Élie Darco
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Note moyenne : 7.5/10Nombre d'évaluations : 44
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Un recueil comportant des nouvelles très diverses, avec des styles d'écriture et d'univers très divers également.
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Il y a peu, j’ai terminé ce recueil de 16 nouvelles vampiriques. Certaines étaient géniales mais il y en a 2 qui, de part leur style d’écriture que je n’ai pas accroché et leur scénario ; j’ai abandonné (ce qui est rare, j’aime terminer ce que je commence).
Dans l’ensemble j’ai passé un très bon moment. Je l’ai lu assez vite mais j’ai reporté ce petit article encore et encore, étant très occupée sur Strarda entre autre.
Voici les nouvelles :
1 – Bettina NORDET, Sacrifices de sang, pages 9 à 38
Une très bonne nouvelle qui ouvre le bal. Mettre en scène une relation homosexuelle avec un vampire change radicalement, la nouveauté a du bon ! La plume est bonne, l’histoire sympathique.
2 – Franck FERRIC, Le Transformateur, pages 39 à 50
Je l’ai lu sans vraiment l’apprécier.
3 – André SAMIE, Commersang, pages 51 à 60
J’ai bien aimé cette nouvelle où le vampire est tellement paresseux qu’il se fait livrer !
4 – Lia VILORË, Le Sang du soleil, pages 61 à 90
La plume et le scénario sont si mauvais que je ne l’ai pas finie.
5 – Stéphane SOUTOUL, Confessions nocturnes, pages 91 à 106
Une romance qui se laisse lire aisément.
6 – David OSMAY, La Mine du querns, pages 107 à 118
J’ai adoré ! J’étais dedans et l’histoire est vraiment bonne !
7 – Cécile DUQUENNE, Les Deux orfèvres, pages 119 à 144
Une excellente nouvelle ! Je l’ai vraiment appréciée celle-là ! Le concept de l’art et de l’âme imprégnée dans les tableaux que le vampire peint est saisissant !
8 – Line D. REY, Le Trésor du baron, pages 145 à 152
Vraiment sans plus.
9 – Élodie LEMAIRE, Le Masque de la mort, pages 153 à 162
Je l’ai lue mais sans adhérer à l’histoire, je n’étais pas dedans. Un pharaon vampire, pourquoi pas, on peut créer tant d’histoires, mais j’ignore pourquoi elle ne m’a pas spécialement plu.
10 – Élie DARCO, L’Orbe d’or, pages 163 à 178
NON. NON. Juste NON. Mettre un pauvre type qui se fait sodomiser par des goules avec la bouche également occupée pour se faire séquestrer et travailler sous terre… NON. Du cul dans des livres, oui quand c’est bien placé. J’en mets, voire même beaucoup, avec Sagramor parce qu’il est cabotin donc on s’y attend c’est un homme à femmes. Mais là, c’est juste poser du sexe vulgairement de façon incohérente.
11 – Gwenaelle DURAND, Ombres et or, pages 179 à 204
C’est la deuxième que j’ai lâché car tellement mauvaise que je n’avais pas envie de me forcer à la lire.
12 – Audrey HERREMAN, Trois ors, pages 205 à 214
Une jolie petite nouvelle sous forme de journal, on se laisse emporter.
13 – Aurélie WELLENSTEIN, Impair et manque, pages 215 à 230
Ma préférée ! Je l’ai savourée celle-là ! Le personnage de Ruben est intéressant, il y a une vraie profondeur scénaristique, des émotions et des dialogues placés en avant, jamais de lourdeur ! On se laisse forcément séduire par un tel talent !
14 – Alazaïs CLÉNIÉ, De l’or plein les mains, pages 231 à 244
En Grèce cette fois et pas de coup de cœur.
15 – Lucile GARRIGOUX, Mercenaires, larmes divines et ex-petites amies rancunières, pages 245 à 262
J’ai ri et souri, un bon moment.
16 – Henri BÉ, Or, sang, soleil, pages 263 à 270
J’ai parlé personnellement à cet auteur il y a quelques années et sa réputation est méritée, j’ai passé un instant de lecture plongée dans son texte qui était bien construit, avec un bon scénario.
Afficher en entierUne super histoire aux héros attachants et contradictoires, dans un monde où il faut se méfier de tout ce que l'on voit et de tout ce que l'on sait...
Afficher en entierCe roman est une très bonne surprise. Je ne suis pas fan de littérature Young Adult, mais je connaissais déjà la plume de l'auteur aussi me suis-je laissé tenter.
J'avais un peu peur de m'ennuyer, cela n'a pas du tout été le cas. Il s'agit d'un récit de légère anticipation plein de mystère, de suspense et d'action. J'ai parfois eu l'impression de me retrouver plongé dans ces romans paranoïaques dont j'étais très friands quand j'étais plus jeune (typique des années "guerre froide") où tout est caché, où la réalité et la vérité ne sont pas vraiment celles que l'on croit.
