Extraits de livres appréciés par Yumeko

date : 10-01-2018
Le temps est plus précieux que l'or, plus précieux que les diamants, plus précieux que le pétrole ou n'importe quel trésor.
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date : 10-01-2018
Quelque chose de très important peut toucher un petit nombre de personnes. De même, quelque chose de peu important peut toucher une multitude de personnes. Quoi qu'il en soit, un événement - grand ou petit - peut toucher des gens qui sont liés. Les événements peuvent nous raccorder les uns aux autres. Nous sommes tous faits de la même matière. Quand un événement survient, cela déclenche quelque chose en nous qui nous rappelle une situation, qui nous relie à d'autres gens, qui nous illumine et nous enchaîne, comme les lumières d'une guirlande de Noël , qui s'emmêle et s'enroule mais reste attachée à un fil. Certaines s'éteignent, d'autres clignotent, d'autres encore brillent comme des soleils, et pourtant nous sommes tous sur le même fil.
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- Deux. Soeurs. Quoi que tu fasses, ne l'oublie jamais.
Les deux soeurs de la famille Mega. C'était ainsi qu'elle nous avait appelées, un jour. Mon coeur se gonfla, si débordant d'amour pour elle que c'en était douloureux.
- Je ne l'oublie pas.
- Et rappelle-toi que je te protège.
- Moi aussi, la môme, répondis-je d'un ton joyeux.
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Quand vous aimez trop fort, vous pouvez perdre l'envie de vivre sans l'autre. Partout où vous posez les yeux, il y a une immense, gigantesque, effroyable absence de ce que vous aviez et que vous n'aurez plus jamais. La vie devient étrangement plate, et trop acérée, trop douloureuse en même temps. Rien ne semble juste ou bon et tout vous blesse.
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On ne le voit jamais venir.
Le dernier coup, le coup fatal.
On croit que le pire est déjà arrivé et vous a sauté à la figure. On croit que la situation est tellement désespérée qu'elle ne peut plus empirer. On dresse la liste de tout ce qui va mal dans ce monde et on s'aperçoit qu'on n'avait aucune idée de ce qui se passait réellement autour de soi, et qu'on commence seulement à voir le sommet de l'iceberg qui a coulé le Titanic, au moment précis où on le heurte.
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L'illusion de ma sœur regardait à travers moi comme si elle scrutait la rue à la recherche de je ne sais quoi tandis que j'observais avec délectation son visage dans le moindre détail, car même si c'était une illusion, c'était une réplique parfaite et... bon sang, qu'elle me manquait !
Encore aujourd'hui.
Treize mois avaient passé mais la plaie du chagrin restait ouverte en moi, comme brûlée au sel. Certaines personnes - qui n'ont pas perdu quelqu'un qu'elles aimaient d'amour inconditionnel, et même plus qu'elles-mêmes - s'imaginent qu'un an suffit amplement à se remettre du traumatisme de la perte et à tourner la page.
Tu parles !
Un an, ce n'est rien. Sans compter que j'avais perdu de longs moments de cette année, en quelques heure en Faëry ou dans un état d'hébétude et de folie sexuelle, privée des facultés mentales qui m'auraient permis de faire mon deuil. Il faut du temps pour conditionner son cerveau à se fermer au lieu de se souvenir de l'être cher disparu. On peut s'accrocher à celui-ci avec des souvenirs aussi tranchants que des rasoirs. On peut tomber amoureux de nouveau, la plupart des gens le font. Mais on ne peut jamais remplacer une sœur. On ne peut jamais corriger tout ce qui nous a laissé des regrets. S'excuser pour ses erreurs, pour n'avoir compris que trop tard que quelque chose n'allait pas.
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La mention à mes amis me donna le frisson. Qu'est-ce qu'elle en avait fait ? Parce qu'il n'y avait aucune explication à leur disparition.
Cela dit, j'avais l'impression que j'étais tombé sur une méchante qui aimait se vanter de ce qu'elle faisait. Dans les films, le monologue du méchant permet au gentil de sauver sa peau, ou d'attendre les renforts qui arrivent juste à temps.
Là, les renforts, quoi qu'ils puissent être, avaient intérêt à respecter le scénario cosmique, parce que si ça continuait, je ne donnais pas cher de ma peau.
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date : 01-03-2017
Aoga m'admirait car il croyait que j'avais refoulé mes craintes, et moi, j'admirais tous les autres car je croyais qu'ils n'en éprouvaient aucune. Mais j'avais tort. Je suis sûr qu'on a tous peur. Et c'est avec celle-ci au ventre, sans la laisser nous engloutir, mais sans arriver à nous en débarrasser que nous nous contentons de marcher, que nous nous contentons de défendre sous les deux lettres de "protection de la cour".
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date : 24-02-2017
- En tout cas, ils m'ont bien eu le groupe de Kurosaki, et l'autre avec sa coiffure pompadour en pétard. Je n'avais pas prévu la présence de cet inconnu, ni que je serais attaqué de front, alors je vais faire une pause-café au lait et revoir ma stratég...
-Tu m'échapperas pas maintenant que je t'aie enfin trouvé !
- Laisse-moi filer juste une fois ! Regarde... je te donne ça en échange ! C'est un gift ! Accepte-le !
- Un cadeau ? Tu risques pas de m'avoir avec une attaque aussi molle ! ... C'est quoi ce truc ?!
- Allons bon... ça s'appelle un gift ball et ça veut dire une "balle empoisonnée".
- On ne t'a pas appris, quand tu étais petit à ne pas accepter les cadeaux des inconnus ?! Ne pas avoir écouté ta maman t'aura coûté la vie !
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date : 24-02-2017
Quel don cruel, n'est-ce pas... majesté... que celui de pouvoir lire l'avenir ?!
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date : 11-02-2017
Je ne ressens aucune douleur hormis celle de ne pouvoir quitter cette balance des yeux.
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Balle, griffe, drapeau de guerre, épée
Je t'attends en comptant
Sur les cinq doigts de ma main.
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date : 31-12-2016
Si seulement ta stupidité abyssale... pouvait t'étouffer, là, ici, maintenant ! Sur-le-champ !!! Séance tenante !!!
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Au moins, j'ai le réconfort de croire qu'Alina est au paradis. Que peut-être, un jour, en croisant un regard d'enfant, j'y retrouverai un peu de l'âme de ma sœur, parce que le fait est que je crois que nous continuons. Bien sûr, je ne rencontrerai peut-être jamais aucune trace d'elle, mais je sens tout de même sa présence. Je ne sais pas expliquer cela. Parfois, il me semble que seule une imperceptible variation de fréquence nous sépare, ce que je vois comme un courant parallèle, et que si je pouvais seulement basculer de côté, je la rejoindrais. Un jour, je pense que je basculerai vraiment de côté, et que je la reverrai, même si nous ne sommes que deux vaisseaux sur notre route vers de nouvelles destinations sur le même vaste et magnifique océan.
Peut-être n'est-ce qu'une illusion sentimentale, à laquelle je ne raccroche pour ne pas me noyer dans le chagrin.
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Ryodan répond doucement :
- Nom d'une fraise des bois, Dani, on pédale dans la confiture.
Je le regarde comme s'il venait de lui pousser une seconde tête. Une fraise des bois ? Dans la confiture ? Même Barrons a l'air abasourdi.
Il poursuit :
- Mais rassure-toi. Nom d'une collection inestimable de résilles étrusques - tu as vraiment massacré celle-là, soit dit en passant - j'ai compris. Que dis-tu de celle-ci : Nom d'un bibliophile vendu, achetons.
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Hors du lit, nous sommes des îles.
Mlle Lane et Barrons.
La première fois qu'il s'est retiré pour prendre ses distances, cela a été douloureux. Je me suis sentie rejetée.
Jusqu'à ce que je comprenne que j'en avais fait autant. Il n'y avait pas que lui. Nos liens semblent cousus à nos vêtements ; nous ne pouvons pas plus en mettre un sans l'autre que les enlever séparément.
Parfois, je me demande si notre passion n'est pas si énorme, si obsessionnelle, que nous avons besoin de distance entre les feux de joie. Je suis un papillon de nuit pour sa flamme et je suis effrayée de mon élan à me brûler les ailes sur lui. Détruire le monde. Le suivre jusqu'en Enfer. La sensation de ne plus savoir respirer sans l'autre est terrifiante. Qu'un homme exerce un tel pouvoir sur vous parce que vous l'aimez autant, sinon plus que vous-même.
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Mackayla Lane

