Maxime Chattam
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Quelques chiffres
Note moyenne : 8.13/10Nombre d'évaluations : 12 226
10 Citations 6 118 Commentaires sur ses livres
Interview
Les derniers commentaires sur ses livres
Super livre, la fin est superbe !
Afficher en entier#12 #ConstanceDuPrédateur
Tome 4 avec #LudivineVancker
‼️ Coup de ❤ ‼️
C'est glauque🩸, c'est parfois immonde🤢
C'est diablement bien construit av du suspense😱& des rebondissements 🙃
📝09/10📝
Afficher en entierWaouh ! J'ai adoré ce roman où l'on se retrouve dans un univers très sombre assez rapidement. J'ai même eu l'impression de me retrouver dans un monde à la "Stephen King", je sais déjà que je vais m'attirer les foudres des fans de Stephen !
Malgré la taille de ce roman (plus de 900 pages en version pocket), je n'ai pas ressenti de longueur, tout est fluide pour un final tout aussi intense !
Mais comme je le dis souvent, chacun doit se faire son propre avis. Je lis souvent les commentaires après ma lecture !
Afficher en entierLe Signal !
Voilà un nouveau roman de Maxime Chattam de lu !!!
Je ne savais pas du tout où je mettais les pieds avec ce roman… Je n’ai pas été déçu pour tout vous dire !
La famille Spencer avec leurs 2 enfants et leur neveu pensait trouver un havre de paix en arrivant dans la petite ville côtière de Mahingan Falls.
C’est sans compter l’arrivée de drôle de phénomènes !!
Jusqu’où cette folie ira… Au départ, ce ne sont que quelques bizarreries anodines… Mais au fil des jours, les phénomènes s’aggravent à un point que personne ne peut les ignorer ; les morts s’accumulent. Le paranormal s’y met aussi… Les Spencer et la population seront-il prêts à accepter tout ceci ? En tout cas, ce qui est sûr les ados, eux, n'attendent pas que les adultes réagissent à tout... Chad, Connon, Owen, Gemma et .... Se donnent à fond dans leur quête....
J'ai beaucoup apprécié ce livre à cheval entre le Para normal, le réel, les morts, et la technologie...
Quelques longueurs qui se font vote oublier dans des scènes extrêmement bien détaillées... Attention âme sensible s'abstenir, là c'est du Chattam pour et dur 😅
Bonne lecture
Afficher en entierIci, Maxime Chattam sort de ses habitudes d'écriture et c'est plutôt rafraichissant. C'est un livre qui est très dans l'air du temps et qui témoigne de notre société et de ses problèmes.
Quand j'ai commencé à lire ce livre je m'attendais à tous, ne s'avant pas dans quoi je m'étais lancé, et je n'ai pas été déçue !
Afficher en entierIntrigue policière dans l'égypte de la fin des années 20 sortie des archives par une jeune femme actuelle elle même cachée sur fon de décor du Mont Saint Michel. On s'ennuie un peu tellement l'intrigue est improbable et longue à se développer. Ce livre là ne nous a pas transporté, à peine fait voyagé.
Afficher en entierUne superbe fin pour ce premier arc, j’ai vraiment beaucoup aimé. Je pense faire une légère pause avant d’entamer le deuxième arc mais vraiment, j’ai adoré. Très prenant.
Afficher en entierJe ne suis pas fan des autres travaux de l' autrice mais celui-ci est sympathique même si j'aurais aimé ne pas avoir a chercher la bibliographie sur son site.
Afficher en entierGénial on n’est jamais déçu avec maxime chattam
Afficher en entierUn livre que j'ai tout simplement devoré! On replonge avec l'écriture angoissante et glassante de Maxime Chattam dans ce début de trilogie! J'ai déjà hâte de lire la suite.
