Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
718 035
Membres
1 028 996

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Daniel Arsand

Auteur

50 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par saltanis 2010-08-08T12:06:57+02:00

Biographie

Daniel Arsand

Ecrivain français

Né à Avignon le 09 July 1950

Daniel Arsand en connaît un rayon en matière de livres car, avant d'être romancier et nouvelliste sur le tard, il a été tour à tour libraire, critique littéraire, éditeur et attaché de presse ! C'est donc à 40 ans qu'il se lance pour de bon dans l'écriture.

Il rédige d'abord une biographie sur l'actrice Mireille Balin en 1989. Discret, il publie ses histoires dans la Nouvelle Revue Française ainsi que des poèmes imprégnés de chevalerie et d'onirisme, 'Nocturnes'. Il sort enfin de l'ombre en 2005 avec son véritable premier roman, 'La Province des ténèbres' qui obtient le prix Femina 1998. Deux années plus tard, paraît 'En silence', histoire de malédiction pétrie de fantastique, confirme son talent reconnu unanimement par la presse. Suivent d'autres romans, souvent plongés dans l'histoire. 'Des chevaux noirs', sorte d'épopée familiale est publié en 2006. En 2008, ce sont les questions de l'homosexualité et de la passion amoureuse qu'il explore avec le roman 'Des amants'.

Source : Evene

Afficher en entier

Classement dans les bibliothèques

Diamant
14 lecteurs
Or
13 lecteurs
Argent
10 lecteurs
Bronze
5 lecteurs
Lu aussi
14 lecteurs
Envies
49 lecteurs
En train de lire
1 lecteurs
Pas apprécié
4 lecteurs
PAL
22 lecteurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 7.86/10
Nombre d'évaluations : 21

0 Citations 11 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Daniel Arsand

Sortie France/Français : 2022-08-17

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par linpiao 2013-06-06T18:32:16+02:00
Que tal

Un roman très court dans lequel Daniel Arsand nous parle avec beaucoup de sensibilité,d'émotion et de poésie de la perte de son chat Que Tal. Il sait mettre des mots sur l'indicible. Ceux qui ont vécu la perte d'un compagnon à quatre pattes ne pourront que s'émouvoir à la lecture de ce livre.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par sandycot 2014-10-06T16:48:24+02:00
Que tal

J'ai été très attirée par ce petit livre, étant moi même dingue de chats, j'en ai 4 ! Je ne peux même pas dire que j'ai été déçue par ce texte, j'ai été ABASOURDIE , cela n'a aucun sens, juste du "foutage de gueule" pardonnez moi l'expression...

Afficher en entier
Je suis en vie et tu ne m'entends pas

J'ai été attirée par ce livre pour son thème : l'homophobie. Je voulais comprendre. Je pensais trouver un récit/témoignage. C'est autre chose. Un roman comme l'annonce l’éditeur sur la couverture ? je ne suis point sure encore à ce jour.

On trouve dans ce livre un cri, c'est certain, mais aussi de l'amour, beaucoup, et puis ce paradoxe du monde qui hésite encore sur ce qu'il faut penser, c'est navrant.

Le style m'a tout de suite surprise. Une suite d'énumérations d'idées, de d'observations, parfois de simples mots, si bien que les phrases n'en sont pas vraiment : déroutant. C'est un style très sensible, voire sensuel. Le choix des mots, rares parfois, est subtil.

Les idées, les sentiments, et le message passent.

Alors j'ai eu du mal à classer cet ouvrage je n'ai pu le classer dans mes livres d'or, car le sujet ne devrait pas être ainsi célébré. Alors je le classe dans mes livres d'argent, car il faut le lire et le travail d'écriture doit être félicité.

Afficher en entier
Je suis en vie et tu ne m'entends pas

Un récit bouleversant, qui m'a retournée les tripes et le cœur. Les larmes ont coulé, souvent, douloureusement.

Un texte poignant où l'horreur est décrite avec une dureté cruelle, parfois insoutenable.

Klaus est un homme brisé par ses quatre années au camp de Buchenwald. Un homme qui sera hanté toute sa vie par les atrocités subies, par son abnégation pour sa survie. Un homme qui vivra en parallèle souvenir et présent, un entremêlement de douleur et d'espoir, la vie se confondant parfois avec l'odeur de la mort.

Page après page c'est un périple fort en émotion que nous suivons, un chemin tortueux où Klaus se débattra avec ses angoisses, son dégoût de lui-même, de ses acceptations, ses souvenirs gravés dans sa chair, dans son âme.

Il nous décrit avec franchise l'homme qu'il a été dans le camp, l'homme qu'il déteste aussi et l'homme qui a survécu...mais à quel prix.

A vif dans ses souvenirs, traumatisé par la perte de son amour, celui-ci sera pourtant son salut intérieure, sa force divine pendant ses quatre années d'horreurs, de soumissions, de salissures.

