Robyn Young

Biographie

Je suis né à Oxford en Septembre 1975, le seul enfant d'un père ingénieur civil et un artiste et sa mère chanteuse de folk. Mon père m'a appris à lire quand j'avais trois ans, pour laquelle je continue d'être extrêmement reconnaissants. Ma mère m'a appris à trouver le trésor de la poésie et l'expression de soi dans l'image, la parole et le chant. Ils sont, comme tous bons parents, tout en conservant mon argile et les monstruosités du bois de la classe d'art de deuxième année et mon "oh, mon Dieu, mon monde se termine" poèmes chez les adolescentes à l'honneur.

Du côté de ma mère, mon sang est le gallois et irlandais, de mon père, anglais et écossais, alors je me considère comme un vrai Brit. J'aime l'histoire de ces îles et la richesse de notre patrimoine créatif, de bardes celtiques. Ma propre découverte de la magie du conte est venu d'abord par mon grand-père. Plus tard, quand ma famille a déménagé dans un village de pêche dans le Devon, j'ai eu la chance d'avoir un professeur fantastique anglais à l'école. C'est là que j'ai commencé à écrire de la poésie, puis des histoires, puis des articles pour le journal de l'école. Je ne me souviens pas exactement quand mon désir d'écrire trempé dans une décision de devenir journaliste. Je crois que j'avais environ quatorze ans et était venu à la conclusion (sans doute sensible) que les histoires de l'écriture n'était pas vraiment un bon travail à tous.

Au cours des prochaines années, j'ai continué à écrire de la poésie en particulier, des rames de l'étoffe, la plupart des épouvantable, avec le bijou étrange que me valut certificats ou de la publication dans différentes anthologies, surtout Merci à ma mère en secret de les envoyer. J'ai fait une semaine de l'expérience de travail sur le journal local (si vous êtes quinze ans, interview de vieilles dames sur leur chat d'être coincé dans un arbre est étonnamment excitante) et a été choisi pour écrire et éditer un peuple mois Young Page pour un journal régional. Quand j'ai gagné une récompense pour mes articles, j'étais certain que j'avais choisi le bon choix de carrière. J'ai quitté la maison quand j'avais dix-sept et a A-Levels en anglais, l'art et études en communication à Exeter College, Devon, où j'ai été étonné par Shakespeare, confondu par Chaucer, et buvait beaucoup trop de bière. Dans ma deuxième année, j'ai été élu agent des communications du syndicat étudiant, buvaient de la bière encore plus, et édité le magazine du collège. C'est à ce moment que mon intérêt pour la musique a commencé à revenir.

Mes parents étaient folkies vrai, ma mère chantait dans un groupe et de mes premiers souvenirs sont à propos de la séance dans des champs entourés de chopes vides ALE, tandis que certains gros homme chantait John Barleycorn à travers sa barbe à la foule des autres hommes hirsutes (et femmes). Je me souviens de mon père et moi hurlant comme des loups chaque fois que ma mère a essayé de chanter à la maison (maman désolé). Mais, en dépit de mon ridicule extérieur de toute l'affaire, la musique, folk et autres, s'est infiltrée dans ma peau dès le début et y est resté. J'ai commencé à chanter dans les clubs de mon adolescence, mon dos tourné au public, comme Jim Morrison. Au collège, je suis tombé dans une des bandes tournées et quelques passe ses étés sur le circuit des festivals. Mais être entouré de musiciens talentueux vous met hors tension si vous êtes un amateur, j'ai donc décidé de s'en tenir à ce que j'ai fait de mieux. Je serais un musique journaliste! J'ai déménagé à Brighton quand j'avais dix-neuf, après il attelage sur un caprice, pas prêt à faire la chose universitaire. Un soir, j'étais dans les coulisses d'un concert à Londres avec un journaliste du NME. Je lui ai simplement dit que je voulais faire ce qu'il a fait. Il secoua la tête, prit une gorgée de bière, puis m'a dit que je ne pouvait pas être un journaliste. «Tu es trop gentil, dit-il, la matière d'un ton neutre, vous n'arriverez jamais à rien." Et tout s'arrêta tout à coup, comme ça. Je savais qu'il avait raison.

Une nuit dans la pub, j'ai vu une publicité pour des bénévoles pour travailler sur un festival locales à venir. Il y avait une réunion le lendemain soir, je suis allé le long. Ce qui a commencé comme un petit événement transformé en un spectacle de musique à grande échelle que j'ai fini d'un commun accord de coordination avec une autre femme. Il était libre, le festival d'une journée qui a vu vingt-mille de la fréquentation de la première année et presque le double que la prochaine. Des toilettes de réservation, d'assurer la liaison avec les représentants du Conseil, à la publicité, nous avons tout fait. Nous avons couru sur l'adrénaline, Pro-Plus et le cidre. Mais le succès a été notre perte. Le Conseil a décidé que nous étions devenus trop gros et a refusé la permission d'un tiers. J'ai passé l'été prochain à l'utilisation illégale de nombreuses raves qui ont été fleurissent un peu partout la Grande-Bretagne au cours des années nonante. Je me souviens d'une partie montagne lors d'une manifestation contre le souffle, l'exploitation minière au pays de Galles, cracheur de feu sur le toit d'un café en bord de mer de Brighton, une camionnette leurre sound-system chasse par la police dans le Sussex, lancinante techno dans les salles de peinture des usines abandonnées, et à Londres bâtiments du Conseil. Je ne suis pas, il est juste de dire, n'oubliez pas de bien d'autres choses.