Afficher en entierOn parle de Maxime Chattam ici :
2020-06-09T22:21:04+02:00
2020-05-01T13:10:18+02:00
2020-01-12T08:11:52+01:00
2019-11-26T17:35:07+01:00
2019-11-11T18:05:25+01:00
2019-10-31T22:07:34+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Maxime Chattam
et autres évènements
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Editeurs
Pocket : 42 livres
Albin Michel : 28 livres
VDB : 10 livres
France Loisirs : 9 livres
LGF - Le Livre de Poche : 8 livres
Michel Lafon : 6 livres
Audiolib : 5 livres
Le Livre de Poche : 4 livres
Biographie
Tout a commencé pendant le printemps 1975, lorsque des sentiments unissant deux personnes naquit une créature unicellulaire qui neuf mois plus tard (et quelques jours de retard…) allait déboucher sur ma naissance. Le 19 février 1976 pour être exact, quelque part dans une chambre de clinique tout ce qu'il y a de plus anonyme.
C'est peut-être à cet instant que le désir d'écrire s'est manifesté, par besoin de soulager l'horrible sensation de n'être qu'un individu de plus parmi les milliards passés et présents ; pour soulager cette oppressante nudité...
Je grandis en région parisienne. Enfant discret, j'observe beaucoup, les paysages, les gens… sans les commenter.
On me considère comme un garçon solitaire. Je déménage plusieurs fois avec ma famille, je grandis parmi des adultes de tout horizon, et j'écoute leurs histoires…
Pour plus tard, certainement.
A partir de 10 ans, je me mets à l'Anglais avec ma " seconde " marraine, Ann. Cette nouvelle langue m'amuse, elle est chargée d'aventures à mes oreilles , de contrées lointaines, autant d'appels vers l'imaginaire. Mais un imaginaire palpable, quelque part au-delà des océans…
A l'école, je ne suis pas particulièrement brillant. Je fais ce qu'on m'impose, sans plus. Ma tête est ailleurs la plupart du temps, loin, très loin au travers de ces murs.
On me dit " songeur ". C'est tout naturellement que je découvre le cinéma et devient accro… Deux heures de rêves à chaque film, deux heures de folies enivrantes, comment résister ?
1987. Premier voyage aux Etats-Unis, à Portland dans l'Oregon (ça rappellera des souvenirs à certains…). Je découvre, fasciné, qu'il est possible de se sentir encore plus petit dans l'univers. Ici tout est gigantesque : les camions de pompier, les immeubles, les gens, et même les glaces !
Après deux mois sur place, je reviens totalement corrompu :
Cette terre est synonyme d'espoir. Tout y est faisable. Les rêves sont permis là-bas. A partir de là, je " m'américanise ", je souhaite y vivre plus tard. Aujourd'hui je suis en partie d'accord avec ces pensées d'enfants, cependant je vois la cruauté et le cynisme qui habitent également ce pays. Rien n'est parfait. Les rêves y sont possibles… mais tous n'y parviendront pas. Et il y a souvent un prix à payer… .
1988. Je passe Noël dans la jungle Thaïlandaise parmi la tribu Aka. Je me souviens encore de la pleine lune au-dessus des feuilles de palmier (en tout cas ça y ressemblait).
Avec ce périple, le monde devient encore plus vaste et du coup, moi, je deviens encore plus petit.
Je tente ma première expérience avec l'écriture : tenir un journal de bord.
Le résultat tient en 5 pages raturées qu'il faudrait pouvoir traduire en français, il semblerait que je ne maîtrisais pas vraiment l'orthographe et la grammaire.
1990. C'est à cette époque que je visionne le film " Stand by me " tiré d'une nouvelle de Stephen King. Cette histoire d'adolescent me subjugue, c'est exactement à ça que j'aspire, cette amitié fraternelle et ces aventures qui s'ensuivent.
Déçu par la placidité de mon existence, et lucide quant à la morosité du quotidien, je décide donc de me faire vivre des aventures d'une autre manière : l'imaginaire.
J'emprunte la machine à écrire de ma mère et je réécris le film à ma sauce, rajoutant toutes les péripéties qui me font envie. C'est ma première " vraie " expérience d'écriture et c'est ce qui marque un tournant.