Ce qui est très intéressant, c'est que l'auteur a non seulement décrit le retour de Klaus après le camp, mais aussi son retour parmi sa famille, son retour au travail...à la vie...une vie fantôme. Ainsi, nous découvrons la réaction et les comportements de ses parents et de son frère, qui sont parfois stupéfiants.

Avec Julien, Klaus retrouvera ce qu'il a perdu tout en se libérant partiellement de ce qu'il a vécu.

Klaus et Julien, c'est un amour où l'ombre de là-bas sera omniprésente, changera d'esprit. Des instants difficiles seront vécus, des instants de confessions absolus seront dévoilés.

Une belle histoire d'amour entre eux, où "l'étoile rose" va trouver sa lumière, sans jamais quitter les ombres.

L'auteur possède une écriture et un style très particulier, tantôt haché, tantôt long. Des mots crus, sans ambages, dans leur vérité la plus pure.

Une plume qui vous transmettra indéniablement des émotions, très puissantes, accentuées par des répétitions, et qui saura vous faire ressentir tout l'amour présent à chaque page, tout comme l'ignominie et l'enfer.

Il n'est pas évident de parler de ce texte tant il est poignant, vrai, dur, si réel, qu'à mon sens il faut le lire pour le comprendre et pour le vivre, car oui, ce roman ne se lit pas, il se vit.

En bref, un roman que j'ai franchement aimé, possédant un récit et des personnages attachants, poignants. Un texte parfois violent dans sa narration. Une violence nécessaire pour avouer cette vérité cachée, cette vérité qui dérange, cette vérité qui déchire, cette vérité qui libère. Nécessaire pour montrer l'existence de ce qui fut tu, l'existence de l'innommable, pour ne plus jamais que cela ne se reproduise.

Afficher en entier
Je suis en vie et tu ne m'entends pas

C'est un livre assez difficile à la lecture, car il rapporte des faits réels pourtant il est tellement intéressant. Il est bouleversant et il faut vraiment s'accrocher pour ne pas céder face à l'horreur des événements. Des retours en arrière même dans le présent. Car la larme coule facilement.

J'ai eu de plus la chance de rencontrer Daniel Arsand et d'assister à la pièce de théâtre relatant l'histoire. Nous avons pu discuter de ses recherches et de l'écriture de son livre.

Pour les passionnés d'histoire vous trouverez ici de quoi vous satisfaire !

Afficher en entier
Je suis en vie et tu ne m'entends pas

Je n'ai pas su apprécier ce livre, qui comporte trop de clichés véhiculés sur la déportation des homosexuels. Daniel Arsand avait des choses à dire, je l'ai bien compris. Son livre s'est voulu militant, mais à mon sens il est passé à côté par trop d'incohérences dans son récit , mais surtout d'histoires de vie racontées dans d'autres livres par d'anciens prisonniers au triangle rose.

Spoiler(cliquez pour révéler)Lorsqu'il est libéré du camp et marche dans les rues de Leipzig, il a 23ans et a supporté 4 années de camp. Déporté à l'âge de 19 ans (précision donnée page9), Heinz son compagnon a préféré se jeter par la fenêtre à l'arrivée des soldats plutôt que de tomber entre leurs mains. C'est seul qu'il a du affronter la torture, le mépris, les insultes de ces compatriotes, mais également des autres déportés, eux pour autres motifs.

Mon souci vient de ce que l'auteur, veut tellement insister sur le martyr subit par Klaus, qu'il met en scène des viols commis à son encontre non seulement par les soldats, des kapos, mais également par les autres déportés eux-mêmes...

Ce qu'il faut savoir c'est que pour les Kapos à Buchenwal comme dans bien d'autres camps, la pédophilie régnait en maître et que les traffics d'enfants faisaient partis du quotidien. Dès l'arrivés des convois, les kapos choisissaient leur pilpul pour la plupart âgés de 12 ou 13ans. Dans la soupe des déportés était versé du bromure quand ce n'était pas les affres de la faim qui étaient suffisants pour calmer toutes les éventuelles ardeurs sexuelles de ceux-ci. Et, la moyenne de vie dans les camps étaient d'environ 1 an à 2 ans compte tenu des conditions de détention.

Ce qui est réaliste c'est le mépris envers les homosexuels par tous (soldats, kapos, déportés) et parfois à juste raison malheureusement. Car certains homosexuels ont été déportés après avoir été "amis" avec d'importants membres du Parti, et que lesdits amis tués (lors des purges dudit parti) ou voulant s'en débarrasser, les ont envoyés dans les camps. Pour d'autres, ce n'étaient pas le premier internement, déjà en 1933 ils avaient fait connaissance avec cette répression. Mais malgré cet avertissement et l'espionnage dont ils faisaient l'objet, ils avaient continué leurs pratiques ...

