Claudine Galéa

Un livre très prenant sur le thème des sans-abri dans le métro. Un livre qui nous concerne tous, nous et notre façon de les voir.

Bien sûr c'est romancé mais l'histoire est belle et fait réfléchir.

De plus la façon d'écrire de l'auteur est parfaite avec ce récit à la première personne.

Les seules choses m'ayant gênée sont les changements d'époque qui ne sont pas toujours très clairs.

On voit bien le contraste entre la superficialité et les sans-abris à travers le discours de cette jeune fille mais également à travers les réactions et remarques qui peuvent être faites par tous les gens l'entourant.

Un roman qu'il faut lire et qui fait vraiment réfléchir sur notre comportement vis-à-vis de tout ceux que l'on croise un peu partout sans les voir.

Personnellement, ce livre ne m'a pas plu. Les changement d'epoque n'etait pas assez claire, je trouve que l'auteur aurait pu approfondir le vaste sujet qui entour la pauvreté ce qui n'a pas été le cas et je n'aime pas le style d'écriture, car il est compliqué et répétitif, ça m'a agacé.

C'est une belle histoire d'amour mais le fait qu'il n'y est pas de majuscule m'a beaucoup perturber

C'es beau, bien écrit et sublime, autant dans son message que dans sa fin.

Impossible à résumé ou décrire, c'est un livre qui se dévore et qu'on ne lâche pas, qui nous prend au tripes et où l'on retrouve chacun une petite partie de soi.

Un chef d'oeuvre.

Une pièce de théâtre avec un sujet poignant et une focalisation sur la femme de la photo et non l'homme. L'écriture est probablement le sujet le plus important de la pièce.

Une réécriture de conte particulière sous forme de théâtre contemporain.

J'ai été perturbé par le choix de l'auteur quant à la mise en scène.

Celle-ci est très libre et il y a une absence complète de ponctuation. On est rapidement dérangé mais cela va avec l'ambiance de la pièce et on s'en accommode également rapidement.

J'ai tresclaorement préférée cette réecriture a celle du Petit Chaperon Rouge...

Celle-ci était bien plus intéressante et amusante a lire.

Ce jour là, Cerise a enfilé sa robe préférée rouge cerise et elle assiste malgré elle à un drame dans le métro, drame qui arrive au début du roman et dont elle va nous expliquer les aboutissants, son ressenti et surtout celui des autres, dans le métro comme celui de ses parents, de son entourage et de sa meilleure amie Clara. Le rouge c’est également la chaleur, l’atmosphère étouffante, les coups de chaud d’un SDF qui va faire basculer toute la rame par son malêtre et sa souffrance.

J’ai bien aimé ce roman par les aller-retour de l’auteur même si on devine assez vite ce qu’il va se passer. L’univers des SDF et notamment ceux du métro qui viennent faire la manche sont décrits avec vérité autant que celui des passagers, indifférents, agacés et parfois compatissants. Un sujet ô combien brûlant surtout l’été lorsqu’il fait chaud et que les centres d’hébergement se font plus rares.L’été, les médias parlent plus des dangers de la canicule sur les personnes âgées que sur les sans abris mais l’été reste pour eux l’enfer comme le dit « Z’yeux verts ».