René Manzor

J’ai adoré cet excellent thriller. Même si je suis et aime beaucoup cet auteur depuis le début, c’est toujours une bonne surprise. Dès les premières pages, René Manzor, m’a embarquée dans son univers. Les deux personnages principaux sont hyper attachants, même si le Commandant Novak Marrec est un flic détestable au possible au début de l’enquête, on ressent vite de l’empathie pour lui quand on apprend rapidement ses blessures. L’autre, c’est le Capitaine Julie Fraysse, femme de caractère en pleine crise familiale. Autant dire que pour ces deux-là, travailler ensemble, ne va pas être une partie de plaisir. Un meurtre horrible va à nouveau avoir lieu avec un mode opératoire quasi identique à des meurtres perpétrés deux ans plus tôt. Dès lors, on va être entrainé dans une enquête haletante et passionnante. A chaque fin de chapitre, j’étais happée par le suivant. Même si, au milieu du roman, j’avais deviné, sans en être sure, l’identité du meurtrier, cela n’a pas du tout entravé mon plaisir de lecture. De plus, j’ai tout de même été manipulée jusqu’au bout par l’auteur sur une autre partie du récit.

Premier livre de René Manzor, je croyais d'bord avoir commencé un thriller avant de me rendre compte qu'il s'agissait plutôt d'un thriller fantastique et j'avoue que j'ai beaucoup aimé. Il m'a fait penser sous certains aspects à Les âmes vagabondes de Stephenie Meyer. Un très bon moment de lecture.

Je découvre l'auteur. Très bonne lecture.

"L'ombre des innocents" de René Manzor nous entraîne dans les méandres d'un thriller captivant, à la hauteur des attentes suscitées par cet auteur à succès. Le roman se distingue par un style d'écriture impeccable, une trame minutieusement élaborée, un suspense haletant, et une conclusion qui ne manque pas de surprendre.

Dès les premières pages, l'intrigue se déploie dans les couloirs du bureau d'un éditeur parisien, offrant une immersion rapide et efficace dans l'univers du roman. René Manzor ne perd pas de temps pour plonger le lecteur dans une histoire où l'accusation de meurtre vient troubler la quiétude de la romancière Marion Scriba. Les éléments s'alignent avec précision, créant un rythme effréné et addictif.

La force du roman réside dans la rapidité de la chasse à "la femme" accusée, une course contre la montre qui amplifie le suspense à chaque page. Manzor tisse une toile où les rebondissements se succèdent, alimentant la tension tout au long de l'enquête. Le final, clôturant brillamment cette traque effrénée, offre une bonne conclusion, où tous les fils de l'intrigue sont soigneusement noués.

Cependant, malgré ces qualités indéniables, j'ai ressenti une légère nostalgie pour ce "petit plus" qui ferait de ce thriller une œuvre véritablement exceptionnelle. René Manzor livre une histoire impeccable, mais la recherche d'une touche distinctive, d'une singularité marquée, me laisse un peu sur la faim.

Ce roman demeure toutefois un incontournable pour les amateurs du genre. René Manzor nous offre une plongée palpitante dans un univers qui propulse le lecteur au cœur d'une traque implacable. Si, pour moi, l'ouvrage ne révolutionne pas le genre du thriller, il s'inscrit indéniablement parmi les œuvres à découvrir, portées par un talent narratif indéniable et un sens aigu du suspense.

En conclusion, "L'ombre des innocents" est un thriller solide qui saura satisfaire les amateurs du genre. René Manzor offre une expérience de lecture captivante, mêlant habilement suspense et action. Le roman reste un ajout notable à la bibliothèque de tout passionné de thrillers bien construits.

"Du fond des âges" de René Manzor s'impose comme une véritable pépite littéraire, captivante du début à la fin. René Manzor, maître du suspense, dévoile une fois de plus son talent incontestable à tisser des récits incroyablement efficaces.

Dès les premières pages, le lecteur est plongé dans l'univers envoûtant de la Nouvelle-Zélande, avec ses traditions et la splendeur glacée des paysages de l'Antarctique. L'auteur érige un décor à la fois majestueux et mystérieux, où la blancheur immaculée contraste avec la noirceur du mal qui s'apprête à surgir de l'ombre.

L'intrigue se construit avec une habileté remarquable, déployant ses fils narratifs de manière à maintenir un suspense addictif. Chaque chapitre est soigneusement agencé, incitant le lecteur à poursuivre sa lecture frénétique pour démêler les mystères qui se dessinent au fil des pages.

La plume de René Manzor se révèle à la fois acérée et délicate, s'adaptant parfaitement à l'intensité du récit. L'auteur excelle dans la création d'une atmosphère à la fois angoissante et envoûtante, plongeant le lecteur au cœur d'une expérience littéraire immersive.

L'histoire elle-même, riche en rebondissements, oscille entre le thriller, le suspens et le fantastique, offrant une palette d'émotions variées. La dualité entre la beauté glaciale de l'Antarctique, de la Nouvelle-Zélande et le mal ancestral qui s'y insinue de partout, crée un contraste saisissant, renforçant l'impact de l'histoire.

Les personnages, notamment Nateo, le jeune garçon porté disparu, et Marcus Taylor, l'explorateur énigmatique, sont profondément travaillés, ajoutant une dimension humaine à cette aventure surnaturelle. Les questionnements sur la disparition de Nateo et la mission cauchemardesque en Antarctique tissent un lien complexe qui intrigue et captive.

En conclusion, "Du fond des âges" s'impose comme une lecture inoubliable, où le talent narratif de René Manzor atteint son apogée. Entre suspense, mystère et exploration des profondeurs du mal, ce roman offre une expérience littéraire qui saura marquer les esprits des amateurs de thrillers captivants. Une fois de plus, René Manzor confirme sa place parmi les maîtres du genre.

Deuxième roman de René Manzor pour moi et de nouveau un grand plaisir de lire cet auteur. Son premier livre était très "fantastique" et celui-ci nous plonge dans l'étrange. Jusqu'au bout ce livre nous fait ressentir un tas de sensations. On peut le lire avec en musique de fond la musique d'Erik Satie jouée pas Olga Scheps. Fan de Manzor.

Gros coup de coeur pour ce thriller de René Manzor. On y retrouve Dahlia Rhymes en enquêtrice du FBI dans ce roman tout en rythme. Très psychologique, ne vous laisse pas indifférent. On en redemande.

L'après Christ raconté par René Manzor. J'ai été captivé par ce récit du début à la fin par cette histoire qui restera un mystère pour l'éternité mais qui narré par l'écrivain semble tellement réel. Un livre à conseiller, croyant ou pas.

Encore un roman de René Manzor que j'ai beaucoup apprécié, il est pourtant parfois très dur quand il s'agit des crimes d'enfants mais il y a aussi des sentiments. J'ai relevé cette phrase dans le livre qui pourrait le résumer :"Ce qu'on imagine est parfois mieux que la réalité".

J'ai eu beaucoup de mal a me plonger dans ce livre et c'est au bout de la troisième fois que j'ai réussi. L'histoire est sympa en soit mais elle ne happe pas le lecteur directement, la mise en place est plutôt longue. Les évènements restent prévisibles, la fin du livre aussi malheureusement, ce qui fait que ça rend le livre d'autant plus long a mes yeux. La fin n'est pas une véritable fin pour moi, elle laisse place a l'interprétation certes, mais j'aurais aimé quelque chose de plus clair. Hormis ça la plume est agréables, les chapitres bien proportionnés et l'univers même de l'enquête ( a savoir les rites funéraires de diverses religions et croyances ) est plutôt sympa !