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Dïana Bélice

Auteur

164 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par sjacques014 2013-08-05T20:11:50+02:00

Biographie

Diana Bélice est née dans le milieu des années 1980, et est d'origine haïtienne. Dès l'âge de neuf ans, elle a su qu'elle serait écrivaine un jour. Animée par une passion sans borne, elle a noirci pendant sa jeunesse des centaines de pages blanches, qu'elle possède encore aujourd'hui. Ces pages témoignent à elles seules de son penchant insatiable pour l’écriture, mais aussi de son évolution en tant qu'auteure.



De nature très artistique, la jeune femme est une véritable touche-à-tout. De danseuse de ballet classique pendant plus de quinze ans, à mannequin pour différents designers québécois, Dïana s’implique à fond et sans réserve dans tous les projets qu’elle entreprend.



Après ses études à l'Université de Montréal dans différents domaines tels que la psychologie, la criminologie et l'intervention psychoéducative, elle occupe des emplois qui lui permettent de venir en aide aux jeunes de cinq à dix-sept ans. Choisissant finalement de se spécialiser auprès de la clientèle adolescente, elle se découvre un intérêt plus particulier pour l'exploitation des jeunes filles par les gangs de rue, clientèle qu'elle côtoie dans la maison des jeunes où elle travaille. Plus inspirée que jamais, Dïana écrit Fille à vendre, son premier roman, pendant un congé de maternité.



Désormais coordonnatrice du projet Sortie de secours, chapeauté par la Fondation québécoise pour les jeunes contrevenants, elle est heureuse de pouvoir contribuer aux interventions auprès des jeunes filles à risque ou celles déjà membres de gangs.

Avec son roman de la collection Tabou, l'auteure compte aider sa clientèle différemment, en couchant sur papier ses pires souffrances afin de les faire connaître au monde entier.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 8.07/10
Nombre d'évaluations : 60

0 Citations 29 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Dïana Bélice

Sortie France/Français : 2023-03-15

Les derniers commentaires sur ses livres

L'École du style, tome 2 : Instagram, talon plat et autre tracas

Je viens tout juste de le finir et je vais commencer la suite à l'instant. :)

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L'École du style, tome 3 : Petite robe noire, chapeau melon et Cendrillon

J'ai adoré ces petits livres sa faisais différent de mes gros livres :)

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Collection tabou, Tome 33 : Non c'est non

Il faut clairement être prêt avant de commencer sa lecture à être catapulté dans un maelstrom d'émotions diverses. Nous passerons des larmes à la colère, de l'espoir aux doutes, de la rage au calme. L'auteure ne nous ménage pas. Elle emploie des mots puissants, francs, difficiles, vulgaires mais c'est un plus. Elle ne cache rien. Elle nomme les choses par leur nom et ne fait pas de faux-fuyants.

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Collection tabou, Tome 14 : Fille à vendre

Recommandé par des amies mais pas très prenant...Livre beaucoup trop court, rapide à lire pour les lecteurs d’expérience, mais très bon, facile à lire et fait réfléchir!

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Kellan et les papillons du coeur

Incontournable Février 2022

Dans ce petit roman de la collection "Roman Bleus" de la maison Dominique et compagnie, Kellan nous revient pour une seconde tranche de vie, cette fois sur les thèmes de la première relation amoureuse, de la pression sociale et de la notion de consentement, ce dernier sujet n'étant pas très surprenant de la part de l'autrice qui a écrit deux romans sur le sujet dans la collection pour ados "Tabou", des éditions DeMortagne

Parfois, les papillons roses des premières attirances sont pour d'autres des papillons gris de l'incertitude.