Autres sujets de méfiance et de rancoeur des autres déportés, beaucoup d'homosexuels réussissaient à trouver à s'occuper dans des baraquements, alors que les autres déportés travaillaient à l'extérieur sous toutes les intempéries. Certains se pavanaient dans des blouses d'assistants auprès de médecins tortionnaires. D'autres ont réussi à devenir kapo et donc droit de vie et de mort sur les autres détenus.

Bien évidemment, ce ne sont pas des généralités, mais des vérités suffisamment courantes pour qu'elles soient dénoncées et pour que les survivants (quelques qu'ils soient : Politiques, religieux, racial) refusent de les accueillir dans les cérémonies de commémoration. De là à crier "les PD au four" je n'y crois pas, surtout venant de rescapés. Par contre, d'autres participants et de manière très isolée, c'est possible !

Incohérent aussi, l'acceptation de Klaus par la société française - surtout après 4 ans d'occupation, de terreur, de prise d'otages, et d'horreurs commises lors de l'évacuation des villes occupées par l'armée allemande - j'en doute.... les Français avaient trop souffert pour être ouverts à l'intégration d'un Allemand, même si c'était un ancien déporté et encore plus homosexuel.

Ce livre n'est pas mauvais, mais à vouloir chacun son martyr on finit par ne plus être objectif !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Izzie-1 2020-08-03T17:00:05+02:00
Des amants

Un petit roman lu très vite pendant le confinement. Les chapitres sont courts, voire très courts, et malgré le contexte historique, la plume est moderne, incisive, juste ce qu’il faut de poétique. J’ai beaucoup aimé. L’auteur dépeint le drame d’une histoire d’amour au 18e siècle entre un jeune berger et un prince désabusé depuis le décès de son père ; une histoire d’amour qui scandalise la mère du prince, craignant de perdre son fils unique, et provoque des remous à la cour de Versailles, Balthazar refusant d’y retourner.

Le couple est fusionnel, passionné, à la fois physiquement et intellectuellement. Sébastien (le berger) est un de ces garçons rêveurs et contemplatifs, beaucoup trop pour réussir à survivre à la rudesse de la vie de paysan. Lorsqu’il croise la route de Balthazar de Créon, c’est son salut qu’il voit dans son sourire. En quittant sa famille, c’est la possibilité pour lui de fuir la merde et les quolibets, d’apprendre la médecine, mais l’amour aussi, dans les bras d’un Balthazar aussi rêveur que lui, mais tourmenté par ses propres démons et la crainte qu’un jour le jeune berger ne lui échappe.

Le scénario en lui-même n’est pas particulièrement original, mais c’est un livre à lire pour la plume, le style, et la couv est vraiment très belle. Si vous ne craignez pas les dépressions post lecture, c’est à rajouter dans votre pal.

Afficher en entier
Je suis en vie et tu ne m'entends pas

Une lecture coup de poing.

Klaus est un homme brisé par des années de captivité passées au camp de Buchenwald. Les sévices physiques et moraux qu'il y a subis resteront à jamais gravés dans son corps, son coeur, sa mémoire. Mais une fois libre, comment reprendre sa vie là où elle s'était interrompue au moment de sa déportation ? Est-ce seulement possible ?

Alors nous suivons le retour de Klaus parmi les Hommes, ces mêmes Hommes dont la majorité continue de le stigmatiser en raison de ce qui a amené les forces ennemies à l'enfermer avec ses pairs : son homosexualité. Klaus se débat avec ses angoisses, accueille ou refoule les souvenirs traumatiques qui remontent à la surface, apprivoise son corps meurtri et réapprend à aimer. C'est une âme perdue complètement à vif qui erre dans les rues comme elle erre dans la vie.

La plume de Daniel Arsand est très particulière. Elle déroute de prime abord puis permet de totalement se fondre dans les pensées de Klaus, dans cet enchevêtrement de souvenirs brûlants et d'espoirs presque naïfs. C'est le roman d'un homme qui aimerait se noyer dans la masse mais qui sera toujours mis à l'écart parce qu'il aime, parce qu'il ose aimer. Et à ce titre, la dernière partie de l'ouvrage est la plus déchirante.

Bouleversant.

Afficher en entier
Moi qui ai souri le premier

J’ai aimé ce roman car l’auteur a un vrai talent, sa plume est intelligente, les mots écrits avec précision, et une grande justesse. Il y a de la violence, mais offerte dans la narration comme une banalité. Il n’est pas question d’atermoiement et pourtant cela se comprendrait aisément. Un très beau roman!

Afficher en entier

On parle de Daniel Arsand ici :

Dédicaces de Daniel Arsand
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Libretto : 4 livres

Actes Sud : 4 livres

Stock : 2 livres

LGF - Le Livre de Poche : 2 livres

La Manufacture : 1 livre

HB Edition : 1 livre

Phébus : 1 livre

Editions du Rocher : 1 livre

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode