Milo Manara
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Note moyenne : 7.25/10Nombre d'évaluations : 273
0 Citations 114 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
cool tro bien
Afficher en entierBande dessinée. Volume 1.
J'avais vu le film "le Nom de la Rose", mais je n'ai pas lu le roman éponyme.
Et pourtant, cette bande dessinée me fait penser au film que j'ai vu.
Afficher en entierBelle adaptation du roman d'Umberto Eco.
Une série de meurtres dans une abbaye amène le frère Guillaume de Baskerville et de son novice secrétaire Adso. Tous deux vont essayer de trouver le ou les coupables, et de percer à jour les secrets qui se cachent derrière les murs de l'édifice. La bibliothèque parait d'ailleurs le point de départ de l'enquête.
J'ai lu le roman il y a quelques années. L'histoire était riche, je m'étais créé des marques-pages penses-bêtes des offices et des personnages pour ne pas perdre pied. Manara sert l'histoire originale par de magnifiques dessins au graphisme subtil (le tympan et les enluminures sont superbes). En revanche, tout comme le roman, les bulles sont chargées et longues. Leur lecture demande plus de concentration qu'à l'ordinaire afin de ne pas louper des informations.
A voir comment l'auteur poursuivra son adaptation dans le deuxième volume.
Afficher en entierUne bande déssinée adaptée d'une oeuvre un peu "choc", qui nous présente la vie romaine et surtout ses moeurs à l'époque de l'antiquité ! On y voit orgie, fette insensée et zoophillie mais contrairement à ce que l'on pourrait penser ça n'en est pas vulgaire, le dessinateur a su rendre ça léger et honnete pour ça ne semble pas vulgaire, meme si ça reste toujours choquant evidemment
Afficher en entierCertainement la BD qui a le plus influencé mon activité d'écrivain de nouvelles érotiques. Cette idée d’un processus qui oblige à devenir subitement l’esclave de son désir sexuel est proprement fabuleuse!
Afficher en entierDéjà, je ne suis pas trop fan des illustrations. Les bulles sont trop chargées et je trouve qu'on perd de l'intérêt sur l'image. Ensuite je pense que ce n'est simplement pas mon style de bande dessinée.
Afficher en entierUne superbe adaptation d'un superbe roman. Moins simplifiée que dans le film, l'intrigue est fidèle, en témoignent le premier personnage à apparaître : Umberto Eco lui-même. Les illustrations sont si riches et belles qu'on reste longtemps sur chaque page, pour ne rien manquer des détails. Une expérience de lecture semblable au roman, dont la lecture n'est pas légère ni même facile. J'ai en plus la chance d'avoir l'édition en noir et blanc spécialement éditée pour les magasins Momie, d'une beauté impressionnante.
Afficher en entierJe n'ai jamais lu le roman dont est issue cette BD en revanche j'avais déjà vu le film.
C'est avec plaisir que je me suis replongée dans ce thriller médiéval. On y retrouve Guillaume de Baskerville, ancien inquisiteur, amené à enquêter sur une mort mystérieuse dans une abbaye au milieu des montagnes.
Cette BD est plus complexe que le film car elle regorge d'histoires qui s'imbriquent, alors que le film se concentrait sur l'histoire principale. A chaque morceau d'histoire différente, le style de dessins et les tons changent, ce que je trouve très bien fait. J'ai un peu moins aimé certains styles de dessins que d'autres, amis j'aime bien celui de l'histoire principale.
En revanche, je n'avais pas conscience de la complexité de l'histoire. Grâce au passé d'inquisiteur de Guillaume de Baskerville, on a un regard critique porté sur cette pratique qui cherche à tout prix un coupable. Le texte en lui-même est complexe car il aborde parfois des concepts théologiques et il faut être concentrés pour tous les saisir. De plus, dans certaines des histoires (sur le passé des autres personnages, par exemple) sont évoquées assez rapidement en quelques pages seulement pour ne pas constituer une coupure trop grande avec l'histoire principale. Le pendant de ces quelques pages est que les bulles contiennent beaucoup de texte. Comme il ne s'agit que des histoires annexes, cela ne m'a personnellement pas dérangé.
Je suis juste un peu frustrée car entre toutes les histoire imbriquées et le format court de la BD je n'ai pas l'impression d'avoir beaucoup avancé dans l'enquête, et j'ai hâte de lire la suite.
Afficher en entier« Le Caravage » un livre de Milo Manara aux éditions Glénat – 2015 – 60 pages
Bienvenue dans l’émission du Phoenix « Ça passe ou ça casse » où Phoenix jette les bases et tu valides (ou non).
Deux caravanes veulent passer un barrage, alors qu’ils sont là et que ça ne prendrait qu’une minute, un seul peut passer… Ça commence à se battre… C’est une incohérence.