Kellan se prépare comme les autres étudiants de son école au spectacle de talents, dont il espère se démarquer avec son habileté à faire du beatboxing, ou " boîte à rythmes humaine », qui consiste à faire de la musique en imitant des instruments uniquement avec sa bouche. En parallèle, il reçoit la visite de sa tante Zia, venue d'Haïti, comme le versant maternel de sa famille. Mais depuis quelques jours, son amie Alice a un comportement un peu étrange. Elle rougit quand elle le voit, puis elle lui donne un petit mot en le complimentant. Pour les amis garçons de Kellan, il est clair qu'Alice a le béguin pour lui et le presse d'adhérer aux mêmes sentiments. Avoir une "blonde", c'est un truc de l'école secondaire, c'est "cool", alors il serait stupide de ne pas en profiter. du côté des amies d'Alice, elles se mettent à poser des questions indiscrètes au jeune garçon, qui pour sa part devient de plus en plus malaisé par la situation. Kellan ne se sent pas amoureux d'Alice et ne se sent pas prêt à ce genre de relation, même si l'attention qu'il reçoit par rapport à ce sujet lui plait. de plus, il craint de faire de la peine à la principale concernée, qui est après tout son amie en temps normal. Heureusement, plusieurs adultes ont l'expérience qu'il n'a pas et lui parlent de l'importance de la franchise, de l'honnêteté envers soi-même et de l'importance de prendre des décisions et donner un accord libres et éclairés, dénués de pression, ce qu'on appelle le "consentement". Au final, Kellan et Alice se parlent et il est étonné de constater que la jeune fille n'était pas amoureuse non plus. Elle trouve Kellan beau et talentueux, mais c'est l'interprétation de ses amies qui l'ont poussée à se montrer entreprenante envers son ami.

Franchement sympa comme sujet de roman, je dois dire, et très pertinent! Toute cette pression autours de la première relation amoureuse est assez universelle, et comme on le voit ici, est aussi bien présente dans les cercles masculins que féminins. D'habitude, je vois ce sujet chez les personnages féminins, où leurs copines les poussent à aller parler à ce personnage masculin si beau et si "hot" qui les font saliver. C'est donc la première fois que je vois ça du côté des gars. On n'en parle pas assez, mais tous les gars n'ont pas hâte d'être en couple, même si c'est le stéréotype dominant dans les univers culturels. Et le consentement est de part et d'autre des genres.

J'ai beaucoup apprécié les divers approches des personnages adultes, qui ont synthétisé assez bien les concepts en présence, pour les rendre compréhensibles même pour des lecteurs de ce niveau. On a notamment la pression sociale, avec ces jeunes qui "poussent" Alice et Kellan à former un couple, pour des raisons de statut et de prestige ( et non pour des motifs sentimentaux). On a aussi cette idée assez rependue et fausse que l'attirance physique est de l'amour ( en témoignent les trop nombreux roman-navets pour ado qui opèrent en ce sens et que je déteste), la différence entre les sentiments de malaise et d'émois, le respect de son rythme quand aux premières relations et l'importance de verbaliser son ressenti ( donc de ne pas tomber dans l'évitement).

Sinon, un jour, je ne le mentionnerai plus, parce que ce sera normal et rependu, mais nous avons un personnage métisse québécois-Haïtien. On a encore peu de personnages de couleur, quelque soit la couleur, alors ça fait du bien d'en avoir un ici et que sa couleur ne soit pas le sujet du livre.

Ça se lit facilement et, bien que ce soit du niveau de troisième année, on a une belle richesse de vocabulaire. le tout est aéré, en police de caractère un peu plus grosse que la moyenne des romans et les chapitres sont courts.

À voir!

Pour un lectorat du deuxième cycle primaire, 8-9 ans.

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Collection tabou, Tome 61 : Nympho

J’ai pris ce livre puisque le sujet m’intriguait, je voulais connaître ce qui se passait dans la tête d’une nympho. Tout d’abord, je ne m’attendais pas à ce que le sujet soit aussi délicat, certains passages m’ont un peu choqué mais c’est le but recherché des Tabou. D’ailleurs, plusieurs autres sujets sont abordés dans le livre comme celle des différentes cultures et nationalité.