Dorénavant, je peux écrire toutes les histoires que je voudrais vivre. On est encore bien loin des romans noirs que je commettrais plus tard, mais les bases sont posées.
A 14 ans, pas particulièrement en avance, je décide de fuir la réalité en tentant d'écouter pour une fois ma chère mère qui me conseille depuis 24 mois de lire ce bouquin énorme qui sent la poussière.
Je découvre la lecture avec "Le seigneur des anneaux". J'en suis tellement captivé que je décide de me lever tous les matins à 5 heures pour passer une heure dans le bain afin de lire avant l'école.
En quête d'une histoire aussi passionnante, je lis un maximum de récits de science fiction, découvrant par accident Lovecraft, Vance, King plus en profondeur, et bien d'autres.
S'ensuit le décorticage méthodique de tout ce que la terre compte de mauvaise littérature gore ces bouquins écrits en 3 jours aux titres aussi évocateurs que " Horreur déliquescente " qui m'amusent beaucoup car ils me foutent une pétoche de tous les diables.
La vie glisse autour de moi, et des autres semble t-il, pendant les années suivantes, ou j'ai la chance de pouvoir voyager et lire.
J'ai beau grandir, vieillir et me rapprocher de ce qui devrait être " l'âge de raison ", je me refuse à tirer un trait sur tous ces mondes imaginaires qui peuplent mes désirs, et je lis et écris toutes ces vies que j'aurai tant aimé vivre.
C'est alors que j'ai l'illumination : si ! c'est possible de vivre tout ça ! comme dans les films : il suffit d'être acteur.
Pendant plusieurs années, j'entretiens l'espoir de devenir comédien. Je suis le Cours Simon à Paris, tout en lorgnant vers l'Actor Studio de New-York, auquel je ne me rendrais finalement jamais.
Avec le recul, je pense que je devais beaucoup ressembler à Joey dans la série " Friends ".
Cette histoire m'aura valu quelques expériences extraordinaires néanmoins. Je me souviens encore de mes révisions du BAC dans les loges du palais des sports lors des préparations d'un spectacle de Robert Hossein sur lequel je faisais de la figuration.
C'est lors de ce spectacle que Pierre Hatet, un comédien dont la voix est célébrissime (" Doc " dans " retour vers le futur " par exemple…), lit les liasses de textes, poésies, nouvelles etc… que j'écris entre deux répétitions et me propose de me mettre à l'écriture d'une pièce de théâtre. Je trouve l'idée intéressante et m'attèle à l'élaboration d'une pièce intitulée " Le Mal ", qui, une fois achevée, sera enfermée à triple tour dans un tiroir par son auteur. En effet, " il manque quelque chose ", songeais-je à l'époque. Tout simplement de la maturité !
Depuis l'article paru dans " Le Monde " en 2002, beaucoup de personne m'ont demandé de lire cette pièce. Après réflexion, et plutôt que de laisser le texte moisir à l'ombre, j'ai décidé de la mettre en entier sur ce site, vous pouvez la télécharger depuis la partie appelée " Le labo ". Pauvres de vous.
"J'aurai ensuite la chance de faire quelques petits rôles pour la télé, dont certains téléfilms passent encore chaque année…
1998. Ma vie sentimentale est similaire à un livre de Dino Buzzati intitulé : " Le désert des Tartares ". En sortant de la projection de " Titanic ", je décide de prendre les choses en mains.
Puisque la vie ne veut pas me donner mes trois jours de bonheur amoureux et mon iceberg, je décide de me l'inventer : j'écris " Le coma des Mortels ", une fable humoristique sur la solitude dans laquelle mon personnage trouve le Grand Amour, celui qui n'existe que dans la littérature, dit-on.
