Marie Darrieussecq
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Note moyenne : 6.24/10Nombre d'évaluations : 144
2 Citations 89 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
un livre inclassable ! une hallucination, un délire sous acide...! Ne cherchez pas de raisonnements...!
oui, on pense a la métamorphose de kafka...! Mais ça n'a rien à voir...! absolument rien...! Un livre décapant, libéré...(certaines scènes crus, mais épargnants les détails...) le premiers tiers du livre et franchement réussi...avec ce coté naif et décalé.
a découvrir si vous n'avez rien de mieux à lire...! ou si vous voulez reposer votre cerveau !!
Afficher en entierEn dépit des bonnes intentions de ce recueil, j'ai trouvé cette compilation de lettres peu originale. De rares récits sortent vraiment de l'ordinaire, comme ceux de Sophie Blandinières, Rokhaya Diallo, Mathias Malzieu ou encore Thibaud de Montaigu, mais beaucoup demeurent hélas sans surprise ni grande émotion.
Afficher en entierUn recueil de nouvelles publié pour les 10 ans de la collection Folio SF, qui se distingue par sa volonté de présenter autant des nouvelles d'auteurs connus que des textes plus conceptuels, revenant soit sur de grands titres de la collection (Solarius, L'univers en folie, etc.), soit menant une réflexion sur ce « qu'est » la science-fiction.
C'est donc un recueil assez hétéroclite, à la fois théorique et littéraire, dont l'intérêt se répercute en particulier dans les nouvelles inédites présentées (La route de Jérusalem, Chronos, etc.). Plusieurs textes intéressants et qui m'ont marqué à la lecture, quand d'autres me semblèrent moins pertinents. Un recueil d'anniversaires, qui vise avant tous à mettre en avant la particularité et les forces de la collection, tout en présentant un choix de textes séduisant pour les amateurs et les passionnés de Folio SF.
Afficher en entierj'ai décidé que je ne lirais que les lettres dont l'auteur m'intéressait. D'où une première fournée.
Albert Algoud, ancien prof, pour évoquer une coïncidence inattendue.
Jul (je ne sais pas qui c'est précisément), pour la meilleure des lettres que j'aurais lues dans cet ouvrage. Elle n'est pas construite puisque c'est une énumération, mais elle est tellement attachante et nous montre quelqu'un qui s'attache.
Plantu, pour ses planches vivifiantes.
Sylvie Testud : l'exposé sur le chewing-gum et ce prof inventif qui distribue, comme d'autres les remarques, des exposés à faire en 48 heures (c'était signifiant avant Internet).
Bernard Werber : lettre trop courte et trop auto-centrée.
J'en avais fini de mes choix, et me suis dit qu'il fallait faire un second round. D'où :
Charles Berling : gros bof.
Nicolas Beuglet : enfant, il lisait des livres dont vous êtes le héros !
Nicolas Mathieu : lettre pas vraiment passionnante.
Peut-être ferai-je bientôt un 3ème round, pour les auteurs qui suscitent le moins ma curiosité...
Afficher en entierUne lecture intéressante, avec des idées novatrices pour 1928 sur la condition invisible de la femme. Les digressions sont parfois confuses cependant.
Afficher en entierEn soi, cet essai n'était pas inintéressant. Seulement il peut être hors de portée. Je ne comprenais pas le fil des pensées de l'auteure, si ce sur quoi elle basait ses réflexions. Je perdais donc petit à petit le cheminement de départ. Pourtant j'étais curieuse de connaître l'opinion de l'auteure sur ce sujet qu'elle a soulevé. J'ai parfois compris quelques arguments et conclusions mais le reste m'échappait la plupart du temps et c'est vraiment dommage. J'insiste, cet essai a sans doute une grande importance et comporte j'imagine des théories très argumentées mais je n'y ai rien compris.
Afficher en entierC'est fou ce qu'un insomniaque peut essayer pour dormir...
Afficher en entier« Fabriquer une femme » était ma première incursion dans la bibliographie de l’autrice française, Marie Darrieussecq, mais certainement pas ma dernière. J’ai beaucoup apprécié la plume élégante de cette écrivaine dont le style m’a directement happée dès les premières pages.
