Jean-Marie Calvet

J'ai déjà pu lire "Le Rocher imprenable" en avant première, c'est de la bombe :-))

J'ai hâte de pouvoir lire les autres nouvelles de ce recueil.

Un polar sympathique et une intrigue plutôt bien ficelée malgré quelques invraisemblances. Par contre mon plaisir de lecture a été gâché par de trop nombreuses fautes d'orthographe / grammaire / conjugaison et par une mise en page catastrophique sans presque aucun saut de ligne, sans retrait en début de paragraphe etc ...

(Petite précision, je l'ai lu en version numérique)

Je tiens à remercier les éditions AlterReal pour m'avoir permis de lire ce livre coup de cœur, je ne m'attendais pas à lire ce genre d'histoire si prenante, je n'ai pas lâcher le livre du début à la fin tellement j'adore la plume de l'auteur si addictive.

L'histoire se déroule au cœur du midi toulousain si calme jusque là, sauf que depuis quelques temps il se trouve que c'est le terrain de chasse d'un serial killer.

En effet on y retrouve des corps amputés et totalement absent de certains viscères, et les corps sont retrouvés dans des endroits symboliques et d'après les autopsies faites il semblerait que ce mystérieux tueur emporte à chaque meurtre un trophée sur chaque corps. La police patauge dans la semoule avec cette enquête.

L'adjudant chef Pujol est chargé d'enquêter sur ces meurtres. Les meurtres augmentent et toujours aucune piste. 

Ce que j'ai adoré en lisant ce livre :

- la plume de l'auteur si addictive,

- le suspens l'auteur nous balade du début à la fin et j'adore lire un livre comme celui ci,

- les personnages si attachants,

- les descriptions faites par l'auteur,

- la magnifique couverture de ce livre.

Si vous aimez ce genre de livre où ne lâche pas l'histoire du début à la fin, le suspens, les tueurs en séries c'est ce livre qu'il faut lire.

Bienvenue dans la capitale mondiale du cassoulet, j’en appelle à Castelnaudary. Première fois que je m’y rends par une lecture et encore plus, au travers d’un roman policier. Si comme moi, vous êtes novice en la matière, voilà donc une bien bonne originalité.

« Qu’ils retournent en enfer » est un thriller, assez noir qui se lit facilement et rapidement. Le livre ne compte que 170 pages et les chapitres sont assez courts, faisant défiler les pages. J’ai trouvé ce livre empreint des codes du polar à l’ancienne.

Par contre, je me dois de relever de petits écueils, au nombre de deux principalement pour moi. Tout d’abord, je dirais qu’étant donné le faible nombre de pages, il est difficile pour Jean-Marie Calvet d’aller dans la profondeur: que ce soit dans l’histoire globale que dans les personnages. Pourtant, malgré cette frugalité, l’auteur introduit beaucoup de protagonistes différents ; ce qui fait que le lecteur peut se perdre parmi tous ceux-ci.

Ensuite, j’ai trouvé que l’intrigue se déroulait trop promptement et que le final arrivait beaucoup trop vite. Ils auraient pu être un brin plus travaillés et plus construits afin de ne pas advenir de la sorte et de laisser un goût de trop peu aux lecteurs. Un manque de complexité fait que l’originalité se trouve absente du récit et pèse sur un potentiel suspens.

Malgré ceux-ci, à contrario, la fluidité de la plume de l’auteur fait que le récit coule aisément. Le fait que Jean-Marie Calvet a été policier de profession, les procédures sont clairement explicitées et nous pouvons être certains quant à leur véracité. L’accent est peut-être d’ailleurs mis trop dessus au détriment d’autres éléments du livre.

Ceci n’est que mon humble avis personnel. N’hésitez pas à vous procurer le livre afin de vous en forger le vôtre.