Je me suis rapidement attaché à Floriane et j’ai beaucoup aimé voir sont évolution durant le livre. Elle a fait du chemin et la vie n’a vraiment pas été facile pour elle. J’ai aussi beaucoup aimé découvrir Chad aussi qui apporté un autre angle à l’histoire et d’autre sujet importe.

L’écriture reste tout de même fluide et facile à lire j’ai d’ailleurs dévoré ce roman et j’ai passé un excellent moment.

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Collection tabou, Tome 61 : Nympho

Quel plaisir d’avoir retrouvé la plume si poignante de Dïana Bélice! J’avais adoré la découvrir grâce à son roman « Fille à vendre » publié dans la même collection il y a quelques années déjà. Ce fut donc naturellement que j’ai eu envie de découvrir « Nympho » paru récemment aux Éditions de Mortagne. Même si ce ne fut pas le coup de cœur, j’en étais très proche. Pourquoi n'ai-je pas atteint le coup de cœur? Je crois que c’est une question du langage utilisé par moment et le sujet qui m'interpellait un peu moins. Mais c’est purement personnel!

Un des points forts du roman selon moi est l’imprégnation très présente de la nationalité de notre protagoniste. Née d’une famille haïtienne, Flo (Floriane Desroses) prend conscience qu’elle a un problème en lien avec le sexe. Sa relation avec sa mère est plus que houleuse… Les couteaux volent très bas entre les deux. Quant à son père, il est absent! Remarquez que c’est mieux ainsi lorsqu’on connaît la relation entre les deux. On comprend rapidement qu’avec une famille aussi dysfonctionnelle, il n’est pas toujours évident de grandir avec le moins d’obstacles possible. Au fil de notre lecture, on prend conscience que ses problèmes familiaux et externes alimentent grandement sa dépendance au sexe. Le plaisir qu’elle obtient par cette dernière diminue son anxiété et lui permet, le temps de ces quelques minutes, de mettre ses pensées en suspend. Une simple pause. Un moment de bien-être précieux à ses yeux. Mais rapidement, elle se rendra compte qu’elle doit aller de plus en plus loin pour bénéficier d’un moment d’euphorie qui est de plus en plus court… L’auteure nous emmène dans l’intimité de cette adolescente et nous fait découvrir son évolution jusqu’à sa demande d’aide.

La magnifique plume de l’auteure nous fait vivre les émotions intensément. Certains ressentiront un malaise face au sujet, mais je crois que nous devons aller au-delà afin de mieux comprendre ce qui se passe dans la tête et le cœur des gens atteints de ce trouble de comportement sexuel compulsif. L’écriture est fluide et nous donne l’impression que les mots viennent naturellement comme si Dïana était née déjà écrivaine. Pour parler aux jeunes! Je ne sais pas si elle trouve que les mots viennent aussi facilement que le ressenti du lecteur durant sa lecture, mais pour moi, c’est une écriture très efficace.

Encore une fois, la collection tabou nous présente un sujet peu abordé chez les jeunes, mais qui peut tout aussi se transposer chez l’adulte. Un autre point que j’ai adoré, c’est le fait que le roman débute avec son appel à l’aide sur les réseaux sociaux. Ce moment où notre protagoniste se dit STOP! Qu’elle prend conscience qu’il y a un problème qui contrôle sa vie ! Et que pour s’en sortir, sa seule option est de mettre son trouble à jour. De cesser de lui donner de l’importance et surtout une emprise sur sa vie.

Une histoire qui m’a ému du début jusqu’à la fin. Certains passages sont durs à lire. Difficile à absorber. Mais au final, malgré la dureté, nous y voyons une lueur d’espoir. Nous sentons qu’un bel avenir se présente à elle malgré les stigmates qui là suivront tout au long de sa vie. Merci, Dïana de venir nous faire vibrer au rythme de tes mots. De venir nous émouvoir avec tes mots, les images que ton écriture fait naître dans nos têtes tout au long de cette belle aventure riche et rythmée!

