Carole Martinez

Entre le réel et l'imaginaire, un récit empli de poésie sur les bonheurs simples et les pires épreuves de la vie. Un livre a dévorer et à savourer !

Une belle plume pour nous conter le destin tragique de la belle Esclarmonde qui a décidé de vivre en recluse pour échapper au mariage.

Cette histoire m'a attirée car j'ai découvert recemment l'existence de ces récluses dans un roman de Fred Vargas (Quand sort la récluse) et cela avait grandement éveillé ma curiosité.

Ce roman permet d'en apprendre plus sur cette pratique moyenâgeuse qui a perduré pendant des siècles.

J'ai lue ce livre pour le lycée et ce fut long et fastidieux. Je ne doute pas que je sois une oeuvre mais j'ai l'impression de ne pas du tout avoir l'âge adapté pour le genre de thèmes qui sont abordé dedant.

Une histoire très prenante et extrêmement touchante. J'ai été enfermée avec la personnage principale dans cette petite pièce et j'ai vécu ses émotions avec autant de force qu'elle.

Je suis tombé amoureuse du style de l'autrice et de son univers. Il me tarde d'en lire d'avantage.

Les récits contemplatifs et les "bondieuseries" ne sont vraiment pas ma tasse de thé, j'ai eu peur que "Du domaine des murmures" de Carole Martinez ne se résume qu'à ça, mais pas du tout.

Ce conte, terrible à bien des égards, est un plaidoyer pour les femmes. En l'an 1187, une femme qui refuse le mariage choisi par son père n'a pas d'autre choix que de consacrer son existence à dieu. C'est ainsi qu'Esclarmonde se retrouve recluse entre quatre murs aspirant à une liberté que les femmes de l'époque ne pouvaient que rêver. Elle y accèdera, vivra et aimera de toute son âme.

La plume de Carole Martinez est douce, c'est un mélange de poésie, d'humanité et d'espoir.

Au-delà du mysticisme, de la foi inébranlable d'Esclarmonde et de ses visions qui ont un peu ralenti ma lecture, j'ai été touchée par son destin, ses choix, son regard sur la vie, la maternité et le monde qui l'entoure.

"Le cœur cousu" du même auteur est dans ma PAL, j'ai hâte de m'y plonger et de retrouver sa si jolie plume pour laquelle j'ai eu un véritable coup de cœur.

Difficile pour moi de dire si j'ai aimé ce livre : j'en ai aimé des parties, j'en ai détesté d'autres. J'étais assez intéressé pour terminer l'histoire, mais je ne peux pas dire que je recommanderais ce roman à mes proches.

Au niveau du style, bien que j'apprécie énormément les styles poétiques, je n'ai pas particulièrement accroché à celui de Carole Martinez. Certains passages étaient vraiment géniaux, mais les chapitres un peu plus métaphoriques m'ont laissé de marbre. Je dirais que ça sonnait faux à mon oreille.

En ce qui concerne l'histoire en elle-même, j'apprécie plutôt les récits de vie, donc pour moi l'absence d'un fil conducteur spécifique ne me dérange pas. Mais par rapports à d'autres livres dans ce genre que j'ai pu lire, j'ai trouvé que Le cœur cousu était vraiment inégal, avec des passages captivants, d'autres qui sont si courts qu'on les oublie presque tout de suite, et d'autres qui donnent envie de refermer le livre immédiatement (ce ne sont d'ailleurs pas forcément les passages les plus durs ou le plus choquants d'ailleurs). Difficile donc de se faire une idée générale.

Je ressors donc de cette lecture un peu confus, ayant passé de bons moments avec mais sans que ce ne soit un vrai coup de cœur.

Un très beau roman, une magnifique plume. Ce roman est plein de poésie, un peu mystique, beaucoup de religion, mais cela est normal vu le contexte du roman, finalement. Je trouve aussi qu'il démontre les côtés néfastes et je dirai presque absurde que ces religieux et religions interprétées d'un point de vue extrême et des dérives que cela entraine. La notion de féminisme est également forte.

L'écriture et l'imagination déployée dans ce récit sont d'une rare intensité et d'une richesse inouïes.

Cela se lit comme un conte ou plutôt plusieurs contes racontant de façon complètement surréaliste, l'histoire de toute une famille, ancêtres compris. Complexe, à la fois tendre, violent, émouvant, poétique dans son surréalisme ... Difficile de définir ce livre mais, de toute évidence, un auteur au talent immense qui marque, et, qui me rappellerait le Boris Vian de l' "Ecume des jours".

Pas vraiment le style de lecture dont j'ai l'habitude mais l'écriture est belle.

La couverture du livre présente un chat tigré. Le chat a l'air curieux et joueur et le titre est révélateur. Et de suite, j’ai souhaité lire ces petites nouvelles de 163 pages.

Le livre est divisé en sept titres, écrits par la #teamromcom chacun correspondant à une nouvelle. Les nouvelles racontent les aventures de chats différents, qui se retrouvent tous dans des situations inhabituelles et amusantes, et j’ai adoré, je me suis amusée. Une vraie pépite de détente !

Les histoires sont pleines d'humour et de tendresse, et elles célèbrent le lien unique qui existe entre les chats et leurs propriétaires.

Le livre est positif, les histoires sont une évidence de bonheur et de joie. J’ai apprécié les histoires drôles et touchantes, ainsi que les personnages attachants. De plus, je ne m'attendais pas à autant de surprise, d’imagination et de croiser la route de nombreux auteurs méconnus jusque là.

En résumé, la formule “quand le chat n'est pas là… aurait très bien pu continuer avec : les souris dansent” car comme la formule le désigne, l'action des sept nouvelles, transgresse les règles et l'absence de surveillance 😉 À méditer.

Si vous aimez les chats et que vous recherchez une lecture légère et divertissante, Quand le chat n'est pas là... est le livre parfait pour vous.