Non.
La tentation n'est pas un vice dont on se libère après en avoir totalement triomphé une seule fois. Elle se glisse dans votre lit chaque soir et vous aide à dire vos prières. Elle vous réveille le matin avec une bonne tasse de café et sait exactement comment vous l'aimez, bien chargé en péché.
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Jericho Barrons

Cette fois, je souris, mais je me le permets seulement parce qu'elle a refermé le battant pour détacher la chaîne et qu'elle ne peut pas me voir. Elle ouvre et recule. J'ai remarqué que la distance est courte entre le moment où une femme décroche la chaîne et celui où elle ouvre les jambes. Comme si elles ne savaient pas déverrouiller une seule entrée à la fois. C'est une maladie appelé espoir.
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Le désir de vengeance se nourrit des jours qui passent et profite de la douleur des deuils multiples pour s'exacerber.
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date : 16-09-2015
Spoiler(cliquez pour révéler)
S'il t'arrive quelque chose, je n'y survivrai pas. Tu comprends ça ? C'est pour ça que je me suis éclipsée la première fois. Je peux vivre en te sachant malheureux. Mais pas en te sachant mort.
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Parfois, on doit perdre quelque chose pour en saisir la valeur, dis-je doucement.
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- Quelle est cette vieille comptine déjà ? "Des bâtons et des pierres pourraient me briser les os, mais les mots ne me blesseront jamais" ? Tous ceux qui disent ça ne comprennent rien au pouvoir des mots. Ils peuvent couper plus profondément que n'importe quelle lame, frapper plus fort que n'importe quel poing, toucher certaines parties de vous que rien de physique ne pourra jamais atteindre, et les blessures que laissent certains mots sont incurables, parce que chaque fois que le mot vous est lancé, on se remet à saigner. Cela ressemble davantage à un fouet qui lacère à chaque coup, jusqu'à ce qu'on ait la sensation que cela doit même vous écorcher la chair des os, alors qu'en apparence il n'y a aucune blessure visible aux yeux du monde, si bien qu'ils pensent qu'on n'est pas blessé, alors qu'à l'intérieur une partie de soi meurt chaque fois.
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C'est la guerre, lui dit-il. Ne doute pas de tes gestes, même si c'est pour tuer ces hommes, car la moindre de tes hésitations fera leur triomphe. Eux n'auront pas cette pitié. Mais garde le visage de chacun en mémoire, nous les pleurerons le jour où la paix sera revenue sur le monde. Si ce jour fait partie de l'avenir.
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