Kôji Inada
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Note moyenne : 8.39/10Nombre d'évaluations : 339
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Les derniers commentaires sur ses livres
J'ai adoré ce 13e tome ! Dei et ses amis nous emmènent dans leurs aventures encore une fois ! Des dessins mignons, des personnages attachants, ainsi que de la magie et de l'action !!
Afficher en entierUn premier tome très agréable ! J'ai adoré découvrir les personnages et le monde magique dans lequel ils vivent
Afficher en entierChronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2023/06/22/lucja-tome-1/
Extrait :
Petit tome que j’avais depuis un moment dans ma PAL… j’ai appris récemment que la série allait se terminer avec son 4e tome, donc j’ai commencé à prendre la suite et à lire la série du coup. J’aime bien l’idée de la Pologne, ce n’est pas un pays souvent mis en avant dans un manga, et on peut rajouter aussi les machines à vapeurs si j’ai bien tout saisi. J’aime souvent les récits steampunk (Dragon Metropolis par exemple).
On commence direct l’histoire en plein combat entre Lucja et un autre chevalier. Il semblerait donc que la thématique du titre soit l’action et les combats… Quelques pages plus loin, viennent enfin les explications du pourquoi, du comment. Vous prenez des chevaliers (et tout le tintouin autours) et vous rajoutez des armures fonctionnant à la vapeur (aïe c’est chaud), et vous obtenez le point important de la série. N’oubliez surtout pas le côté misogyne des chevaliers également bien présents, notamment à coup de « les femmes savent pas se battre » etc… Lucja, la protagoniste est une femme, mais aussi une chevalière, ce qui apparemment est assez rare, et évidemment, mal vu par certains.
Elle ne se laisse pas faire pour autant, et réussie même certains de ses combats, faisant apparaître de nouveaux admirateurs à son égard, mais aussi beaucoup de détracteurs… Au final, l’intrigue se déroule en Pologne, mais aurait pu se dérouler partout ailleurs. Ou alors, je ne connais pas assez bien l’histoire du pays (c’est possible, je ne suis pas omnisciente) pour voir le lien. Bon, notre Lucja finie par avoir l’un de ses bras brisés (parce que oui, elle n’a que l’armure, comme une prothèse), elle finira par trouver quelqu’un qui voudra essayer de la réparer, car ce n’est pas gagné.
[...]
Afficher en entierChronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2023/07/02/lucja-tome-2/
Extrait :
Petite lecture, et du coup, petit avis sur le second tome de la série, qui représente déjà la moitié de celle-ci, puisqu’elle est terminée en quatre volumes au Japon. Je pense avoir à peu près deviné où l’histoire pourrait se terminer, avec les antagonistes, par contre, est-ce que ça sera une fin heureuse ou non, ça, ça sera une surprise. En tout cas, je trouve que l’univers aurait pu être prometteur, mais si cela va dans le sens que je pense, alors l’histoire n’aura qu’un intérêt assez léger.
Dans ce tome, les prothèses de Lucja vont être réparées, et semble-t-il, améliorées afin de la faire moins souffrir. Ses prothèses sont donc changées par deux autres afin qu’elle ne se retrouve pas sans bras durant ce laps de temps. J’ai l’impression de mieux arriver à cerner le personnage de Lucja, même si j’avoue ne pas vraiment l’apprécier pour autant. Elle peut être très gentille et avec de bonnes intentions, mais dès qu’on la cherche un peu, elle monte vite en pression et se met à être violente, à se demander si elle n’est pas un peu bipolaire tient. De plus, on ne sait toujours rien de son passé, ce qui n’aide pas à la cerner, à la comprendre dans ses réactions.
