Asumiko Nakamura

C'est beau, c'est poétique, les dessins sont magnifiques. Surement un des meilleurs mangas du genre.

Alors que dire.... Tout d'abord les dessins sont très particulier, il n'y a pas de surplus c'est très simple. Je n'ai pas aime les dessins, les personnages semblent deformed selon les plans, je n'ai vraiment pas accroché a ce "vide" et au trait.

Ensuite l'histoire, ben ça a l'air bien, mais j'avoue que par moment j'ai eu beaucoup de peine a suivre, j'ai eu la sensation que ca saute du coq a l'âne et qu'il manque des infos pour bien comprendre, peut être que c'est fait exprès... J'ai les deux tomes, donc je vais lire la suite mais je dois avouer que je regrette un peu mon achat

Le dessin est juste terrible, simple, mais suffisant, avec une longueur des membres cette finesse donnée aux personnages féminins qui me fascinent, tandis que les hommes ont plutôt une largeur (d'épaules) accentuée.

L'histoire reste assez classique dans le genre polar, pour l'instant avec une ambiance mystérieuse et intrigante bien tenue.

Cette série avait de tellement de bons avis que j’ai eu envie de la découvrir. Elle a été à la hauteur de mes attentes!

Dans le premier tome, nous n’en savons pas tant que cela sur les perso mais c’est justement l’objet d’une de leurs disputes. de plus il y a beaucoup de temps qui se passe dès le tome 1, puisqu’il couvre 1 an! J’aime quand on sent le temps passer pour permettre aux relations d’être plus profondes mais ici j’étais un peu étonné, ça m’a fait l’effet inverse. Ils sont ensemble depuis longtemps mais on dirait qu’ils viennent de se rencontrer.

Heureusement le tome 2 et 3 ont plus de continuité et rentrent plus dans les détails. Le tome trois était mon préféré parce qu’on en apprends plus sur les personnages et qu’ils communiquent plus.

J’ai bien aimé le contraste entre les personnalités d’Hiraku et Rihito. Hiraku était drôle avec sa spontanéité.

En ce qui concerne Hara, le prof, je ne suis pas super fan (car j’ai du mal avec l’écart d’âge et le prof qui crush sur des élèves) mais on sent que l’autrice aime ce personnage. En soit il est un outil scénariste qui sert à rapprocher le couple principale. Concrètement, il aurait pu être vraiment limité mais il ne l’est pas dans les faits donc why not. 🤷‍♀️

Pour conclure, c’est une histoire fraîche avec un style graphique vraiment original! J’avais un peu peur de ne pas aimer mais finalement j’ai adoré l’expressivité du trait! Ça fait du bien de voir un manga qui se détache autant graphiquement.

C’était si bien! J’ai eu peur au début, je ne voulais pas une rupture ! Mais les sentiments sonnent tellement juste et on comprends les personnages. Leur amour reste si pure et puissant!

Trop d’émotion dans ces tome j’ai mal au coeur!

Autant j’avais bcp aimé la première trilogie, autant là, j’ai eu un gros coup de cœur pour ces deux tomes! C’était si beau, j’ai eu des frissons et de petites larmes de joie.

Je n’ai pas lu OB mais je n’ai pas eu de problème de compréhension. Peut être deux trois éléments sur les persos en arrière plan, je n’ai sans doute pas vu qu’il y avait une ref mais je trouve que cela peut se lire sans avoir lu OB. En fait je n’avais pas compris au début qu’il y avait OB au milieu…. Et après je n’ai pas eu la patiente d’attendre de me les procurer avant. Au pire cela me fera une bonne raison de tout relire quand j’aurai trouvé OB!

Hara a un glow up même si on le voit peu. Ça me rend curieuse, j’ai envie de lire le manga sur lui même si je ne suis pas sûr d’aimer.

[ Je remercie Hana Éditions pour l'envoi de ce service presse. ]

Voilà une lecture à ne pas mettre entre toutes les mains. Ce récit mature, parfois dérangeant contient des passages en tension, un érotisme déroutant et une sensualité très particulière, comme seule l’autrice en a le secret. C'est assez sombre et violent psychologiquement et surtout l'inceste est au cœur du récit. 

Je dois avouer que voir le gamin regarder son père et son oncle coucher ensemble m'a dérangé mais j'ai complètement été refroidi lorsqu'il les a rejoints La par contre, c'est la limite à ne pas franchir. 

Sinon le côté très dramatique de cette histoire est assez poignant puisque derrière une haine se cache un désir malsain. 

L'introduction de la femme de Shinobu va mettre encore plus de drame puisqu'elle va révéler la vérité. 

La finalité de ce couple arrache le cœur car même si leur romance est contre toute morale et malsaine, on s'attache à eux. 

Le chapitre bonus sur Kaname le fils montre qu'il a été marqué au fer rouge puisqu'il reproduit la même chose peut-être pour garder ce diabolique lien avec son père. 

C'est un manga dont je ne ressors pas indemne. Il est extrêmement immoral et incestueux pourtant on ne peut que se prendre dans la tête le côté désespoir et dramatique qui transpire de chaque page.

[ Je remercie Hana Éditions pour l'envoi de ce service presse. ]

C'est un manga dont je ne ressors pas indemne. Il est extrêmement immoral et incestueux pourtant on ne peut que se prendre dans la tête le côté désespoir et dramatique qui transpire de chaque page.

Les thèmes abordés peuvent être dérangeants. Une lecture à ne pas mettre dans toutes les mains

Après être tombé par hasard sur le film, que j'ai beaucoup aimé, j'ai décidé de me lancer.

J'ai trouvé les personnages adorables, l'histoire est simple et on se laisse facilement emporter dans cette douce aventure.