Cependant le héros semble avoir un code moral et éthique qui se défend…. Qui le conduira tantôt en prison … Le monde n’est pas parfait …
Les dessins, notamment les expressions du visage, sont très réussies.
Il y a pas mal de nues notamment pour les besoins de la peinture « à l’ancienne » …
Ça se laisse très bien lire, je dirais même que c’est agréable, bon pas non-plus la panacée et le 10/10 mais une lecture plaisante cependant.
Alors ça passe ou ça casse ?
Phoenix
++
Afficher en entierCommençons le synode.
Le Phoenix Charlyy s’avança devant l’assemblée.
« Le premier manuscrit que je souhaite soumettre aujourd’hui à la cour s’appelle « Gulliveriana » il a été écrit par Milo Manara (encore !) dans la maison d’édition Les Humanoïdes associés, réédité le 20 Avril Avril 2011 … »
Les huées se mirent à pleuvoir.
« Silence, comportez-vous en Phoenix dignes de ce nom ! Vous avez oublié la règle ! C’est vous qui devraient avoir honte »
Jamais 2 sans 3.
Commençons-le « Ça passe ou ça casse »
« Vous imaginez le bordel « Madame, madame votre petite garce de fille se baigne à poil ! Nue comme un ver ! » ahah charmant ! »
Après nous avoir partagé cette citation, le Phoenix demeura dans le silence un moment.
« Un problème, maître ? » s’enquis un laquais.
« Non, Phoenix, c’est juste qu’il n’y a pas de temps mort ça s’enchaine très vite. Je ferais le point à la fin. »
Charly reposa le grimoire dont il avait terminé la lecture.
« Elle n’a pas de nom »
« Phoenix, ne peut-on pas supposer
Que son nom est juste Gulliveriana ? »
« Certes c’est ce qui écrit dessus. Mais ce n’est pas mentionné. Bon, passons… »
Gulliveriana se prélasse et suite à des impératifs météos se retrouve à bord d’un ancien bateau désert. Elle accoste dans un monde de lilliputiens, dont elle s’enfuira, pour se retrouver dans un univers de géants, s’enfuira encore deux fois atterrissant à chaque fois dans des mondes improbables.
Le problème c’est que c’est un Livre un peu bâtard. Sexy, mais pas trop. Aventureux, mais sexy en même temps. Un peu comme un conte, une épopée.
Un charmant petit voyage (c’est le terme !) dont on ne ressort que grandis.
Alors, ça passe ou ça casse ?
Phoenix
++
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Milo Manara
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Albin Michel : 24 livres
Drugstore : 14 livres
les Humanoïdes Associés : 14 livres
Casterman : 9 livres
Glénat : 9 livres
J'ai lu : 5 livres
Dargaud : 3 livres
Himalaya : 2 livres
Biographie
Milo Manara est né en Italie en 1945. Aussi à l'aise comme dessinateur que scénariste, il s'est d’abord imposé comme chef de file mondial de la bande dessinée réaliste à caractère érotique, avant d’être reconnu comme un génie du Neuvième art tout court. Parmi ses nombreuses œuvres, il faut entre autres retenir une adaptation du Décaméron de Boccace en 1974, la saga Giuseppe Bergman initiée en 1978, Le Déclic en 1983, Le Parfum de l'invisible en 1985, ainsi qu’Un Été Indien et El Gaucho, deux romans graphiques réalisés en collaboration avec son ami et mentor Hugo Pratt. Avec le célèbre réalisateur et scénariste italien Federico Fellini, Manara réalise les deux albums Voyage à Tulum (1990) et Le Voyage de G. Mastorna (1996). Mais Manara est également un illustrateur de génie, comme on peut s'en rendre compte dans ses beaux-livres tels Peintre et Modèle. En 2004, il signe le premier épisode de la sulfureuse série Borgia, en collaboration avec Jodorowsky au scénario, qui comptera quatre volumes. En 2015, Manara concrétise un projet qu’il caresse de longue date, en entamant un ambitieux diptyque consacré au célèbre peintre Le Caravage auquel il voue une admiration sans borne. Il fête ses cinquante ans de carrière en 2019 avec Sublimer le réel, une somme imposante qui évoque toutes les facettes son travail. En 2020, les éditions Glénat publient Passion Femmes, une anthologie de dessins consacrée à l’un des sujets qu’il apprécie le plus : le beau sexe. En 2022 paraît l’autobiographie de l’artiste, un ouvrage riche de passionnantes anecdotes sur sa longue et foisonnante carrière. La même année, Manara collabore avec Pedro Almodovar en illustrant un texte de jeunesse du célèbre cinéaste : Le feu aux entrailles. En2023 paraît l’édition anniversaire du Déclic, pour célébrer les 40 ans de la première publication de ce livre culte.
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