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Christopher Isherwood

Auteur

33 lecteurs

Activité et points forts

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.3/10
Nombre d'évaluations : 10

0 Citations 9 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Christopher Isherwood

Sortie Poche France/Français : 2013-11-06

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par pheallys 2011-04-10T12:36:22+02:00
Un homme au singulier

J'ai été un peu déçue par ce livre, probablement parce que j'avais vu le film - qui est vraiment très bien - avant. Le film tourne l'histoire différemment, ce qui fait que je ne pouvais m'empêcher de comparer.

Je conseille donc de le lire avant de voir le film! (d'une manière générale, vaut mieux lire l'original avant l'adaptation, je suppose ...)

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Commentaire ajouté par Bouboule 2011-09-26T21:24:43+02:00
Un homme au singulier

Contrairement aux commentaires précédents j'ai apprécié le livre! Je l'ai lu avant de regarder le film et ça a vraiment été un coup de foudre... Je ne sais pas vraiment pour quoi, je me suis prise d'amitié pour les personnages, surtout évidemment ce pauvre être qui ère depuis la mort de son meilleur ami, de son compagnon de route.

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Un homme au singulier

https://lamouchequilouche.wordpress.com/2016/07/09/un-homme-au-singulier-christopher-isherwood/

Un Homme au Singulier, c’est tout d’abord A Single Man, film découvert par hasard sur une obscure chaîne appelée ARTE. En version sous-titrée, s’il vous plaît. Pas besoin de dire que je suis immédiatement tombée amoureux de la patte rétro de ce film, pas besoin de dire que j’ai filé m’acheter le roman.

Un roman que j’ai mis plus de deux ans avant d’avoir le courage d’ouvrir.

Et boum, claque dans ta face. (enfin la mienne, du coup.) J’avais un peu peur concernant l’écriture du roman, la maison d’édition m’impressionnait un peu. Pour moi, Grasset c’est un peu la maison des textes très compliqués mais surement grandioses. J’avais peur de tomber là dessus, sur un roman de génie mais malheureusement pas compréhensible de tous.

ET BIEN NON !

J’ai été joie. Parce que Isherwood, il écrit quand même foutrement bien. C’est beau, poétique. Oui, c’est beau. Faisons un parallèle avec le film (il n’y a que ça de vrai) : ce dernier est très porté sur le jeu des couleurs, s’accordant avec les sentiments de notre personnage principal, Georges. On pourrait penser, en vu du sujet abordé, qu’Un Homme au Singulier peut être très fade, voire même redondant. Et bien c’est faux, parce que pour avoir une redondance, il faut une écriture à son image. Or, la plume d’Isherwood n’a rien de naze, d’atroce ou de redondant. La plume d’Isherwood, c’est de l’or dans un stylo, c’est tout plein de choses réunies en un seul et même endroit : ce roman. Chaque phrase semble pensée, construite et articulée comme une partition de musique. Il faut que ça sonne juste, il faut que ça sonne beau.

Nous avons alors affaire à une partition de maître, jouée avec brio par George, par cette narration magnifique. Il n’y a pas de je, dans cette histoire, mais ça aurait pu. Nous, lecteurs, sommes plongés dans les réflexions intimes cet universitaire mis à mal par la vie, par cette société américaine emprisonnée dans ses tabous, le regard inquiet tourné vers le bloc soviétique. George est un homme infiniment triste, sortant difficilement du deuil de son amant. George semble uniquement composé de souvenirs et de mélancolie d’un passé meilleur. Durant ces vingt-quatre heures dans lesquels nous le suivons, on finit rapidement par comprendre que ça sera ses derniers vingt-quatre heures. Et pourtant, toujours sous le doux regard de la fatalité, il y a de nouvelles rencontres, de nouveaux espoirs. Ce qui est génial avec ce roman, c’est qu’il n’y a aucun justement sur les choix de George. Oui, il est homosexuel. Oui, il est dépressif. Oui, il aime les partenaires bien plus jeunes que lui. Le jugement se porte sur la triste condition féminine de sa voisine, sur les conditions politiques (et je reviendrais la merveilleuse scène de la voiture), sur les préjugés d’une société… George est intelligent, observateur. Tout se ressent dans cette narration si expressive. Et on rit, et on pleure !

Un Homme au Singulier est un roman qui touche tout en douceur, sans réellement nous secouer. La fille avait été un coup de coeur, et le livre bien plus encore. Je le conseillerai facilement à tous, parce qu’il est beau.

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Commentaire ajouté par vincent-laurent 2018-07-29T15:33:14+02:00
Adieu à Berlin

Christopher Isherwood nous apporte son témoignage de contemporain vivant à Berlin au début des années trente pendant la montée du nazisme et l’installation d’Hitler au pouvoir, à travers plusieurs personnages et situations, parfois cocasses. Personnellement, on ne passe pas loin d’un petit chef d’œuvre, néanmoins, il manque à mon sens un petit quelque chose qui m’a laissé sur ma faim.

