Gunnar Staalesen

J'avais découvert Varg Veum dans son 7e roman, j'ai donc décidé de commencer au début pour suivre un peu les aventures de cet énergumène.

Tout d'abord, un mot sur l'écriture que j'adore : Staalesen est juste et surtout drôle. Son écriture est vraiment plus travaillée que chez beaucoup d'auteurs scandinaves.

Varg Veum est tout aussi drôle que son créateur, un homme désabusé qui prend la vie comme elle vient. J'ai beaucoup apprécié son personnage. Tous les personnages sont assez réalistes et travaillés, j'ai donc vraiment eu l'impression d'être dans la réalité.

Quant à l'histoire en elle-même, j'avais vaguement des doutes et j'ai découvert peu de temps avant l'annonce officielle qui avait fait quoi à chaque fois. Une histoire bien menée au final puisqu'on ne voit pas trop les détails venir.

Ce premier tome m'a donc donné envie de découvrir la suite.

Gunnar Staalesen est désopilant dès le début du roman. A souligner le talent du traducteur qui a réussi à retranscrire avec une belle précision l'humour de l'auteur.

Un Veum très moyen, autour d’un enfant ballotté, suspecté

De meurtres plusieurs fois . On a du mal à entrer dans un sac de noeuds constitué de réseaux familiaux et géographiques complexes. Pas inoubliable.

J'ai vraiment adoré ce thriller, bien construit, bien écrit, avec des personnages dignes de ce nom. J'ai découvert Stavanger et ses environs, et ait suivi avec plaisir Var Veum dans cette enquête.

La série m'a énormément plu, avec cette saga à la fois historique, familiale, pleine de rebondissements et d'humanité. Un grand cru.

Bon petit policier sympathique à lire ! Rien d'exceptionnel mais un bon moment de lecture tout de même !

Je n’ai pas accroché au style d’écriture, mais aussi à l’histoire en elle même. Je n’ai malheureusement ressentit aucun suspense dans ce livre, disons que ce n’est pas ce que j’appelle un livre original. De plus j’ai trouvé le personnage principal légèrement détestable notamment la description sur la plupart des poitrines qu’il croise même des jeunes filles. Bref c’est une déception pour ma part.

Intrigue très bien ficelée qui mérite d'être découverte. J'ai adoré cet ouvrage qui était une decouverte

25 ans après la disparition restée inexpliquée de sa fille, trois ans à l’époque, une mère tente le tout pour le tout et engage Vag Veum, un détective privé alcoolisé. Ce dernier, luttant lui-même contre ses propres démons liés à la mort de sa compagne trois ans plus tôt et son penchant pour la bouteille, va tenter de retrouver les protagonistes de l’époque et refaire l’enquête. Pour en arriver à la conclusion que les roses ne meurent jamais...

La ville de Bergen, la vie en communauté à la fin des années 70, une mère brisée, un enquêteur guère plus en forme, un flot de personnages secondaires, des flashbacks fréquents 25 ans en arrière… Voici les ingrédients de cet honnête polar norvégien qui voit le héros (Vag Veum) enchaîner inlassablement et méthodiquement les interrogatoires de tous les protagonistes.

Parfois fastidieux, souvent prenant.

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"Deux personnes s’enguirlandaient avec enthousiasme ailleurs dans le bâtiment, sans qu’il fut possible de déterminer l’objet du litige. Il n’était à coup sûr pas de nature théologique."

"Malheur au gars qui ne pouvait pas rendre la marchandise. L’avoinée qu’il recevait n’incitait pas ses copains à appeler les flics, mais plutôt les urgences."

"Je tirai deux ou trois billets de mon portefeuille et les posai sur la table entre nous.

« Une avance. »

Il les regarda en hochant la tête, mais sans les toucher.

« Et les petits caractères en bas de page ? »"

Ce roman est un véritable tableau de l'histoire de Bergen et permet d'avoir une idée d'à quoi peut ressembler la vie pour les norvégien.nes des différentes classes sociales dans les années 1900. J'ai commencé cette saga avant un voyage en Norvège et je dois dire que j'ai apprécié découvrir une partie de l'histoire politique et sociale à travers ces nombreux personnages fictifs. Je continue! :)