Source : https://frogzine.weebly.com/chroniqueslitteraires/nympho

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Collection tabou, Tome 61 : Nympho

Lorsque j’ai décidé de lire ce roman, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre. Connaissant la collection Tabou, je savais que le sujet abordé allait me sortir de ma zone de confort et ce fut le cas, et ce, pour diverses raisons.

Le sujet de la dépendance sexuelle est peu abordé dans les romans et j’étais curieuse d’en apprendre un peu plus sur ce sujet. L’auteure aborde le sujet avec délicatesse et sans jugement. J’ai trouvé également intéressant la vision que peut avoir l’entourage et surtout l’impact que cette dépendance peut avoir sur les gens autour.

Au-delà du sujet de la dépendance sexuelle, plusieurs autres sujets sont abordés au cours de ce roman car la dépendance n’est pas arrivée comme ça par magie. Certains facteurs dans la vie de notre héroïne l’ont poussé dans ce sens. Et je dois avouer que certains passages sont plus difficiles à lire, malgré la délicatesse de l’auteure. J’ai ressenti une panoplie d’émotions en lisant ce roman.

L’auteure aborde également la culture haïtienne ainsi que la discrimination et les coutumes des gens de ce pays. J’ai trouvé très intéressant d’avoir su inclure cet élément car inévitablement, cela a un impact sur la vie de notre héroïne.

Le seul bémol que je peux retenir de ce roman, c’est le langage un peu trop coloré à mon goût. Probablement que cela est plus adapté à nos adolescents, mais en tant que mère, cela m’a fait défriser les cheveux pas moment.

Je suis bien heureuse d’avoir osé lire ce Tabou. Encore une fois, cette collection aborde un sujet pertinent et intéressant. L’auteure a su trouver les mots justes pour nous dévoiler les éléments de la dépendance sexuelle, et ce, avec délicatesse. Un roman à lire autant pour les adolescents que pour les parents!

http://alapagedesuzie.blogspot.com

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Mon monstre à moi, Tome 1 : Rencontre du troisième type

Daïna Belice fait cette fois affaire avec la maison Boomerang pour cette nouvelle série.

Cy est une jeune fille de 12 ans, orpheline et sans domicile fixe. Dans son monde, les enjeux climatiques ont davantage dégénérés que dans le nôtre, entrainant pluies acides, incendies et autres joyeusetés, tant et si bien que les adultes occupent tout le temps à palier les effets de ce changement. Cela se fait au détriment de la génération suivante, dont fait parti Cy. C'est du moins le récit qu'elle nous livre. Cy a fugué de sa famille d’accueil, qui utilise l'argent pour se payer du luxe sur le dos de leurs pensionnaires. Elle vit seule dans un vieux bâtiment ayant un amphithéâtre et survis comme elle peut. Un jour, une étrange trace dans le ciel fonce vers Montréal, plus spécifiquement près de son bâtiment. Cy fait alors connaissance avec un étrange personnage qui débarque de nul part dans son "chez soi", un être au physique étrange et peu bavard, qui se nomme "DroK" et, vous l'aurez deviné, ne vient pas du coin.

Je reconnais avec Cy le genre de personnage qu'affectionne madame Bélice, le genre petite fille débrouillarde, verbomotrice et véritable feu d'artifice à idées. Je dois avouer avoir un faible pour ce genre de personnage moi aussi, parce qu'il y en a pas eu beaucoup dans l'histoire de la littérature jeunesse côté personnages féminins et qu'il est difficile de ne pas s'attacher aux personnages colorés comme Cy. Même sa dégaine est sympathique: Admirez la couverture! Je précise que les personnages de madame Bélice sont encore à ce jour, parmi les rares personnages féminins principaux d'ethnie noire. Enfin, je ne vois AUCUNES raisons de la part des garçons de ne pas aimer ce personnage dynamique un brin frondeuse, qui n'a rien d'une petite potiche en détresse. Même si, il fait l'avouer, elle a bien de la chance d'avoir un ami qui a des supers-pouvoirs quand les choses tournent au vinaigre.