Même si certain passage avec les professeurs était plutôt malséante, j'ai tout de même apprécier ma lecture.

Le design des dessins peut être surprenant au début, mais au fil de ma lecture j'ai fini par mis habitué, et même trouver que ça leur allait bien ^^ 

J'ai acheté ce livre en connaissance de cause et en ayant déjà lu des œuvres d'Asumiko Nakamura. Et même en sachant tout cela, ce manga a réussi à me mettre mal à l'aise. Il est pour un public averti +++ (il y a une toute petite note d'avertissement sur la quatrième de couverture, annonçant du vi0l, de l'inceste et du sexe explicite).

Ça, je m'y attendais. En lisant le résumé, on le sait. Ce qu'on ne sait pas, ce à quoi je ne m'attendais pas, c'est une seule et unique scène que je vais spoiler ici sans la masquer parce que je trouve ça vraiment très important de prévenir : la scène où le fils de Shinobu rejoint son oncle et son père pour coucher avec eux. Cette scène là franchit ma limite (malgré la beauté d'une case en particulier).

Maintenant que cela est posé, que vous savez dans quoi vous vous embarquez, voilà mon avis sur ce tome 1 :

Je m'attendais à un récit dérangeant rien que par le fait qu'il se base sur un vi0l. J'ai conscience que c'est quelque chose qui me dérange, que je ne cautionne pas, que je ne pardonne pas même sous couvert d'amour partagé jamais avoué. Ça reste un vi0l. Ajoutez à cela l'inceste entre frères (qui ne sont pas du même sang), on part sur une œuvre amorale, violente dans ses thèmes et particulièrement ambivalente.

L'inceste entre les deux frères ne me dérange pas contrairement au vi0l. L'inceste entre un père et son fils, ça, je ne peux pas, même en fiction.

Si j'oublie cette scène et que je reste focalisé sur la relation entre Shinobu et Takezo, Asumiko Nakamura nous dépeint une histoire dramatique entre deux êtres proches physiquement mais dont la société, les castes, le regard des autres, éloignent inexorablement. La froideur dont fait preuve Shinobu envers son frère, que ce soit quand ils étaient enfants, adolescents et maintenant adultes, trahit son application à ne pas être impliqué avec lui. Une forme de protection face à l'évidence des sentiments de Takezo qui n'a que faire de cette morale sociale et de la bienséance culturelle. Tout comme Takezo obéit aveuglément à Shinobu pour ne pas lui déplaire plus qu'il n'y parait, dans un espoir secret de, peut-être, réussir à lui faire plaisir ou au moins atténuer ce sentiment d'être "trop", pas à sa place, un déchet dans l'environnement de son amoureux interdit.

L'histoire navigue largement entre ces deux rives, entre tentation et interdit, froideur et passion muselée, attirance et révulsion, devoir et envie. C'est là toute la subtilité du récit, la tension qui s'en dégage, et la profonde tristesse de cet amour impossible, inavouable et immoral.

J'ai particulièrement aimé les moments où on remonte dans le passé pour suivre Takezo et Shinobu plus jeunes. C'est pendant ces sauts dans le temps qu'on distingue l'absolu honnêteté de Shinobu à travers son masque de glace, l'intérêt et l'attachement qu'il porte à son frère sous ses paroles acerbes et ses gestes mesurés, ainsi que l'affection à son égard qu'il distille en de fragrances si subtiles que Takezo n'a rien vu. C'est ce que j'aime chez Asumiko Nakamura, sa façon singulière d'induire un contraste, une ambivalence entre l'apparence et les sentiments, de glisser des indices aussi discrets que révélateur dans ses dessins.

J'ai trouvé l'histoire poignante, voire déchirante, avec des aspects dérangeants, des personnages écorchés et maladroits dont le désespoir guide les gestes, mené par un désir noyé de regret et remord. C'est complexe, tout en des nuances de gris car rien n'est ni tout noir ni tout blanc.

Bref, j'ai aimé cette lecture très particulière malgré un passage condamnable et j'ai hâte de lire le deuxième tome. Malgré tout, ce livre ne doit pas être lu à la légère et je ne le recommanderais pas pour n'importe qui. Il est beaucoup trop hors sol de la morale pour ça.

Voilà que se clôture l'incroyable histoire du manga "Doukyuusei" après de nombreux tomes et un spin-off des plus délicieux, il est maintenant temps de dire au revoir à Rihito et Kusakabe. "Blanc" marque leur début dans le monde des adultes et les questionnements qui vont avec. On peut maintenant partir l'esprit tranquille et les laisser gérer leur histoire d'amour.

J'ai trouvé ce premier tome très mâture par delà les questionnements abordés. Nos deux protagonistes font un grand pas dans la vie d'adulte avec des choix d'avenir professionnel à mettre en place mais la distance pèse elle aussi dans la balance de leur futur à deux.

Des choix sont fait, des erreurs sont commises, mais Rihito et Kusakabe ont la chance d'être bien entouré. Leurs proches sauront les raisonner et les guider tout doucement vers ce qu'ils désirent vraiment.

Car s'il y a bien une chose que se premier tome m'a transmis, c'est qu'il ne faut pas oublier nos désirs profond pour une quelconque question de "est-ce raisonnable ? Ou bien "comment va-t-on me regarder ?". Nous avons le droit d'être égoïste et de réaliser nos rêves malgré les obstacles qui se présentent devant nous.

En conclusion, c'est un premier tome qui m'a totalement convaincue et qui m'a rendue très nostalgique des moments passés avec nos beaux jeunes hommes. Les dessins ont toujours leur singularités qui peut en dérouter certains mais c'est ce qui donne tout le charme à ce manga d'une grande beauté.