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Commentaire ajouté par Nath-14 2019-11-26T20:57:29+01:00
Un homme au singulier

Un livre que j'aurais préféré ne jamais lire. Ou plutôt, je n'aurais jamais du le lire en ayant en tête le film ! Film que j'ai adoré, pour sa douceur, sa sensualité particulière (ces jeux de lumière !), le jeu des acteurs qui a su rendre les personnages attachants malgré leurs défauts humains... Je n'ai rien retrouvé de cela dans le livre. Ces deux œuvres n'ont rien en commun l'une avec l'autre, si ce n'est le scénario. Il ne s'en dégage pas du tout la même chose.

Dans le roman, Georges est odieux. Ecoeurant. Certes, le deuil le blesse, mais il en devient un abominable bonhomme, et on se demande même s'il a été un jour capable d'amitié avec Charlotte ! Ses sentiments, ses émotions envers son défunt compagnon sont salies par l'aigreur, m'ont laissé un sale goût dans la bouche. Autre chose exaspérante avec Georges : il s'écoute beaucoup trop parler...

Toute l'élégance du personnage du film est évaporée.

J'ai été incapable d'apprécier ce roman, mais je dois avouer que l'influence du film n'y est pas pour rien... A lire si l'on n'a pas vu le film (ou que l'on ne l'a pas apprécié xD !)

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Commentaire ajouté par Nath-14 2019-11-26T20:57:51+01:00
Un homme au singulier

Un livre que j'aurais préféré ne jamais lire. Ou plutôt, je n'aurais jamais du le lire en ayant en tête le film ! Film que j'ai adoré, pour sa douceur, sa sensualité particulière (ces jeux de lumière !), le jeu des acteurs qui a su rendre les personnages attachants malgré leurs défauts humains... Je n'ai rien retrouvé de cela dans le livre. Ces deux œuvres n'ont rien en commun l'une avec l'autre, si ce n'est le scénario. Il ne s'en dégage pas du tout la même chose.

Dans le roman, Georges est odieux. Ecoeurant. Certes, le deuil le blesse, mais il en devient un abominable bonhomme, et on se demande même s'il a été un jour capable d'amitié avec Charlotte ! Ses sentiments, ses émotions envers son défunt compagnon sont salies par l'aigreur, m'ont laissé un sale goût dans la bouche. Autre chose exaspérante avec Georges : il s'écoute beaucoup trop parler...

Toute l'élégance du personnage du film est évaporée.

J'ai été incapable d'apprécier ce roman, mais je dois avouer que l'influence du film n'y est pas pour rien... A lire si l'on n'a pas vu le film (ou que l'on ne l'a pas apprécié xD !)

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Un homme au singulier

Je me suis un peu ennuyé à la lecture de ce livre et ai eu du mal à le terminer. Peut être ne l'ais-je pas compris à sa juste valeur.

L'histoire est celle d'un homme qui essaye de survivre, plus mal que bien, au décès accidentel de son compagnon. Spoiler(cliquez pour révéler)[spoiler]Couple homosexuel (en 1960 on ne disait pas gay) fusionnel, ils vivaient isolés dans une maison de bois et de verre, dans une région de Californie pas encore devenue à la mode, quoi que, les constructions qui poussent le long de l'autoroute annoncent une gentrification prochaine.

Son quotidien est fait d'habitudes, dont chaque geste, chaque situation mettent en exergue et font resurgir un passé à deux. Les jours sont rythmés par l'observation de ses voisins : le départ des époux aux bureaux, les tâches ménagères et la suveillance des enfants faites par les épouses restées au domicile.

Le rituel de la journée est invariable, sans surprise. Il emprunte depuis des années, le même trajet pour se rendre à l'Université ou il enseigne, un peu désabusé, la littérature anglaise à des étudiants soucieux d'améliorer leur condition sociale en se préparant un avenir autre qu'un emploi à l'usine locale, obtenir une certaine sécurité et une aisance matérielle leur permettant de fonder un foyer.

Georges observe ce qui l'entoure, il regarde les gens vivre, il ne fait pas partie de cette société qui n'est pas faite pour lui. Tout lui est devenu pesant, les banalités du quotidien insupportables. Georges est hanté par la mort de son compagnon. Peut on vivre au singulier lorsqu'on s'est vécu au pluriel ?[/spoiler]

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Commentaire ajouté par ChezVolodia 2020-03-15T08:51:00+01:00
Adieu à Berlin

J'ai d'abord vu le film, puis lu le livre et j'ai aimé les deux.

Chronique de l'Allemagne des années 1930, univers des petites gens de toutes catégories sociales qui tentent de survivre malgré la crise économique et alors que la "peste brune" envahie peu à peu le pays.

Arrivé à Berlin en 1920, Isherwood est le témoin passif des événements de l'histoire. Il enregistre, mais ne pense pas, il témoigne simplement d'un état en déliquescence.

C'est à petites touches qu'il nous dépeint la vie Berlinoise, avec ses pensions de famille et ses hôtels miteux. Les nuits troubles des boîtes de nuit ou s'affichent sans vergogne prostituées, lesbiennes et travestis, mais également la montée insidieuse de l'antisémitisme prélude à la mise en place d'un régime totalitaire, dont l'extrême virulence anéantira toutes vélléités de rebellion, posant sur le pays une chape de plomb.

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Dédicaces de Christopher Isherwood
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Fayard : 3 livres

Hachette Litterature : 1 livre

Grasset : 1 livre

Christian Bourgois : 1 livre

Rivages : 1 livre

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