Les antagonistes sont assez évidant avec ce tome, puisqu’il s’agit de la garde des Hussards, menée par un personnage totalement timbré. Celui-ci, qui fait partie d’une garde supposée protéger la ville, s’avère être en réalité un tyran pour ses visiteurs mais aussi pour ses habitants. Tuant à tout va avec le sourire aux lèvres, sous couvert de faire respecter la loi, ce personnage est clairement détestable. C’est un vrai boucher, qui tue juste après sa somation quiconque ne lui plaît pas. Dans le cas de Lucja, elle pourra passer malgré qu’il ne l’aime pas, il va alors tout faire pour trouver une violation de la loi et pouvoir la tuer ! Mais quel psychopathe, je me demande même si les habitants peuvent partir de cette ville où s’ils y sont piégés.
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Afficher en entierChronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2023/09/15/lucja-tome-3/
Extrait :
Avant dernier tome de la série, Lucja est toujours à Cracovie, après tout, elle n’a pas récupérée sa nouvelle armure vapeur. Mais visiblement, lors de sa courte absence, il s’est passé beaucoup de choses, et pas dans le bon sens du terme. Les hussards en prennent vraiment pour leur grade, et j’espère que ça va continuer, ils ne sont que des tyrans profitant de leur position et de l’inaction générale pour faire ce qu’ils veulent.
Dans le tome précédent, Lucja réussissais à fuir les hussards, grâce à l’intervention de Kantor. Malheureusement pour lui, il sera évidemment arrêté, et humilié publiquement, trainé de force en étant (presque) crucifié, jusqu’à sa forge. Les hussards ne sont pas idiots, ils cherchent ses apprentis, mais surtout l’armure vapeur de Lucja. Leur chef n’est pas idiot, elle a changé d’armure entre son entrée et son combat, l’armure doit donc être quelque part en réparation. Lucy a fini de justesse les réparations, et décide donc de se rendre, dans une énième tentative de faire entendre raison aux hussards, elle demande à Sammy (apprenti de Kantor), de cacher l’armure, et surtout, d’empêcher les hussards de mettre la main dessus.
Fidèles à leurs caractères de cochons, les hussards, ou du moins, leur chef, décide d’exécuter publiquement Kantor et Lucy avec des accusations bidon (comme tout tyran qui se respecte). Lucja tentera donc quelque chose pour les sauver, c’est évident qu’elle ne les laissera pas tomber. Mais ce qui est intéressant, c’est le fait de montrer « l’effet de foule », où quand personne n’agit, tout le monde reste spectateur. C’est pourquoi on dit souvent qu’il est bien beau de parler, mais bien mieux d’agir. La peur est ancrée dans les habitants de Cracovie, si bien qu’ils ne réagissent même plus à ses exécutions sommaires. Ne sortant visiblement jamais de chez eux, les accusations des hussards leurs semblent vraies, jusqu’à preuve du contraire… alors que bon, quelques journées passées à l’entrée suffit pour voir que les hussards abusent de leur pouvoir et aime tuer sans raisons.
[...]
Afficher en entierEdition Française de chez « J’ai lu, manga »
L’année de parution est de 1996
Il contient 201 pages
Ça raconte l’histoire de Fly (Daï dans les parutions les plus récentes) qui souhaite devenir un héro
Il y a Grand-pa Burasu qui l’entraine à la magie. Grand-Pat qui l’a élevé lorsque fly a échoué sur la plage de l’île des monstres dans un univers héroïque-fantasy.
Dans ce premier tome il se passe beaucoup de chose sur l’ile des monstres. Des monstres gentils dont Fly est leur ami. Il y a d’abord des brigands qui viennent mettre le bordel sur l’ile. Point de départ pour différentes rencontres sans que Fly n’est à bouger de son ile. Comme il fera parler de lui, il y aura la princesse Leona qui viendra débarquer avec ses gens pour passer un batême traditionnel qui ne se pratiquait plus depuis des années. Et enfin le précepteur de héro envoyé par la princesse Leona pour entrainer Fly, le fameux Aban (je n’ai toujours pas compris si c’est une femme ou un homme, ma vieille édition n’étant pas traduite très correctement, mais ça ne gêne pas du tout la lecture).