La psychologie des personnages n'est pas laissée de côté et on prend fait et cause pour Beryl et Alec, frère et soeur, liés par un lien inaltérable et indéfectible.
Ils feront tout pour se retrouver jusqu'au dénouement final (forcément) inattendu.
Un très agréable moment de lecture.
Afficher en entierRetrouvez d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com/
--- Quand les débuts coincent un peu… ---
Acheté en avant-première à Mon’s Livre 2018, Le crépuscule d’Æsir me fait de l’oeil depuis plusieurs mois, et pour cause ! L’éditrice, Marion Obry, me l’a décrit comme un one-shot de dark fantasy sanglant et prenant. Comprenez-moi, je ne pouvais pas résister plus longtemps !
Pourtant, quand j’ai enfin ouvert ce livre, j’ai eu du mal à me plonger dedans. Le massacre annoncé dans la quatrième de couverture m’a en effet laissée indifférente. Or, j’estime qu’un prologue ou un premier chapitre doit avant tout susciter l’intérêt du lecteur. Heureusement, la suite s’est révélée captivante !
--- Et si ces débuts difficiles étaient liés à la plume de l’auteure ? ---
Élie Darco utilise volontairement un style ampoulé, que je trouve inutilement lourd. Selon moi, elle en rajoute ; tout au long du roman, le sang coule à flot, les tripes se retrouvent à l’air et le désespoir est au rendez-vous. Était-ce vraiment nécessaire ?
En outre, le texte comprend quantité de mots inconnus de mon répertoire et ça ne m’arrive pas si souvent. D’habitude, ça ne me dérange pas, mais ici, c’était assez récurrent, comme si l’auteure faisait volontairement étalage de ses connaissances de la langue française.
Ceci étant dit, mon avis est totalement subjectif. Ce style peut bien évidemment plaire à d’autres lecteurs. Et, par chance, j’ai fini par m’y faire !
--- Au coeur des ombres ---
De type médiéval, l’univers n’a rien de très original au premier abord. Mais comme tout dans ce roman, il est dur, sombre et violent. Chacun doit se battre pour survivre, endurer des épreuves parfois innommables.
Néanmoins, ce qui a surtout retenu mon attention, c’est l’organisation du territoire. Certes, Æsir est tombée, mais d’autres peuplent vivent au pied des montagnes. Certains ont noué des alliances, d’autres se font la guerre. Et c’est justement cet aspect de l’histoire qu’Élie Darco a choisi d’approfondir à travers l’errance de ses deux héros. Bon, j’avoue m’être un peu perdue dans les noms et appellations, mais cela n’a pas terni mon plaisir de découvrir les rouages de ces civilisations.
--- Deux survivants, deux héros brisés ---
D’un côté, l’on suit Aldéric, un guerrier frustré de ne pouvoir démontrer toutes ses capacités à l’épée et, de l’autre, Viviana, sa compagne avant la destruction de la cité. Et si j’ai apprécié ce one-shot, c’est en grande partie grâce à eux. Chacun à leur manière, ils font preuve d’une force de caractère exceptionnelle, sans pour autant tomber dans le cliché du héros infaillible.
L’auteure a pleinement développé leur psychologie, les rendant profondément humains. Bien qu’ils se sentent coupables d’avoir survécu, ils luttent sans relâche pour sauver leur peau. L’instinct de survie est d’ailleurs au coeur de cet ouvrage où le danger rôde à chaque fin de chapitre…
Étonnamment, je n’ai pas de préférence pour l’un ou pour l’autre. Parfois, je désirais ardemment suivre les mésaventures de Vivianna et, la page suivante, alors que je retrouvais Aldéric, je n’avais qu’une envie : savoir ce qui l’attendait. Et c’est justement ce qui me conforte dans l’idée que ce roman est extrêmement bien mené !
--- Une lueur d’espoir dans l’obscurité ? ---
Ah, les complots politiques, les tromperies, les tentatives d’assassinat ! Mélangez tout ça et vous obtenez un bel imbroglio d’événements. Heureusement, l’ensemble est savamment orchestré par Élie Darco. Voilà donc la deuxième raison pour laquelle j’ai aimé Le crépuscule d’Æsir ; les rebondissements sont inattendus, l’action contrebalancée par des stratégies finement élaborées.
Cependant, je m’interroge sur le genre auquel appartient ce livre. Peut-on vraiment le qualifier de dark fantasy simplement parce que la violence y atteint des sommets ? Puisqu’il repose majoritairement sur une guerre séculaire, j’y vois davantage de la fantasy épique, certes très sombre, mais épique quand même.
Quoi qu’il en soit, si j’ai supporté son côté très – trop ! – sanglant, c’est parce que l’auteure s’en sert afin de créer un contraste saisissant avec les rares scènes d’espoir, d’amour véritable et de générosité.
Quant à la fin, elle ne m’a pas marquée outre mesure. Non, de ce one-shot, je retiendrai en priorité l’évolution spectaculaire des personnages. Pour autant, je n’ai pas boudé mon plaisir en découvrant le dénouement !
