Jean-Michel Delacomptée
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Note moyenne : 6.43/10Nombre d'évaluations : 7
0 Citations 7 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Jean-Michel Delacomptée analyse avec un oeil contemporain le roman "La princesse de Clèves. Il commente, analyse et recontextualise cette oeuvre.
Afficher en entierJe n'ai pas aimé ce livre, d'une part parce que je ne suis pas fan du genre autobiographique, et d'autre part parce que je n'ai pas trouvé de profondeur à l'écriture. Si l'écriture m'avait plu, j'aurais certainement apprécié le livre, même si ce n'est pas mon genre de prédilection.
Afficher en entierUn analyse du texte d'origine menée de façon claire et intéressante. Cela peut aider à mieux comprendre l'oeuvre.
Afficher en entierje suis mitigée, le début ma littéralement emportée mais vers la moitié il m'a lassé.
De choses évidentes au départ il en est devenu lassant de répétitions qui m'ont parues longues, comme les railleries d'une vieille femme aigrie, sur le monde qui l'entoure!
Afficher en entierAu XVIème siècle, en Hongrie, Judit est la fille du Comte Gabor, féroce joueur d’échec, mais qui ne prend pas au sérieux la menace Ottomane. Bien que jeune, Judit s’avère être elle aussi une très bonne joueuse d’échec et est surtout animée par son désir de liberté et de sauver son peuple. Elle aimerait plus que tout remplacer son père au pouvoir, mais l’homme bien que quasiment toujours saoule, est encore vigoureux. Mais Judit n’a pas dit son dernier mot.
Même en faisant quelques recherches, je n’ai pas trouvé de traces historiques de cette Judit que je suppose donc totalement inventée. Mais même si elle n’a pas existé, ce personnage est un emblème fort de lutte pour la liberté et de l’intelligence tactique et militaire de certaines femmes prêtes à tout.
Le roman se lit vraiment très bien, avec un côté baroque qui peut faire penser à Dracula de Bram Stoker (sans le côté fantastique) grâce aux vieux châteaux de Hongrie. Les échecs ont une place très importante dans ce récit. Non seulement c’était un jeu encore récent à l’époque, mais les parties (et surtout LA partie) est détaillé avec finesse. Ce passage m’a d’ailleurs fait pensé à L’Échiquier du mal de Dan Simmons. L’histoire en elle-même est assez sombre, parfois cruelle, mais portée par un souffle qui nous empêche de quitter le livre. On se prend d’affection pour Judit, pas vraiment belle, complexée, qui pourtant a une intelligence et une volonté extraordinaire. J’ai par contre trouvé la dernière partie un tout petit peu brève, certes il est clair que l’auteur souhaitait mettre en valeur les échecs, mais on a du mal à vraiment suivre l’héroïne tellement les faits postérieurs se succèdent rapidement.
Dans l’ensemble, j’ai trouvé que c’est un bon roman. Je pense qu’il est plus agréable à lire lorsqu’on a des connaissances aux échecs, ceci dit, pas besoin d’être un génie pour pouvoir suivre. Un roman donc surprenant, mais prenant !
Afficher en entierUn livre qui se laisse lire, sans plus hélas pour ma part.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Jean-Michel Delacomptée
et autres évènements
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Editeurs
Gallimard : 6 livres
Robert Laffont : 3 livres
Arléa : 1 livre
Folio : 1 livre
Fayard : 1 livre
Éditions du Cerf : 1 livre
Presses de la Cité : 1 livre
Biographie
Jean-Michel Delacomptée est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages souvent primés, dont de nombreux portraits littéraires consacrés notamment à Ambroise Paré, Saint-Simon, La Bruyère, La Fontaine, de romans comme La Vie de bureau, Le Sacrifice des dames ou Cabale à la cour, et de plusieurs essais, dont Notre langue française, Grand Prix Hervé Deluen de l’Académie française. Faisant un pas de côté, il a choisi pour cadre de ce nouveau roman, hommage aux films noirs américains, sa région, la Normandie.
source : Presses de la cité
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