Mon personnage préféré dans ce tome c’est Aban, un être très compétent dans ses caractéristiques de combat et magique qui sait quand être sérieux ou drôle et détendu en fonction des circonstances.
J’ai aimé retrouver le héros de mon enfance Fly, sa rencontre avec un roi très bon et un peu naïf. L’arrivé de Leona qui présage déjà une belle histoire entre les deux protagonistes et tout ce qui se passe pendant cet évènement. Et la transformation d’Aban pour éprouver Fly pendant son entrainement.
J’ai moins aimé certaines planches ancrées que je trouvais trop sombres. Et un scénario un peu enfantin à beaucoup de moment. On a du mal à cerné à quelle publique s’adresse ce premier tome. Mais ça reste un shonen à n’en pas douter.
Afficher en entierEdition Française de chez « J’ai lu, manga »
L’année de parution est de 1996
Il contient 180 pages
Le personnage de Fly fini par être accompagné de Poppu et ils vont rencontrer Fuam et Crocodin dans une forêt et j’avoue n’avoir pas bien compris où ils se trouvent exactement.
Un événement important arrive sur l’ile Demurin où s’affrontent Aban et Hadora à la suite de quoi Fly quitte l’ile accompagné de Poppu. Perdu dans une forêt, ils croisent Fuam, une jeune femme armée d’un pistolet qui les secours. Trop fière, Poppu refuse et c’est ainsi au milieu de nulle part que Fly et Poppu se retrouve devant le redoutable Crocodin en pleine forêt le ventre vide.
Mon personnage préféré c’est Fuam, Elle est entourée d’un nuage de mystère car ce tome ne raconte pas grand-chose sur elle. Elle se bat à l’aide de pistolet qui tire des balles d’incantations magiques.
J’ai aimé, enfin, le départ de Fly, et on devine le début d’une forte amitié solide entre Poppu et Fly dans le futur. Leur rencontre avec Fuam qui s’annonce explosive.
Je n’ai pas trop aimé Poppu fuir comme un lâche à la première bataille. Un peu de courage Poppu. Toujours les fameux écrits en japonais dans certaines cases et une traduction en tout petit sur le côté, parfois presque illisible.
Dans ce tome, le traducteur a décidé de ne pas se décider sur le genre d’Aban, alors il(elle) est cité(e) comme je viens de le faire. Des précurseurs de l’écriture inclusif (je rappelle : imprimé en 1996). Ça ne gêne en rien la lecture et l’avancement de l’histoire.
Afficher en entierEdition Française de chez « J’ai lu, manga »
L’année de parution est de 1996
Il contient 200 pages
Fly et Fuam combattent Krokodin au péril de leur vie. Mais que fait donc Poppu ?
Le trio est enfin arrivé au château de Romusu après un premier combat cotre Krokodin. Mais le roi est en danger, Krokodin veut le tuer pour attirer Fly dans son piège. C’est le tome des lâches ! Fly recroise les brigands contre qui il a lutter pour sauver Gome enlevé par ceux-là. Poppu passe son temps à fuir tous les combats et laisser Fly et Fuam combattre seul. Ce n’est pas très jolie venant d’un disciple d’Aban, un peu de courage Poppu !
Mon personnage préféré reste encore Fuam, on découvre dans ce tome qu’elle est emprunt d’une grande empathie envers les autres et qu’en plus c’est aussi une disciple d’Aban.
J’ai aimé, le premier combat de Fly contre Krokodin, depuis le tome 2 on est enfin sur un shonen sanglant, l’auteur à définitivement choisi sa direction. Le combat est violent et ça pisse le sang. Ils vont roter du sang ! J’ai aimé quand le mage lâche prodigue des conseils à Poppu, car on y entrevoie quand-même une certaine sagesse et une volonté d’aider Poppu à obtenir une maturité combative.