Afficher en entierla fantasy est un genre que j'affectionne et il y a de vaste partie de chapitre descriptif savamment dosé de dialogue et d'action. ce roman ne fait pas exception pour autant le dosage est soporifique . les champs descriptifs trop long avec une histoire peu rythmée. le sujet était bon, les personnages trop lisses et attendus. En bref je me suis un peu ennuyé et endormi. je crois qu'il faut persévérer car il y a un bon fond.
Afficher en entierPrimo, il faut déjà savoir que ce roman est un one-shot donc il n’y aura pas 15 volumes à acheter, c’est rare en fantasy. Deuzio c’est de la dark fantasy. Qu’est ce que c’est ? Non pas des aventures dans le noir mais de la fantasy sombre, violente et réaliste. Foin de gentilles licornes donc.
Pour le coté sombre et violent on est servi d’entrée car c’est le récit d’une chute brutale de ce qui reste de la civilisation atlante réfugiée dans les monts de Thulé. Les érudits, les sages sont anéantis par une attaque de créatures immondes et mystérieuses.
Les deux tourtereaux, Aldéric et Viviana en réchappent miraculeusement et sont séparés. On va donc suivre leurs mésaventures dans un monde hyperboréen que n’aurait pas renié Howard. On s’attend à voir Conan surgir à tout moment.
Beaucoup de points forts dans ce roman. D’abord, l’univers qui est bien décrit et du coup assez réaliste. Ensuite, les deux personnages principaux que l’on suit au plus prés et dont on a envie de savoir le destin. Ils ne sont pas manichéens mais plutôt complexes et emplis de contradictions… comme tout un chacun, non ? Elie Darco a aussi soigné les personnages secondaires comme Orbelon et Akänelor qui se dévoilent au fur et à mesure et vont réserver de sacrées surprises.
Le style fait aussi la qualité d’un livre et, ici, l’autrice l’a travaillé pour nous plonger dans l’ambiance de mondes oubliés.
Et n’oublions pas l’histoire en elle même emplie de scènes spectaculaires et de rebondissements et qui se termine en apothéose. Bref, c’est une réussite.
Je termine en félicitant Tania Sanchez-Fortun pour sa splendide couverture.
Afficher en entierJ'ai voulu ce livre pendant des mois. Le résumé m'attirait énormément et en plus, avouons-le, la couverture est superbe. Quand j'ai enfin réussit à me le faire offrir pour Noël, j'étais au comble de la joie. Cependant, cette lecture m'a grandement déçue. Je n'ai pas du tout réussit à m'imprégner du récit. L'univers est riche, fort en légendes de divers peuples m, et j'ai trouvé que tout était mal défini. Tout le livre m'a paru flou, j'avais vraiment du mal à m'y intéresser. Certaines actions se déroulent si vite qu'on a du mal à se les représenter, et à côté de ça il y a de longs moments très plats dans la narration, c'est assez inégal. Je me suis sincèrement ennuyée avec ce livre.
Afficher en entierExhumé de la PAL, j'ai été agréablement surprise par ce joli petit roman. Tiphaine est professeur d'Art dans une école à Greenchester. Elle a une voisine peu commune : une charmante petite dame âgée, ancienne "noble" désargentée, très curieuse et un brin excentrique.
Grâce à elle, son existence va devenir plus intéressante. Mais n'oublions pas son collègue Glen et son ami d'enfance, Roystone, lord mystérieux.
Afficher en entierUn roman très sombre écrit avec un indéniable talent ! j’ai adoré l’ambiance lugubre et malsaine du livre, tout comme l’univers et la psychologie des personnages!
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Élie Darco
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Sombres rets : 3 livres
Edition du Riez : 1 livre
Le calepin jaune : 1 livre
HQN : 1 livre
Le Grimoire : 1 livre
Mille Saisons : 1 livre
Magnard jeunesse : 1 livre
Editions du Chat Noir : 1 livre
Biographie
Née en 1980, Elie Darco a roulé sa bosse des campagnes bourguignonnes aux falaises finistériennes et vit actuellement à Marseille. De sa contrée natale et celle des légendes bretonnes, elle garde un penchant pour les gens de terroir, les espaces vierges, sauvages et l’océan.
Naturaliste mais aussi grande lectrice, de fervente admiratrice, elle devient elle-même faiseuse d’histoires par passion des mots et des images grâce au web dont elle finit par apprendre les arcanes pour mieux partager sa passion. Elle fait ses armes au sein des rédactions de quelques zines en tant que novelliste, webmestre, illustratrice ou correctrice.
Persuadée qu’il n’y a pas de meilleur moyen pour voyager qu’un livre à la main, sans renier les grands classiques, elle préfère aujourd’hui se pencher sur les littératures noires et imaginaires. « Mauvais genres », dit-on, mais pourtant bien plus à même d’insuffler l’amour des arts écrits aux gens que les gros tirages d’une certaine littérature blanche et autre « nouveau roman ».
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