Mais l'été finalement pris fin. J'ai pris mes piercings, unbraided mes cheveux et a obtenu un emploi. Première nuit dans un club de Brighton, où je me suis pour une année, puis, lorsque la direction a changé de mains, je me suis retrouvé en tant que superviseur bar pour un pub de la chaîne. Il a été le pire emploi j'avais eu depuis que j'ai treize ans quand j'ai passé une journée de nettoyage des chalets sur un camp de vacances (une jour). Mon patron était un ogre et le salaire ridicule. Un chevalier dans une voiture de sport rouge brillant, qui a été administrateur dans une société de salut-fi et des événements à fréquenter le pub, qui m'a sauvé. Il m'a donné un emploi temporaire. J'ai quitté le travail, mais est resté avec lui. Nous avons été ensemble depuis et il est maintenant un expert en informatique.

Enfin, à vingt-deux ans, usé par les nuits blanches et les bas salaires de l'industrie du divertissement, j'ai décidé que j'avais besoin d'une carrière. J'ai postulé à une vingtaine adulte emplois sondage et obtenu un, dans une société de construction, d'abord travailler les caisses, alors l'offre d'épargne et de conseils en placement aux clients. Ma famille et mes amis ont été choqués. J'ai eu un insigne d'identité et un costume, et encore plus étrange, maths a sans doute été mon truc favori au moins dans le monde entier. J'ai pensé à long terme, cependant, et a pris toutes les mesures nécessaires pour me remettre sur la voie de devenir un conseiller financier. Mais quelque chose n'allait pas. Plusieurs mois dans, j'ai commencé à écrire un roman. Il devait être le premier d'une série de fantasy. J'ai écrit sans cesse, avec fureur: première chose le matin, sur un socle de bureau dans la salle à manger, la nuit, chaque week-end. Après six mois, j'ai eu un trois-cent-cinquante-mille nouveaux mots (presque deux fois la taille de Frères). Je pense que cet élan créatif, vomissement C'était comme si, était due au fait que le travail était si peu créatif. Je détestais le monde entier des entreprises, avec les initiatives des entreprises, des étoiles d'or et la politique. Ce n'était pas vraiment moi et à la fin je suis parti.

À l'automne de 2000 je suis allé en Egypte et est tombé amoureux, avec la poussière, le désert, l'histoire et le peuple. Quand je suis rentré, j'ai commencé un cours de base en création littéraire à l'Université du Sussex. À la fin de cette année-là, j'avais commencé à écrire Frères, que j'avais eu le concept de l'année précédente. Il devait être le plus grand, l'entreprise la plus difficile de ma vie. Sept ans après la première idée à la piste de la première impression, la recherche que je suis allé, n'ayant jamais étudié l'histoire.

Lorsque le cours de base fini je suis allé à faire une maîtrise en création littéraire, les arts et l'éducation, de nouveau à Sussex. J'ai travaillé avec quelques grands écrivains et les tuteurs, à patte jusqu'à l'apprentissage et a obtenu une distinction. J'ai aussi continué à écrire des Frères, qui était devenu une trilogie, et, après treize refus, a finalement trouvé un agent, qui m'a signé la veille de mon diplôme. Pour l'année suivante, j'ai continué à écrire, a fait un stage de formation des enseignants et enseigne la création littéraire dans deux collèges de la région, qui a été une expérience extrêmement enrichissante. Frères a été rejetée par les éditeurs sur la première de l'envoyer, bien que trois rédacteurs en chef se rapproche de l'achat et je voulais le revoir. En ce point, j'ai été sérieusement difficulté financière, après avoir obtenu à ce jour que grâce au soutien de mon partenaire et l'aide de la famille et les amis. Je pris une profonde inspiration, quitter mon poste d'enseignant et a réécrit le roman pour la dernière fois, sachant que si elle ne va pas, je dois m'arrêter et la tête dans l'enseignement à temps plein pour mettre dans le pain. Il est allé. Deux éditeurs se disputaient, et, après une vente aux enchères chauffée, Hodder & Stoughton a remporté l'offre et la trilogie des Frères trouvé une magnifique maison.

Maintenant, je vis et à écrire à Brighton à temps plein. Je chante sous la douche, encore écrire de la poésie mal, d'éviter les maths, toujours boire trop de bière, l'amour des chansons folkloriques anciennes et bien être un romancier très certainement d'emploi n'est pas un bon, ou du moins une normale, je ne voudrais pas faire n'importe quoi d'autre étant donné le choix.