Je ne dirais pas que ce roman révolutionne le genre, des histoires de jeunes personnages qui deviennent amis avec des monstres ou des extra-terrestres, il y en a pas mal. Toutefois, j'en ai relativement vu peu en littérature jeunesse intermédiaire québecoise. C'est rocambolesque à souhait, improbable et comme je le remarque souvent, les personnages jeunesse s’accommodent toujours assez bien de l'inattendu fantastique. Ça à le mérite d'être divertissant et le ton de Cy est dynamique, très complice avec le lecteur. Je pense que ça ira chercher, entre autre, les lecteurs justement moins friand de lectures, qui ont besoin d'un registre rapide, sans trop de descriptions, où la narration est très peu d'eux et dans un français québecois qui, s'en être familier, est teinté d'oral et d'expressions connues du Québec.

Drok, pour sa part, est amusant avec ses converses rouges et son manteau à queue de pie, gracieuseté du costumier de l'amphithéâtre. Peu bavard, pas facile d'approche, il ressemble physiquement à un Voldemort sans yeux rouges et exempte de son terrible égo mégalomane. Drok est un extra-terrestre d'une lointaine planète où il a choisi de faire un acte contre la dictature, ce qu'il paie de son exil. Il devait en principe faire profil bas sur Terre, mais avec un personnage un brin catastrophe comme Cy, la chose est plus facile à dire qu'à faire.

Les deux personnages sont plutôt seuls dans ce premier opus, avec de nombreux personnages tertiaires et un scénario vraiment très rapide. L'univers n'est donc pas spécialement complexe ni détaillé, mais il tient relativement la route - Ça m'amuse toujours dans les histoires d'extra-terrestres comment les instances terrestres sont incompétentes et que les "extra-terrestres" sont des humanoïdes qui savent parler nos langues. Commode, vraiment! ^^

Comme c'est souvent le cas avec la maison Boomerang, la police de caractère est plus grosse que la norme, avec beaucoup d'aération dans le texte. Et contrairement aux autres maisons, qui préfèrent de plus petits formats plus minces, les romans Boomerang sont généralement aussi gros que les formats de romans européens dans leur première mouture, avant de finir en version poche. Ça peut être un avantage pour certains lecteurs moins habiles, mais l'effet pervers est aussi de rendre les lecteurs dépendant de grosses polices et de textes aérés, ce qui n'aide finalement pas tant que ça à rendre les lecteurs plus habiles. Aussi, je réitère que ces romans sont couteux en papier, même de qualité moindre quand audit papier.

Dire que je suis conquise serait exagérer, par contre, j'ai désormais, je pense, assez d'expérience pour savoir que certains romans trouveront leur lectorat en dépit de ce manque d'enthousiasme de ma part. Il y a assurément de très bons points quand au personnage principal et la plume de madame Belice reste adroite malgré un scénario un peu simple et plus ou moins de détails sur l'univers. Quand au contexte, et bien, malheureusement, il est vraisemblable: On a intérêt à se bouger les fesses, autrement, on devra effectivement mettre les lampions du Chinatown sous caissons pour leur éviter les pluies acides.

Pour un lectorat du second cycle primaire, 8-9 ans+. Je spécifie que ce roman peut aussi convenir aux lecteurs ayant des défis en lecture au troisième cycle primaire ( 10-12 ans) , qui règle générale, peuvent trouver les scénarios rapides, les grosses polices et la forte présence de dialogues plus commodes.

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Dédicaces de Dïana Bélice
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Editions de Mortagne : 5 livres

Dominique et compagnie : 2 livres

Éditions Hurtubise : 1 livre

Bayard : 1 livre

Bayard Canada : 1 livre

Héritage : 1 livre

VLB éditeur : 1 livre

boomerang : 1 livre

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