Encore une fois, je n’aime pas beaucoup la lâcheté de Poppu qui est vraiment malaisante, j’espère qu’il va s’améliorer et aider ses amis quand ils en ont besoin. Certaines cases sont encore encrées de manière trop sombre.
Ma vieille édition contient une page en double, elle est assez gênante à la lecture à ce moment-là. J’espère que la nouvelle édition a été corrigé et remanier correctement. A l’époque, ils attachaient vraiment très peu d’importance aux mangas… Heureusement que ce n’est plus le cas aujourd’hui.
Afficher en entierFly, tome 4 : Le Rassemblement des 6 généraux…?!
De Riku Sanjo
Dessins de Koji Inada
Edition Française de chez « J’ai lu, manga »
L’année de parution est de 1996
Il contient 191 pages
Popu a enfin trouvé le courage de se confronter à Krokodin pour sauver ses amis et ainsi devenir un digne disciple d’Aban. Mais une nouvelle menace pèse sur nos héros.
Nos trois héros sont enfin arrivés à Papunika pour sauver la princesse Leona, mais la princesse n’est plus là et le pays a été dévaster par l’armée des immortels qui est apparemment surtout constituer de squelettes, alors pas D’Edward Cullen ou de Spike et Angel ici. Ils vont y rencontrer Hyunkel qui est le premier disciple d’Aban.
J’aime bien le personnage de Hyunkel, bien dessiner et charismatique. Il dévoile à Fly que ni lui et i Fly ne maitrise la technique d’Aban coupé le ciel, alors les Aban Slash n’en sont pas. Ce qui dévoile quand-même la puissance de Fly quand son front arbore le signe du dragon.
Ce que j’aime moins c’est son armure accrochée à son épée, je la trouve très laide. Et encore moins qu’on sent le vieillissement du manga avec des Popu qui hurle « Utilise la technique de notre maitre ». Après ce ne sera pas pire que les victoires grâce aux pouvoirs de l’amitié. Clairement pas le meilleur tome parmi les 4 premiers mais il pose deux ou trois bases pour le futur de l’histoire.
Afficher en entierFly, Tome 5 : L’éclaire du glaive de la justice !
De Riku Sanjo
Dessins de Koji Inada
Edition Française de chez « J’ai lu, manga »
L’année de parution est de 1996
Il contient 206 pages
Bon, on est dans les vestiges de la défaite du roi du mal Hadora vaincu par Aban là où s’affronte La bande à Fly cotre Hyunkel le colérique.
Le combat va se terminer au sein d’une arène à ciel ouverte. Un ancien adversaire de Fly va refaire son apparition mais il aura changé de camp pour rejoindre celui de Fly. Ce sera un combat épique où acier magie s’associent.
Un de mes combats favoris où Fly ne fait pas appelle au pouvoir du dragon mais lutte de toutes ses forces par lui-même.
Encore des cases trop sombres à mon goût et la traduction laisse à désirer à certains moments. Mais c’est dû à ma vieille édition à une époque où « J’ai lu », je pense, s’en foutait un peu (j’espère me tromper).
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Kôji Inada
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
J'ai lu : 73 livres
Shûeisha : 37 livres
Tonkam : 35 livres
Kana : 13 livres
Vega-Dupuis : 4 livres
Biographie
Kôji Inada fait ses premiers pas dans le monde du manga comme assistant d'Akira Toriyama, le créateur de "Dragon Ball". Son premier manga solo sort en 1987, il s'agit de la série "Kusottaredaze", publiée dans le magazine Shukan Shonen Jump. De sa première collaboration avec Riku Sanjô naît "Dragon Quest" ("Fly" pour le public français), une série très populaire au Japon. "Beet the Vandel Buster" est publié dans le Monthly Shonen Jump en 2002, c'est le succès immédiat !
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