Marie Darrieussecq y conte l’histoire de deux amies, Rose et Solange, à partir de leurs quinze ans : l’une est ambitieuse et introvertie alors que la seconde est énervée contre le monde entier et n’attend que de vivre la « vraie vie ». C’est le début des premiers vrais émois amoureux, des premières déceptions aussi, un âge dont on ne croit que les amis, c’est pour la vie et où on quitte doucement l’adolescence vers l’âge adulte.
Ces deux amies habitent l’une en face de l’autre, au sein d’un petit village basque : une dans une famille « bourgeoise » et l’autre, seule avec sa mère qui tient l’unique petite boutique à souvenirs de la bourgade. On voyagera avec elles, d’abord vers Bordeaux, puis ensuite Paris et d’autres contrées…
Adroitement, le bouquin est divisé en trois parties : la première est narrée par Rose, la seconde par Solange et les dernières, par toutes les deux. Même si c’est une histoire continue, chacune aura sa propre façon d’apprécier les faits et les situations, selon sa propre sensibilité. A aucun moment, n’apparaissent des redites ou des répétions qui auraient pu alourdir la trame.
On replonge dans les années 80 que l’autrice retranscrit parfaitement au travers de faits réels, de mode, de musique, …
Roman sur l’amitié, on ne peut s’empêcher de replonger dans nos propres souvenirs (qu’ils aient lieu ou non durant les mêmes années). Toujours juste, Marie Darrieussecq offre un très beau livre sur comment se construire en tant que femme, aux rythmes calqués sur les deux héroïnes.
Une très belle découverte !
Afficher en entierComme si être femme se pensait à l'image d'une machine. Marie Darieusecq nous livre une traversée de l'adolescence, un reflet de la femme dans les années 80. "Fabriquer" la femme à travers sa recherche de l'amour, de sa sexualité. Un langage oral parfois rude mais vrai.
Afficher en entierLe mari d'une femme a disparu. Elle peuple son absence de rêveries... On ne saura jamais ce qu'est devenu le mari... et il ne se passe rien !
Afficher en entierOn parle de Marie Darrieussecq ici :
2018-02-11T10:47:27+01:00
2017-07-05T12:39:52+02:00
2017-07-03T18:33:18+02:00
2011-11-25T08:31:23+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Marie Darrieussecq
et autres évènements
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Editeurs
P.O.L : 11 livres
Gallimard : 8 livres
Folio : 3 livres
Albin Michel Jeunesse : 2 livres
POL : 2 livres
Pocket : 1 livre
Seuil : 1 livre
Les éditions de l'observatoire : 1 livre
Biographie
Ecrivain française
Née à Bayonne le 03 janvier 1969
Fille d'un père technicien et d'une mère professeur de français, Marie Darrieussecq est élevée dans un petit village du Pays Basque au milieu des livres de la bibliothèque familiale. La littérature l'accapare dès l'âge de six ans, et ne la lâche plus depuis : bac de lettres, hypokhâgne et khâgne, Ulm, agrégation en 1992, doctorat... Son premier roman 'publiable' - selon ses propres termes - écrit en six semaines, paraît en 1996 : 'Truismes' connaît un succès immédiat, national et mondial. Est publiée en parallèle sa thèse intitulée 'L' Autofiction, un genre pas sérieux', où elle dissèque les récits autobiographiques de George Perec, Michel Leiris, Serge Doubrovsky et Hervé Guibert. Son terrain à elle, pourtant, reste le roman de fiction, même si elle reconnaît volontiers s'inspirer de choses vécues. Depuis 'Truismes', Marie Darrieussecq a écrit six romans publiés par sa maison d'édition favorite, POL, et a plusieurs projets en tête : théâtre, poésie, essai, tout la tente, et pas seulement l'écriture. Elle aime la musique, les voyages - elle envisage d'ailleurs de faire un séjour prolongé en Australie ou dans les Aléoutiennes - la science, sa famille, et se dit 'athée, féministe, et Européenne'. Marie Darrieussecq, attirée par l'exil que représentent les 'bouts du monde' qu'elle a arpentés - Islande, Patagonie, Tasmanie -, vit à l'écart du milieu parisien mais revient en 2007 pour nous présenter sa dernière oeuvre puissante et délicate, 'Tom est mort'.
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