Depuis, je repense souvent à cette période, à cet état d'esprit, à ce livre. J'y combinais ma passion de l'imaginaire avec la création plus " personnelle ", celle qui comble des manques, qui répond aux questions qu'on se pose. Maintenant, j'essaye de ne jamais perdre de vue cette notion lorsque je m'attelle à un nouveau roman. Combiner les deux. Travailler la forme, et le fond, ne jamais sous estimer l'implicite de son récit.
1999. pas mes plus belles années pour tout vous dire.
La comédie abandonnée, j'ère dans les petits boulots pendant plus de deux ans. Je me rappelle que même mauvais acteur je gagnais bien ma vie, et caissier dans un magasin ce n'est pas la panacée même si ça me laisse le temps de rêver à ce que je vais écrire en rentrant le soir.
Je tente de reprendre mes études de Lettres modernes à la fac, sans parvenir à trouver un consensus valable pour nous réconcilier durablement.
J'écris " Le 5éme Règne " à ce moment là (publié en 2003 sous le pseudo Maxime Williams aux éditions du Masque), c'est mon premier thriller, même s'il vire dans le fantastique, et c'est aussi le premier roman que je situe aux USA.
Automne 99 : je quitte mon boulot de veilleur de nuit que je pensais idéal pour écrire mais qui s'avère être un accélérateur de solitude plus qu'autre chose. Dans le même temps, je suppose que si je veux un jour être publié autant connaître un peu le milieu, je deviens donc libraire pour une enseigne connue…
Je n'ai encore jamais envoyé le moindre manuscrit à un éditeur, je ne m'estime pas assez content de leur qualité, je vis donc avec la candeur de ne pas savoir ce qu'est la lettre type de refus.
Fasciné par les romans policiers, l'idée d'un thriller germe en moi. Mais il me faut des bases solides, je voudrais confronter le dernier cri des technologies d'investigation avec le monde obscur d'un tueur en série, l'idée étant de tisser dans mon histoire un climat de roman fantastique sans en être un.
Je parviens à suivre une formation de criminologie pendant un an, ou j'étudie la psychiatrie criminelle, la police technique et scientifique et la médecine légale. J'assiste à des autopsies et rencontre d'éminents spécialistes pour préparer mon roman. Pendant 8 mois je partage mon temps entre ces heures de documentation et mon métier de libraire qui me permet d'en savoir un peu plus sur le monde de l'édition.
Mai 2000 : je passe mes journées en librairie pour consacrer mes soirées et mes week-ends à ce projet de thriller, ma vie sociale devient celle d'une amibe.
Je me souviens que les premiers chapitres de " L'Ame du Mal " sont écrits pendant un violent orage à Thonon-les-Bains, durant ce qui devait être des vacances.
Octobre 2001 : avec une poignée d'irréductibles pour seuls amis, je ressors la tête de ma tanière puisque " L'Ame du Mal " est achevé.
Alors fauché, je ne trouve les moyens de photocopier et relier mon manuscrit qu'à trois exemplaires : reste à bien choisir les éditeurs qui se verront le plaisir de me renvoyer une lettre de refus…
Par un soir de novembre, mon téléphone sonne et le conte de fée commence, puisque Michel Lafon m'invite dans un superbe restaurant où le fondant chocolat me fait presque oublier qu'il vient de me proposer un contrat en or.
In Tenebris " sort en mars 2003 alors que je suis déjà en train d'écrire "Maléfices" tout en préparant le suivant… Une vie rêvée…
Aujourd'hui l'année 2003 s'achève sur le troisième opus de la trilogie : "Maléfices" (à paraître).
C'est en écrivant sa dernière page que je dis adieu à ses personnages. J'ouvre un cahier vierge sur de nouvelles vies tout en ayant un regard affectueux en arrière. Quatre romans, 2000 pages et tant d'existences encrées de maux pour les faire vivre.
Bientôt la magie de la lecture opérera à nouveau : la suite de la bio est en cours, et c'est vous et moi qui l'écrivons, là, en ce moment précis.
J'aurai prochainement la joie de vous présenter de nouveaux chapitres, livres après livres...
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